La Quotidienne centriste du 16 juin 2025. Crise au Moyen-Orient: Ne jamais oublier que tout a commencé le 7 octobre 2023 par la faute de l’Iran

Loin de nous de ramener le déclencheur de la situation explosive qui prévaut au Moyen-Orient au 7 octobre 2023.

Celle-ci date de la fin du 19^e siècle et s’est envenimée avec la décolonisation et la création de l’Etat d’Israël, pour faire rapide.

Mais, concernant la crise extrême que nous vivons en ce moment avec, comme dernier épisode, le conflit entre Israël et l’Iran, c’est bien au 7 octobre 2023 qu’il faut la faire débuter.

Non pas que l’Iran et ses proxys n’agissaient pas ou qu’Israël sous le gouvernement d’extrême-droite de Netanyahu n’attendait pas une raison pour intervenir.

Et l’occasion s’est présentée ce 7 octobre avec le massacre par des terroristes du Hamas, un des proxys iraniens, de plus de mille civils sur le territoire israélien.

S’en est suivi l’opération militaire à Gaza, toujours en cours, contre le Hamas, celle au Liban, contre le Hezbollah, des bombardements en Syrie et maintenant l’attaque de l’Iran.

On peut trouver la réponse israélienne démesurée et inacceptable ou tout au moins certaines de ses conséquences comme les victimes civiles très – trop – nombreuses et des crises sanitaires créées de toute pièce qui ne peuvent se comprendre même si l’on sait que les terroristes détournent en leur unique faveur une partie de de l’aide humanitaire (aliments et médicaments, notamment).

Mais la responsabilité unique de cette crise incombe au régime scélérat des mollahs qui règne par la terreur en Iran et qui savait que l’opération du Hamas amènerait une déstabilisation de la région dont il espérait profiter.

Sans cette attaque conçue, préparée et autorisée par l’ayatollah Khamenei, un vieillard empli de haine comme l’était Khomeiny, le gouvernement Netanyahu n’aurait eu aucune justification à régler le «problème iranien» qui inclut les problèmes palestinien et libanais, de la manière aussi violente et radicale.

Oui, il ne faut pas oublier, aujourd’hui et demain, que ceux qui ont voulu le chaos actuel se trouvent à Téhéran

 

 

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