2005-2025: 20 ANS D'INFORMATION SUR LE CENTRE ET LE CENTRISME

vendredi 10 octobre 2025

Propos centristes. Monde – La centriste vénézuélienne Machado, prix Nobel de la paix / Commémoration du 7 octobre 2023 et paix à Gaza / Etats-Unis: Trump utilise le shutdown pour provoquer le chaos / Japon: crise politique / Suisse: pour un service citoyen / Canada: dépenser moins, investir plus…


Voici une sélection, ce 10 octobre 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

● Argentine
♦ Propuesta Republicana
Mauricio Macri (président)
> Maria Corina Machado, Prix Nobel de la Paix: Il est rare que quelqu’un soit aussi bien choisi pour représenter la paix qu’avec ce prix. Aujourd’hui plus que jamais, mon cœur est avec Corina et le cher peuple vénézuélien.

> La réunion d’hier à Olivos était très bonne. Après les élections du 26 octobre, je suis convaincu que le gouvernement entamera une phase de changements visant à mettre en œuvre d’importantes réformes structurelles.
J’espère que ceux d’entre nous qui veulent un changement pourront s’unir pour mener à bien les transformations dont le pays a besoin depuis le Congrès.
Les possibilités de progrès et de croissance de l’Argentine sont énormes, mais elles exigent des changements importants et l’engagement d’un programme réel et des objectifs à atteindre.

 

● Brésil
♦ União Brasil
Antonio Rueda (président)
> União Brasil a des principes et une autonomie - et prend des décisions à la hauteur de sa responsabilité envers le pays.

> L’exonération de l’impôt sur le revenu est un grand et historique fait pour le Brésil. Hommage à Hugo Motta pour l’approbation unanime de la Chambre, qui a été menée avec une grande habileté, un sens des responsabilités et un engagement social. L’union en faveur des grandes orientations nationales montre que nous sommes capables de transformer le pays, avec des consensus fondamentaux.

 

● Canada 
♦ Gouvernement 
Mark Carney (Premier ministre) 
> Notre budget permettra de bâtir un Canada plus fort. Il s’agit d’un plan visant à protéger nos collectivités et notre pays et à investir dans les grands projets qui feront progresser notre économie. Il donnera aux Canadiens et aux Canadiennes les moyens qu’il leur faut pour réussir, en réduisant leurs coûts et en rendant leur vie plus abordable. Nous ne pouvons pas contrôler ce que font les autres pays. Nous contrôlons ce que nous choisissons de bâtir. Nous bâtissons un Canada fort.

> Nous bâtissons notre pays et créons des milliers de nouveaux emplois bien rémunérés dans le secteur des métiers spécialisés.

> Nous avons eu des réunions fructueuses avec des représentants du Sénat américain hier. En prévision de l’examen de l’ACEUM par le Canada et les États-Unis l’an prochain, nous cherchons à offrir plus de certitude aux entreprises et à créer de grandes possibilités pour nos travailleurs.

> Le président Trump et moi savons qu'il y a des domaines dans lesquels nos pays sont en concurrence et d'autres dans lesquels nous serons plus forts ensemble. Nous nous concentrons sur la mise en place de ces nouvelles opportunités.

> Félicitations au président Trump pour son leadership essentiel et merci au Qatar, à l’Égypte et à la Türkiye d’avoir travaillé sans relâche pour faire avancer les négociations. Je suis soulagé d’apprendre que les otages seront bientôt réunis avec leurs familles. Après des années d’intenses souffrances, la paix semble enfin à portée de main. Le Canada fait appel à toutes les parties afin de rapidement mettre en œuvre toutes les conditions convenues et à favoriser une paix juste et durable.

> Il y a deux ans aujourd’hui, les familles s’apprêtaient à observer une fête joyeuse du calendrier juif, et des centaines de jeunes mélomanes étaient réunis dans le cadre d’un festival de musique pacifique, au moment où l’organisation terroriste Hamas a lancé une attaque odieuse contre les civils israéliens. Ce fut l’attaque la plus meurtrière menée contre le peuple juif depuis l’Holocauste. Près de 1 200 personnes ont été tuées et plus de 200 autres ont été prises en otage, dont 48 sont encore détenues par le Hamas.
Partout dans le monde, y compris au Canada, les Juifs continuent de vivre dans un profond sentiment de chagrin et d’anxiété. Nous nous rappelons toutes les personnes qui ont été brutalement assassinées le 7 octobre 2023, notamment les citoyens et citoyennes du Canada Vivian Silver, Netta Epstein, Alexandre Look, Judih Weinstein, Shir Georgy, Ben Mizrachi et Adi Vital-Kaploun, et d’autres qui avaient des liens étroits avec le Canada, comme Tiferet Lapidot. Que leur mémoire soit une bénédiction. Aujourd’hui, et chaque jour, nous sommes solidaires des victimes, de leurs familles et de leurs communautés, qui continuent de porter un deuil inimaginable.
Le Canada condamne le Hamas, un groupe terroriste qui ne doit jouer aucun rôle dans la gouvernance future d’un État palestinien démilitarisé. Nous exhortons toutes les parties à se mettre immédiatement au travail pour concrétiser la promesse du Hamas de libérer tous les otages et négocier les conditions de paix.
Le Canada a engagé plus de 400 millions de dollars en aide pour la Cisjordanie et Gaza et soutient un acheminement soutenu et à grande échelle de l’aide humanitaire dans la région. Le Canada intensifie sa coordination avec ses partenaires internationaux pour favoriser l’instauration d’une paix juste et durable, qui ne pourra en fin de compte être garantie que par la mise en place d’une solution globale à deux États. Dans le cadre des efforts que nous déployons pour établir la paix dans la région, nous n’oublierons jamais les personnes innocentes qui ont perdu la vie ou qui ont été blessées ou prises en otage lors de l’attaque du 7 octobre.
Au cours des deux dernières années, les Canadiens et Canadiennes de confession juive ainsi que les communautés juives du monde entier ont été confrontés à une résurgence dévastatrice de l’antisémitisme. En effet, des synagogues et des écoles sont la cible d’attaques, des personnes sont victimes de harcèlement en raison de leur foi, et des initiatives ont été entreprises pour minimiser ou nier la tragédie du 7 octobre. Ces crimes constituent une trahison des valeurs qui unissent les Canadiens et compromettent le droit inaliénable de tous les Canadiens et Canadiennes de vivre pleinement leur vie dans la dignité et la sécurité. Le Canada condamne l’antisémitisme sous toutes ses formes. Au début de l’automne, notre nouveau gouvernement a déposé un projet de loi qui prévoit de nouvelles dispositions plus fermes visant à lutter contre la haine et la criminalité, à protéger les édifices et les espaces religieux et culturels et à interdire l’affichage de symboles terroristes. Ainsi, le projet de loi C-9 érige en infraction criminelle le fait d’entraver intentionnellement et délibérément l’accès aux lieux de culte, aux écoles et aux centres communautaires.
Afin d’appuyer ces mesures législatives, le gouvernement accorde un financement ciblé aux provinces pour la formation des agents chargés de l’application de la loi et des procureurs de la Couronne, en vue d’améliorer leur capacité à protéger les communautés à risque et à appliquer efficacement les lois sur les crimes haineux.
Au cours de la semaine prochaine, les Canadiens et Canadiennes des communautés juives se réuniront avec leurs proches dans leur soucca et célébreront la résilience du peuple juif. En signe de solidarité, les Canadiens doivent renouveler leurs efforts visant à bâtir un pays où les Juifs pourront toujours vivre en sécurité, ouvertement et librement. 

> Le nouveau gouvernement du Canada a aboli la taxe sur le carbone, qui était trop clivante, et nous avons immédiatement réduit les impôts de 22 millions de Canadiens. L'une des missions principales de notre gouvernement est de réduire rapidement le coût de la vie.

> Maisons Canada augmente l'offre de logements, ce qui permet de réduire vos coûts. Le nouveau gouvernement du Canada modifie la manière dont nous collaborons avec le secteur privé afin de construire des logements à un rythme et à une échelle sans précédent depuis des générations.

> Nos Forces armées canadiennes assurent la force du Canada. Nous veillons à ce qu’elles aient l’équipement dont elles ont besoin, au moment où elles en ont besoin.

> Le Canada a ce dont le monde a besoin. Une ère nouvelle de commerce et de coopération se profile, et le Canada en tirera parti. Nous établissons des partenariats pour attirer de nouveaux investissements, ouvrir des marchés et offrir des possibilités aux travailleurs canadiens.

> Plus de cinq millions de personnes ont adhéré au Régime canadien de soins dentaires.   C’est un immense soulagement pour les millions de Canadiens et de Canadiennes qui peuvent désormais obtenir les soins dentaires dont ils ont besoin sans se soucier du coût.

> Le nouveau gouvernement canadien réinvestit pour rebâtir et réarmer les Forces armées canadiennes. La nouvelle Agence de l’investissement pour la défense va repenser l’achat de matériel ainsi que créer des chaînes d’approvisionnement au pays et des milliers d’emplois bien payés.

 

François-Philippe Champagne (ministre des Finances)
> L’économie mondiale a changé, et le Canada doit s’adapter à cette nouvelle réalité. Dépenser moins. Investir plus. Voilà l’objectif de notre nouveau cadre budgétaire. Avec le nouveau cycle à l’automne, nous donnons aux provinces, aux territoires, aux municipalités, aux investisseurs et aux entreprises la prévisibilité et la certitude dont ils ont besoin pour lancer leurs projets dès le début de la saison de construction. C’est ainsi que nous bâtissons un Canada fort.

> Les Canadiens et les Canadiennes ont demandé du changement – des changements concrets qui rendent leur vie plus abordable. Les mesures annoncées aujourd’hui aideront les familles de partout au pays et s’ajoutent à la réduction d’impôt pour la classe moyenne et à l’élimination de la TPS pour les acheteurs d’une première maison. Le budget de 2025 présentera notre plan visant à réduire les dépenses afin que nous puissions investir davantage dans la croissance à long terme du Canada et dans un avenir plus prometteur.

 

● Côte d’Ivoire
♦ Gouvernement 
Alassane Ouattara (président de la république)
> Depuis 2011, notre pays a accompli des progrès importants dans tous les domaines grâce aux réformes ambitieuses que nous avons menées. Ensemble, nous continuerons de bâtir une Nation prospère, solidaire et résolument tournée vers l'avenir.

> Lors du Conseil des Ministres de ce mercredi 1er octobre 2025, nous avons pris d’importantes mesures pour lutter contre la pauvreté et le blanchiment des capitaux, préserver l'environnement, renforcer l'accès à l'électricité et réaliser un projet immobilier structurant dans la commune du Plateau.

> Conformément à notre engagement d’améliorer les conditions de vie de nos parents producteurs, le prix du Cacao est fixé à 2800 F CFA le kilogramme et celui du Café à 1700 F CFA le kilogramme au titre de la campagne de commercialisation 2025 - 2026.

 

● Equateur
♦ Gouvernement 
Daniel Noboa Azin (président de la république)
> [Prix Nobel de la paix] Félicitations, Maria Corina Machado. Aujourd’hui plus que jamais, les voix courageuses s’imposent sur le bruit. Nous restons fermes: notre région ne tombera plus entre les mains de ceux qui l’ont détruite.

> Personne ne peut venir prendre par la force la capitale de tous les Équatoriens. Ceux qui choisissent la violence, la loi les attend. Ceux qui agissent comme des criminels seront traités comme des criminels.
Nous continuons à faire ce qui nous appartient : nous serons demain à Pastaza, aux côtés de ceux qui bâtissent le pays, aidant ceux qui en ont le plus besoin pour qu’ils produisent davantage et s’en sortent.
Alors que certains veulent arrêter l’Équateur, nous le poussons.
Nous réduirons la TVA à 8% pendant les vacances du 9 octobre, et celles des 2 et 3 novembre, parce que ce pays ne va pas être paralysé par quelques-uns qui ont perdu le commerce de contrebande et d’exploitation minière illégale.
Pour stimuler l’économie locale, le 14 novembre, nous payerons le treizième salaire aux fonctionnaires, de sorte que les familles auront plus d’argent pendant le Black Friday et le Cyber Monday. Nous invitons les entreprises privées à se joindre à cette initiative.

> Certains ont essayé d’arrêter les Equatoriens... ils n’ont pas pu. Septembre démontre cela par rapport à 2024 avec une croissance de 10% dans les ventes totales, et une croissance de 16,6% dans les exportations.
L’emploi n’est pas loin derrière : le taux d’emploi brut en août était de 64,2 %, avec une tendance à la croissance. Tout cela malgré le fait que la consommation de diesel a chuté de 15,9% au niveau national par la contrebande.
Encore une fois, les données tuent le récit. En résumé, l’économie est saine et l’Équateur vise à continuer de croître.

 

● Etats-Unis  
♦ Parti démocrate 
> [Secrétaire à la Défense: «Je suis également fier qu’aujourd’hui nous signions une lettre d’acceptation pour construire une installation de l’armée de l’air qatarie Emeri à la base aérienne nationale de Mountain dans l’Idaho»] Trump construit un parcours de golf au Qatar. Il a accepté un jet de luxe à 400 millions de dollars comme cadeau du Qatar. Son gendre a obtenu un investissement de 1,5 milliard de dollars du Qatar et d’autres pays du Moyen-Orient. Ses hauts responsables comme Kash Patel et Pam Bondi ont travaillé pour le Qatar.
Et maintenant ça.

 

Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des représentants) 
> C’est le 10e jour du shutdown de Trump. Le gouvernement est fermé parce que les républicains ne veulent pas fournir des soins de santé aux Américains de la classe ouvrière. Étendez les crédits d’impôt de la Loi sur les soins abordables dès maintenant.

> Il y a deux choses à garder à l’esprit ici. Tout d’abord, il y a la responsabilité de la corruption et du chaos que Donald Trump a déchaînés sur le peuple américain dès le début de sa présidence le 20 janvier qui devrait être directement liée à la Cour suprême et aux six juges de droite qui ont essentiellement donné à Donald Trump, sans justification, immunité totale. Et il est hors de contrôle depuis. C’est donc le problème numéro un. Le problème numéro deux, bien sûr, est le fait qu’il y a tellement de sycophants corrompus différents au sein de l’administration Trump, y compris mais sans s’y limiter au sein du ministère de la Justice. Maintenant, ces gens n’ont pas d’immunité. Et la réalité est que le délai de prescription est de cinq ans, et il y aura une responsabilité avec la prochaine administration, sinon avant, lorsque les démocrates reprendront le contrôle de la Chambre des représentants.

> Nous n’allons pas être intimidés. Nous n’allons pas plier le genou. Nous ne travaillons pas pour Donald Trump. Nous ne travaillons pas pour JD Vance. Nous ne travaillons pas pour des milliardaires corrompus qui financent ces républicains. Nous travaillons pour le peuple américain. Et ce moment va continuer à exiger de la bravoure et du courage et du caractère et de la conviction. Mais nous nous tenons sur les épaules de géants comme John Lewis, avec qui beaucoup d’entre nous avons servi, qui a également fait face à l’adversité, aux tempêtes, aux turbulences, alors qu’ils essayaient de renverser la situation dans ce pays. Et nous allons devoir continuer à être à la hauteur de l’occasion, et je suis tellement reconnaissant pour mes collègues de la Chambre et du Sénat qui continuent à le faire, y compris en ce qui concerne la défense de la santé du peuple américain, tenir la ligne et s’assurer que nous pouvons inverser les choses dans ce pays qui doivent être inversées pour tous les Américains dans les États bleus, dans les États violets et rouges, que vous soyez démocrate ou indépendant ou républicain, c’est une lutte dans laquelle nous sommes engagés sur toutes les choses pour tous les gens.

> Je pense qu’il est juste de dire que nous avons des problèmes tout autour de nous. Un haineux à la Maison-Blanche. Des haineux au Congrès. Des haineux dans tout le Cabinet. Des problèmes tout autour de nous. Mais nous ne sommes pas en détresse. Parce que nous croyons en la résilience et la bonté du peuple américain. Et c’est pourquoi nous sommes si reconnaissants pour vous tous dans cette lutte, en étant avec nous, les démocrates, à la Chambre et au Sénat, une branche séparée et égale du gouvernement. Nous comprenons que nous ne travaillons pas pour Donald Trump. Nous ne travaillons pas pour JD Vance. Nous ne travaillons pas pour Elon Musk. Nous ne travaillons pas pour leurs donateurs milliardaires. Nous travaillons pour vous tous, le peuple américain. Et nous sommes déterminés à défendre leurs soins de santé, à défendre Medicaid, nos hôpitaux, nos maisons de retraite, nos cliniques communautaires, la loi sur les soins abordables, le principe selon lequel en Amérique, le pays le plus riche de l’histoire du monde, les soins de santé ne peuvent pas simplement être un privilège pour les riches et les bien nantis. Les soins de santé sont un droit qui devrait être disponible pour chaque Américain. Et c’est ce dont ce combat parle.

> L’accord de paix qui a été conclu est un développement extrêmement bienvenu, libérant les otages restants et mettant fin à des années de douleur, de souffrance et de destruction. J’espère que la première phase sera pleinement mise en œuvre, les otages réunis avec leurs proches, une aide humanitaire soutenue déferlant sur Gaza, le Hamas complètement désarmé et le chemin vers une paix juste et durable dans la région fermement établi. Le monde sera un meilleur endroit avec un Israël sûr et sécurisé vivant côte à côte dans la paix et la prospérité avec le peuple palestinien capable d’atteindre la dignité et l’autodétermination qu’il mérite. Nous devons tous nous engager à atteindre ce résultat.

> Il y a deux ans, nous avons regardé avec horreur et chagrin alors qu’Israël était brutalement attaqué par les terroristes du Hamas. Aujourd’hui, nous sommes rappelés à la réalité douloureuse qu’Israël et le peuple juif sont dans une lutte constante pour leur existence, et réitèrent l’engagement de l’Amérique envers la sécurité de notre allié démocratique.
Alors que nous commémorons solennellement l’attaque, nous renouvelons également notre engagement en faveur de l’éradication de la terreur et de l’instauration d’une paix juste et durable dans la région. Cela implique de s’assurer que chaque otage détenu en captivité barbare depuis deux ans, vivant ou mort, soit libéré immédiatement. Il est également essentiel que la dévastation à Gaza prenne fin maintenant et qu’une aide humanitaire soutenue soit apportée aux civils palestiniens qui ont été en danger sur le théâtre d’une guerre sans y être pour leur faute. Le Hamas doit déposer les armes, et une structure de gouvernance doit être établie pour permettre des relations normalisées entre Israël et le peuple palestinien vivant côte à côte dans la paix, la sécurité et la prospérité.

> Les aéroports connaissent des pénuries massives de personnel à cause de la fermeture de Trump. Les républicains de la Chambre restent en vacances. Remettez-vous au travail pour que nous puissions rouvrir le gouvernement !

> Les primes de santé sont sur le point de doubler ou tripler pour des millions d’Américains. Les républicains de la chambre s’en fichent.

> Les Américains ordinaires paient déjà trop cher pour voir un médecin ou se rendre à l’hôpital. La crise de santé républicaine aggrave les choses.

> Donald Trump et les républicains corrompus ont fermé le gouvernement fédéral de manière imprudente. Et le peuple américain le sait.

 

Chuck Schumer (leader de la majorité démocrate au Sénat) 
> Le gouvernement est fermé parce que Trump et les Républicains sont déterminés à vous retirer les soins de santé. Et ils ne viendront même pas à la table pour nous en parler. Ce n’est pas de la politique. C’est à propos des gens.

> Trump veut faire le tour du monde en avion comme un roi pendant que les Américains se font enivrer par ses tarifs et paient plus cher pour les soins de santé, l’épicerie, le loyer et l’électricité. Je viens de proposer un amendement qui ferait en sorte que pas un sou de l’argent des contribuables ne soit consacré au rétrofit ou à l’entretien du jet étranger de Trump. Mais les républicains du Sénat l’ont rejeté.

> C’est à cela que ressemble la tyrannie. Trump a transformé le ministère de la Justice en son chien d’attaque personnel pour poursuivre ses ennemis politiques.

> C’est à cela que ressemble la tyrannie. Le président Trump utilise le ministère de la Justice comme son chien d’attaque personnel, ciblant le procureur général Tish James pour le « crime » de le poursuivre pour fraude—et gagner.
Un procureur américain a déjà refusé ce cas. Donc, Trump a choisi un hack non qualifié qui poursuivrait un autre ennemi politique. Ce n’est pas la justice. C’est une vengeance. Et cela devrait horrifier chaque Américain qui croit que personne n’est au-dessus des lois.

> Les républicains de la Chambre sont payés et ne travaillent pas alors qu’ils forcent les travailleurs fédéraux à travailler et à ne pas être payés.

> Trump ne prend tout simplement pas cet arrêt au sérieux. Il négocie un renflement de 20 milliards de dollars pour l’Argentine, afin de soutenir un allié du MAGA. Il pense que 20 milliards de dollars pour un gouvernement MAGA-friendly en Argentine, c’est bien, mais fixer des primes de santé pour les Américains ici chez eux ne l’est pas.

> Donald Trump veut envoyer 20 milliards de dollars à l’Argentine pour les aider à concurrencer les agriculteurs américains. Pendant tout, les Américains affamés font face à des prix plus élevés à l’épicerie et aux plus grandes coupes jamais effectuées dans l’aide nutritionnelle, grâce au Big Ugly Bill de Trump et des républicains.

> C’est horrible : Trump dit qu’il va licencier des gens en masse et tente de priver les travailleurs fédéraux de leurs arriérés de salaire légitimes. Il utilise les Américains comme des pions dans son shutdown.
> 75 % des Américains ne pensent pas que l’administration Trump se concentre suffisamment sur la réduction des coûts. Le coût de la vie augmente
Les tarifs de Donald Trump ont fait grimper les prix des courses
Les factures d’électricité augmentent fortement
Et les primes de soins de santé sont sur le point de doubler pour des millions d’Américains.
Mais Trump ne veut même pas s’asseoir pour en parler aux démocrates.
> Les républicains ont fermé le gouvernement au lieu de réparer les soins de santé pour les Américains à travers ce pays.
Et maintenant, ils rendent plus difficile l’obtention du vaccin contre le covid19.
Combien de moyens peuvent-ils trouver pour rendre les Américains plus malades ? Des gens vont mourir. C’est horrible.
> Si les républicains ne travaillent pas avec nous pour corriger les crédits d’impôt ACA: les gens feront faillite, les gens tomberont malades et certains mourront. Les républicains sont les seuls à penser que nous ne pouvons pas résoudre cette crise de la santé et rouvrir le gouvernement.
> Aujourd’hui, cela fait 2 ans depuis les horribles attaques terroristes du 7 octobre du Hamas contre Israël. La brutalité et la méchanceté de l’attaque du Hamas—une violence indiscriminée contre des nourrissons innocents, des jeunes lors d’un concert de musique, des femmes et des personnes âgées ; la violence sexuelle ; la prise d’otages par centaines — restent toujours présentes dans mon esprit. Nous ne devons jamais permettre au monde d’oublier les horreurs infligées par le Hamas ce jour-là, qui vivront à jamais dans l’infamie.
Aujourd’hui, nous nous souvenons des victimes des attentats du 7 octobre et réaffirmons notre engagement à ramener enfin chez eux tous les otages encore cruellement détenus par le Hamas. Je n’oublierai jamais ma visite en Israël—quelques jours à peine après l’horrible attaque — et la rencontre avec les familles des victimes de l’attaque du Hamas, y compris les familles des otages. 728 jours de travail minutieux plus tard : 48 otages restent en captivité—y compris les restes des New-yorkais Omer Neutra et Itay Chen. Chaque jour où ils sont séparés de leur famille et chaque jour où les familles en deuil se voient refuser une inhumation appropriée de leurs proches, est un jour de trop. Nous devons les ramener à la maison maintenant.
En ce moment crucial des négociations, l’administration Trump, tous ceux qui sont à la table et la communauté internationale doivent tout faire pour enfin obtenir un accord de cessez-le-feu-prise d’otages pour mettre fin à la guerre à Gaza, ramener chez eux les otages détenus par le Hamas, augmenter l’aide humanitaire pour les Palestiniens innocents à Gaza, et construire une paix durable.

> Je veux dire à Donald Trump, à Johnson et à Thune : venez au Capitole, asseyez-vous en public et débattez avec nous de la crise sanitaire qui afflige les Américains.
Je dirais au président Trump, quand nous étions avec vous la dernière fois—surprise, surprise, parce que vous êtes une personnalité publique — vous ne vouliez pas avoir les caméras là-bas. Eh bien, le public doit voir cela.
Je veux que le public voie mon point de vue sur les soins de santé et comment résoudre la crise—et vos points de vue, ceux de Johnson, ceux de Thune. Et ils le feront. Je crois qu’ils se rangeront de notre côté. Mais votre obligation—c’est ainsi que fonctionne la démocratie — est de débattre de cela en public. Je suis prêt à tout moment pour que tu viennes ici et que tu nous débats, en public, sur la crise des soins de santé.

> Il n’y a pas de négociations en cours. Trump a dit qu’il y en avait, et nous l’avons contredit. Et en fait, il y a juste quelques heures, même son propre attaché de presse a dû réfuter ce qu’il avait dit.
Et vous savez pourquoi il dit ça ? Il sent la chaleur. Nous, les démocrates—les sénateurs démocrates et les démocrates de la Chambre des représentants — avons fait un très bon travail pour faire savoir au peuple américain à quel point cette question est importante. Nous avons clairement indiqué que la raison pour laquelle les Républicains ont cette fermeture de Trump est qu’ils ne veulent même pas nous parler du problème.
Donc, cette idée qu’ils négocient avec nous est totalement insensée. Nous l’avons réfutée. Mais permettez-moi de dire ceci : nous sommes prêts à nous asseoir et à négocier les questions de soins de santé et comment soulager le peuple américain de la douleur qu’il ressent à tout moment, n’importe quel jour, en public.

 

Barack Obama (ancien président des Etats-Unis) 
> Félicitations à la nouvelle lauréate du prix Nobel de la paix, Maria Corina Machado, pour sa lutte courageuse pour apporter la démocratie au Venezuela. Il devrait inspirer ceux qui sont engagés dans des luttes similaires à travers le monde - et rappeler à ceux d’entre nous qui ont la chance de vivre en Amérique que nous avons une responsabilité solennelle de préserver et défendre constamment nos traditions démocratiques durement gagnées.

> Après deux ans de pertes et de souffrances inimaginables pour les familles israéliennes et le peuple de Gaza, nous devrions tous être encouragés et soulagés qu’une fin du conflit soit en vue ; que ces otages encore détenus soient réunis avec leurs familles ; et que l’aide vitale peut commencer à atteindre ceux qui se trouvent à l’intérieur de Gaza dont la vie a été brisée. Plus que cela, cependant, il incombe maintenant aux Israéliens et aux Palestiniens, avec le soutien des États-Unis et de toute la communauté mondiale, de commencer la tâche difficile de reconstruire Gaza – et de s’engager dans un processus qui, en reconnaissant l’humanité commune et les droits fondamentaux des deux peuples, peut atteindre une paix durable.

> Jane Goodall avait une capacité remarquable à nous inspirer à nous connecter aux merveilles naturelles de notre monde, et son travail révolutionnaire sur les primates et l’importance de la conservation ont ouvert des portes pour des générations de femmes en science. Michelle et moi pensons à tous ceux qui l’ont aimée et admirée.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat) 
> Hier : Trump s’est vanté, « Nous avons supprimé la liberté d’expression. » Aujourd’hui : Nouveau reportage sur les plans de Trump pour s’en prendre aux groupes d’opposition. Dans 9 jours : Nous organisons la plus grande manifestation pacifique de l’histoire moderne pour dire, haut et fort, que l’Amérique n’a pas de roi.

> Des enfants du monde entier sont morts parce que Trump et Musk ont inutilement détruit l’USAID. Voici quelques-unes de leurs histoires.

> Si les « droits des États » signifient quelque chose, ils doivent inclure le droit de ne pas se faire envahir par un autre État en temps de paix. Américains, prenez la parole et résistez aux attaques scandaleuses de Trump contre l’Illinois et l’Oregon.

> Les républicains au Congrès pourraient mettre fin à la fermeture de Trump aujourd’hui en adoptant un accord budgétaire qui protège vos soins de santé et retire les chèques en blanc de Trump.

> Trump veut retenir le gouvernement en otage jusqu’à ce que les démocrates acceptent d’augmenter les coûts de santé pour des millions d’Américains et lui donnent plus de pouvoir sans contrôle. Mais les soins de santé sont un droit humain. Et en Amérique, nous n’avons pas de rois.

 

● Japon 
♦ Parti démocrate constitutionnel
> Au sujet du retrait du Komeito de la coalition, il a déclaré : « C'est une décision très difficile qui a été prise. Le président Tetsuo Saito et moi-même avons été élus en 1993 et avons parfois travaillé au sein du même parti. Le LDP et le Komeito ont formé une coalition pendant 26 ans, et la grande majorité des députés ont grandi au sein de cette coalition. Je pense donc que la décision de quitter la coalition a été extrêmement difficile à prendre. »
Il a également souligné que cette décision résultait d'un sentiment de crise profond face au manque de remords du LDP concernant la question de l'argent en politique, un sujet que le président Saito avait soulevé comme une question en suspens. Il a ensuite déclaré : « Nous avons convenu avec M. Ishiba, lors de la commission budgétaire, de discuter de la proposition visant à réduire le nombre de sections locales du parti, jugé trop élevé (7 800), et à limiter les dons des entreprises et des organisations. Nous souhaitons donc discuter de la possibilité d'élaborer un projet de loi avec le Kōmeitō. »
Il a également analysé que le départ du Komeito de la coalition avait provoqué un séisme au sein du PLDJ et que celui-ci devait être très conscient de l'avoir poussé à bout. Il a également mentionné que les cinq candidats à la présidence du PLDJ avaient tous déclaré vouloir élargir la coalition, ajoutant : « Je pense qu'il n'y avait aucune considération pour l'ancien partenaire en vue de maintenir la coalition. La question de la politique et de l'argent, qui était la principale préoccupation du Komeito, a été aggravée par la nomination d'anciens dirigeants de la faction Abe à des postes de direction, ce qui a probablement conduit à cette décision difficile. Je pense que beaucoup de membres du PLDJ se demandent ce que fait la direction de Takaichi.
Il a également souligné que la coopération électorale entre le PLJ et le Kōmeitō était désormais « remise en question », et que le représentant Saito avait déclaré que la coopération électorale et les recommandations seraient « basées sur les personnalités ». Il a ajouté : « Je pense que certains députés du PLJ ont été élus de justesse grâce au soutien du Kōmeitō, et je pense que la question de la responsabilité de la direction de Takaichi va être soulevée, y compris pour ces personnes. »
Interrogé par un journaliste sur la possibilité d'une coopération avec le Komeito sur les questions liées à la politique et à l'argent, il a répondu : « Je pense que cela doit être discuté au sein du comité de promotion de la réforme politique de notre parti. C'est notre volonté de changer de cap qui a conduit à la déclaration du président Saito. » Il a également fait référence à la déclaration du président Saito lors de la conférence de presse, selon laquelle « puisque le Parti constitutionnel a également abandonné cette idée, nous allons nous orienter vers son abolition ». Il a ajouté : « Nous voulons relever le défi et voir si nous pouvons aller jusqu'à élaborer un projet de loi ensemble. »
Alors que le Parti constitutionnel appelle à une collaboration avec les différents partis d'opposition dans le cadre de l'élection du chef du gouvernement, il a répondu à la question d'un journaliste sur la manière dont il comptait aborder le Parti Komeito : « Une décision importante vient d'être prise aujourd'hui, il ne faut pas aller trop vite en besogne. » Il a toutefois ajouté : « Notre position de base est de rester au centre, mais le Parti Komeito a également évoqué aujourd'hui la notion de réforme centriste. Je pense que nous avons des points communs en ce qui concerne notre position.
« En 1993, année où M. Saito et moi-même avons été élus, la réforme politique était le thème principal, et la question du financement politique occupait une place importante. Plus de 30 ans plus tard, ce thème refait surface. Nous avons la responsabilité d'élaborer des mesures appropriées pour éviter que des scandales ne se reproduisent. Je pense que le Komeito s'est indigné contre le PLDJ, qui estime que la question a été réglée. Je partage tout à fait ce sentiment », a-t-il souligné.

> Le 10 octobre, le secrétaire général Azumi a répondu aux questions des journalistes à la Diète après l'annonce de la décision du Komeito de quitter le gouvernement.
Le secrétaire général Azumi a déclaré à propos de la décision du Komeito de quitter le gouvernement : « Ce fut sans doute une journée historique. La réaction du Parti libéral-démocrate face aux problèmes liés à la politique et à l'argent a sans doute dépassé les limites du supportable. » Il a ajouté : « Au cours de l'année écoulée, nous avons constamment appelé à une réforme sur les questions liées à la politique et à l'argent, mais nous avons été fermement convaincus qu'aucun progrès n'avait été réalisé. Même au prix de la rupture d'une coalition gouvernementale qui durait depuis 26 ans, le Parti libéral-démocrate devait être poussé à une profonde réflexion. » Il a également déclaré : « La dissolution d'une coalition n'est jamais chose facile, et nous étions attentifs à la suite des événements. En écoutant le discours du président Saito, j'ai eu l'impression que les membres du parti, y compris les membres, avaient été contraints de réparer les dégâts causés par le PLS. Ce n'est pas une colère passagère, mais plutôt le résultat d'un sentiment qui s'est accumulé au fil du temps et qui a conduit à cette rupture. »
En ce qui concerne l'impact sur la nomination du Premier ministre, « si le PLS présente Mme Sanae Takaichi et que le Premier ministre Shigeru Ishiba démissionne, elle sera nommée Premier ministre, mais le nombre de voix nécessaires pour être élu passera à 196. Notre parti dispose de 149 voix, et il est impossible de prédire quelle sera la combinaison finale, mais selon la combinaison du second tour, il est tout à fait possible que le pouvoir change de mains. » Il a ajouté : « Le Komeito a quitté la coalition au pouvoir, et la situation a complètement changé par rapport à hier. On ne sait pas qui deviendra Premier ministre. Il faut repartir de zéro pour réfléchir à la composition du cabinet et à qui en prendra la tête. »
Concernant les relations futures avec le Komeito, il a souligné : « Tout remettre à zéro ne signifie pas une coopération hors du gouvernement, mais plutôt devenir une fois pour toutes un parti d'opposition. Ne pas coopérer pour les élections signifie devenir un parti d'opposition, ce qui nous donnera l'occasion de discuter sur un pied d'égalité. Il a également exprimé son espoir en déclarant : « À l'origine, les partis étaient divisés entre opposition et gouvernement, mais en tant que force centriste, notre parti est probablement le plus proche en matière de politique étrangère, de sécurité et de politique intérieure ». Cependant, il a nié toute possibilité de former un gouvernement commun à l'avenir en déclarant : « Je n'y pense absolument pas ».
Il a également déclaré : « L'impact sur la société sera important, mais le choc au sein du Komeito et du PLD sera également considérable. Dans la politique d'après-guerre, l'effondrement de cette solide coalition gouvernementale est un événement majeur. » Il a ensuite évoqué la responsabilité du Parti constitutionnel démocrate : « En tant que premier parti d'opposition, nous devons réfléchir sérieusement à la gestion du gouvernement. Même si nous ne participons pas au gouvernement, compte tenu du nombre de sièges que nous détenons, nous sommes dans une position où nous ne pouvons pas ne pas partager la responsabilité avec le Parti libéral-démocrate. Nous voulons aborder cette situation avec sérieux. »
Concernant la persistance du vide politique, il a déclaré : « Après les élections à la Chambre des conseillers, le Parti libéral-démocrate a passé un temps infini à s'occuper de ses propres intérêts. Il ignore le peuple, les partis d'opposition et le Parti Komeito, et passe son temps à s'occuper de ses propres affaires, y compris l'élection de son président, et maintenant qu'il n'a plus aucune perspective, il nous demande d'attendre. S'il se comporte de manière aussi irresponsable, il vaudrait mieux qu'il nous cède le pouvoir. » Il a sévèrement critiqué l'attitude du PLD et a affiché sa confiance en déclarant : « Nous coopérons sincèrement avec les autres partis d'opposition et pouvons faire avancer la politique nationale, même si ce n'est que d'un ou deux pas. Nous pouvons mieux gérer le gouvernement. »
Concernant le fait que cette déclaration coïncide avec celle du Premier ministre Ishiba sur les 80 ans de la fin de la guerre, il a déclaré : « Il n'y a rien de mal à faire un bilan complet de la période d'avant-guerre. Il est bon de se souvenir que tout a commencé le 15 août 1945, avec une profonde réflexion et la détermination de construire un Japon pacifique », tout en s'interrogeant : « Est-ce vraiment le moment opportun pour cela, compte tenu des relations entre le gouvernement et le parti au pouvoir ? ».

 

● Royaume Uni 
♦ Liberal democrats 
> Personne ne devrait être coincé dans la terrible position d’attendre des mois pour obtenir des services de santé mentale. Il est temps de stimuler les soins de santé mentale dans ce pays.
Les démocrates libéraux se battent pour un accord équitable où la santé mentale et physique est traitée de manière égale. Si vous êtes d’accord que nous devons améliorer les services de santé mentale, rejoignez notre campagne dès aujourd’hui.

> Les droits des femmes sont attaqués dans le monde entier, par des régimes autoritaires, la misogynie en ligne et les réductions de l’aide.
Les droits des femmes sont érodés et leur défense doit être une priorité absolue.

> Il n’y a qu’une seule façon de faire en sorte que ce soit une paix appropriée et c’est une solution à deux États. Un État palestinien indépendant aux côtés de l’État d’Israël, où les deux peuples peuvent vivre en sécurité et dans la dignité.

> Nous resterons forts là où les autres reculent. Nous ne flatterons pas le parti Reform [extrême-droite]. Nous nous battrons pour protéger notre environnement, défendre la décence et l’état de droit, et empêcher l’Amérique de Trump de devenir la Grande-Bretagne de Farage. Si vous partagez ces valeurs, c’est le moment de rejoindre les libéraux-démocrates.

> On a de plus en plus l’impression que ce gouvernement place les caprices de Trump avant tout le reste - même notre précieux NHS.  Les ministres doivent présenter sans délai au Parlement leurs projets d’augmentation des dépenses en matière de médicaments, afin qu’ils puissent être dûment examinés.

> Des gens comme Robert Jenrick et Nigel Farage regardent de plus en plus les personnes qui ne sont pas blanches et suggèrent qu’ils ne peuvent pas être britanniques. Cela en soi est fondamentalement non britannique.

> Il y a deux ans, nous avons regardé avec horreur ces scènes effroyables de l’attaque terroriste diabolique du Hamas contre Israël. Nous sommes solidaires avec les juifs britanniques, le peuple d’Israël et les communautés juives du monde entier contre le terrorisme et l’antisémitisme sous toutes ses formes.

> Les personnes qui propagent la haine antisémite et incitent à la violence contre les Juifs s’en tirent. Nous craignons que l’approche du gouvernement ne fasse rien pour s’attaquer à cela tout en sapant le droit fondamental de manifester pacifiquement.

 

Ed Davey (leader) 
> La nouvelle d’un accord de cessez-le-feu à Gaza apporte un réel espoir. Le Royaume-Uni et nos alliés doivent faire tout ce que nous pouvons pour ramener les otages chez eux, obtenir de l’aide pour affamer les gens, et enfin mettre fin à cette horrible violence. Cela doit être le premier pas vers une solution à deux États et une paix durable.

> Nous avons une magistrature indépendante dans ce pays. Robert Jenrick veut des juges fantoches. Le Parti conservateur croyait autrefois à la primauté du droit et à nos valeurs britanniques communes, mais il n’y croyait plus.

> Je suis horrifié par les images d’une mosquée à Peacehaven en train de brûler après un incendie présumé. Tout le monde devrait pouvoir adorer libre de la peur et de la terreur. L’islamophobie est totalement inacceptable. Ceux qui répandent la haine et incitent à la violence contre les communautés musulmanes doivent arrêter.

> Horrifié et consterné par l’attaque devant la synagogue de la congrégation hébraïque du parc Heaton le jour de Yom Kippour, le jour le plus saint du calendrier juif. Mes pensées vont aux victimes, à nos courageux services d’urgence et à toute la communauté juive.

 

● Suisse 
♦ Le Centre 
> Non à la fraude fiscale : dépôt du référendum contre l’imposition individuelle.
Aujourd’hui, l’alliance interpartis a déposé 65’672 signatures pour le référendum contre l’introduction de l’imposition individuelle décidée par le Parlement. Cette réforme crée de nouvelles inégalités et représente un énorme monstre bureaucratique. C’est désormais au peuple de se prononcer sur l’introduction de l’imposition individuelle.
Une large alliance interpartis, composée du Centre, de l’UDC, du PEV et de l’UDF, avec le soutien de l’Union suisse des paysans et d’IG Familie 3plus, a déposé aujourd’hui 65’672 signatures contre l’introduction de l’imposition individuelle. Un signal clair que cette réforme rencontre une forte opposition dans la population. Le peuple suisse pourra se prononcer sur cette réforme, probablement en mars 2026, lors d’un vote populaire.
L’imposition individuelle crée de nouvelles injustices
L’imposition individuelle ne supprime pas la pénalisation du mariage et n’apporte pas plus de justice ou d’égalité. Au contraire, elle engendre de nouvelles inégalités. Les familles, les personnes seules et la classe moyenne seraient davantage mises à contribution, tandis que les ménages à deux revenus élevés profiteraient de cette réforme. Les couples dont un seul partenaire travaille, ou dont les revenus sont très différents, devraient payer nettement plus d’impôts que ceux dont les revenus sont similaires. Cela méconnaît la réalité sociale de nombreuses familles et les pénalise injustement. Aujourd’hui, les modèles de vie sont variés et notre système fiscal doit en tenir compte. Or, l’imposition individuelle complique encore davantage le système et ignore la contribution essentielle des familles, notamment lorsque l’un des parents accomplit un travail non rémunéré. Ce travail mérite reconnaissance et ne doit pas être désavantagé sur le plan fiscal.
Un monstre bureaucratique inutile
L’imposition individuelle représente en outre un véritable monstre bureaucratique. Elle devrait être introduite à tous les niveaux de l’État : Confédération, cantons et communes. Les couples mariés devraient alors remplir deux déclarations d’impôt, ce qui représenterait environ 1,7 million de déclarations supplémentaires par an. Cela entraîne une charge administrative énorme, des coûts élevés et oblige chaque année à un partage fastidieux du patrimoine entre les époux chaque année. Pourtant, la discrimination des couples mariés en matière d’impôt fédéral direct peut être supprimée sans modifier entièrement le système. Plusieurs cantons ont déjà démontré qu’une correction est possible de manière beaucoup plus simple. C’est précisément pour cette raison que dix cantons ont également lancé le référendum.

> Le Centre a remporté plus de 90 % de ses votes au Conseil national en 2025, se montrant ainsi nettement plus performant que les partis polarisés. Il s’impose comme la principale force du centre et comme un troisième pôle fiable entre la gauche et la droite.
En période de polarisation croissante, nous avançons avec des solutions qui bâtissent des ponts, permettent des compromis et favorisent la formation de majorités. Ainsi, nous maintenons la cohésion de la Suisse.

 

♦ Vert’libéraux 
> Le Conseil fédéral parle depuis des années de la pénurie de personnel dans l’armée et la PC. Mais il n’a toujours aucune solution pour y remédier – et rejette le Service citoyen, alors qu’il s’agit justement de la solution : 2x plus de personnes au service du pays.

> Le Service citoyen développe le sens des responsabilités, l’engagement, l’esprit d’initiative et le travail d’équipe. Ces compétences sont essentielles pour notre économie. Investir dans l’humain, c’est investir dans notre prospérité et notre avenir.

> Le Service citoyen renforce la cohésion sociale : en réunissant des personnes de tous horizons, il crée des valeurs communes, un fort esprit de communauté et un sens des responsabilités. Une étape essentielle face à la polarisation croissante de notre société.

> Le Conseil des États réclame sans cesse plus de sécurité – mais il s’oppose au Service citoyen, qui permettrait de doubler le nombre de personnes engagées dans des services liés à la sécurité. C’est incompréhensible !

> Bilatérales III (Paquet « stabilisation et développement des relations Suisse-UE »)
Le Parti vert‘libéral dit oui avec conviction aux Bilatérales III. Le nouveau paquet d’accords constitue une solution à la fois sur mesure et pragmatique pour ancrer la voie bilatérale sur une base stable et évolutive. Il garantit notre accès au marché, renforce la participation de la Suisse aux décisions qui l’affectent et établit des règles justes en cas de différends. Une réponse qui apporte prospérité et sécurité dans un monde en mutation.
La Suisse est confrontée à une situation mondiale marquée par l’augmentation de l’insécurité et de l’instabilité. Des droits de douane supplémentaires fixés arbitrairement déstabilisent notre économie d’exportation et le retour à une politique commerciale purement dictée par le pouvoir et la puissance nous menace. La Suisse, petit pays ouvert, dont la prospérité dépend largement du succès de ses exportations, vit des temps difficiles.
Pour le Parti vert’libéral, il est clair que, dans un tel contexte, des relations stables et fiables avec l’Union européenne, ainsi qu’un accès optimal au marché de loin le plus important partenaire commercial, sont indispensables. Nous voulons un accès au marché qui, grâce à la coopération et à l’harmonisation du droit, aille bien au-delà d’un simple accord de libre-échange moderne et qui nous protège, en cas de différends, contre des restrictions disproportionnées grâce à un mécanisme de règlement des différends fondé sur des règles claires. Le nouveau paquet d’accords répond à ces exigences.
L’Union européenne représente pour la Suisse bien plus que son principal partenaire commercial : elle regroupe 27 démocraties européennes, dont nos pays voisins, avec lesquels nous partageons la géographie, la culture et des valeurs communes. L’UE est aussi notre partenaire essentiel sur la scène mondiale lorsqu’il s’agit de trouver des solutions aux grands défis globaux – du changement climatique à la santé, en passant par la migration. En tant que petit pays au cœur d’un monde globalisé, nous ne pouvons affronter ces défis transfrontaliers qu’à travers une coopération étroite. Grâce au nouveau paquet d’accords, nous obtenons des droits de participation actifs et institutionnalisons la collaboration dans des domaines clés. La législation européenne continuera à avoir une importance pour notre économie ouverte. Nous renforçons notre souveraineté et notre capacité d’action lorsque nous pouvons faire valoir activement nos intérêts là où se prennent des décisions qui nous concernent.
Le nouveau paquet de traités constitue une solution à la fois sur mesure et pragmatique pour ancrer la voie bilatérale sur une base stable et évolutive. Il garantit notre accès au marché, renforce la participation de la Suisse et établit des règles équitables en cas de divergences. Une réponse qui apporte prospérité et sécurité dans un monde en mutation.

> Le PVL soutient fermement les Bilatérales III
Le Parti vert’libéral (PVL) a remis aujourd’hui sa réponse à la consultation au sujet du nouveau paquet d’accords avec l’Union européenne : nous disons un oui clair et convaincu aux Bilatérales III. « Nous sommes la première, et à ce jour la seule formation politique à soutenir sans détour un accord qui garantit la prospérité de notre pays pour l’avenir », déclare Jürg Grossen, président du Parti.
Dans un contexte marqué par le retour de la guerre en Europe, les préparatifs de nombreux pays à une potentielle attaque de la Russie, et la guerre commerciale menée par les USA, la valeur de relations solides et stables avec l’Europe n’a jamais été aussi évidente. Avec nos pays voisins, nous partageons bien plus qu’un marché : nous partageons aussi des valeurs démocratiques fondamentales.
« Pour le PVL, il est évident que nous devons garantir l’avenir de la voie bilatérale. C’est pourquoi, en tant que premier parti, nous soutenons le paquet de solutions sur mesure que constituent les Bilatérales III. L’accord de stabilisation et les autres accords renforcent notre partenariat avec l’Europe et placent également notre économie dans une position optimale pour l’avenir », souligne Jürg Grossen. « Je suis confiant que les autres forces constructives s’exprimeront elles aussi en faveur des Bilatérales III. »
« L’Union européenne n’est pas seulement le partenaire commercial le plus important de la Suisse. Elle regroupe 27 démocraties avec lesquelles nous pouvons trouver des réponses communes aux grands défis mondiaux, comme la lutte contre le changement climatique », rappelle la vice-présidente Céline Weber. « Ce nouveau paquet d’accords nous offre un accès au marché bien plus large qu’un simple accord de libre-échange : il propose une harmonisation des normes, des règles claires et un mécanisme de règlement des différends, ce qui nous protège des mesures arbitraires. »

 

Céline Weber (vice-présidente)
> Initiative dangereuse des Jeunes Socialistes, dite Pour l'Avenir : Pour nos enfants et le climat, un non s'impose. Faire fuir les «ultra-riches» va reporter les charges sur la classe moyenne et rien faire pour le climat.

> Mobilité : rapport du Conseil fédéral
Le fait que le fond routier est mieux doté que celui du rail ne doit pas faire oublier les projets importants pour le train en Suisse romande, surtout après le rejet de la population pour l'extension des autoroutes.

> [Démographie : Un défi immense attend la Suisse, mais il peut être résolu avec créativité]
Avec sa population qui augmente et qui vieillit, la Suisse est confrontée à de nombreux défis, surtout lorsqu'il s'agit du marché du travail et des retraites. La vert'libérale Céline Weber propose plusieurs solutions.
Selon plusieurs prévisions démographiques, la population suisse commencerait à diminuer dès 2029, si on cesse toute immigration. Dans 4 ans donc.
En clair, si nous voulons pouvoir continuer à profiter de nos assurances sociales, comme l’AVS par exemple, la Suisse, dont la population est vieillissante, serait mathématiquement dépendante de l’immigration. Le constat semble limpide.

Une dichotomie difficile à cerner
Pourtant, il suffit d’écouter les gens sur les marchés le samedi matin pour comprendre que la démographie galopante de ces dernières années pose de nombreux défis, à commencer par le plus important: l’acceptation sociale. Nul doute que, si le peuple a refusé l’extension des autoroutes, ou encore qu’il s’oppose régulièrement au développement de nouveaux quartiers, ce n’est pas tant pour des considérations purement écologiques, que pour des motifs clairement exprimés de vouloir préserver une certaine verdure.
Et cette exaspération doit être entendue. Mais que faire alors, dans cette situation qui semble inextricable?
Les grands défis du monde du travail
Une voie encore très peu exploitée, mais qui permettrait pourtant de faire d’une pierre deux coups, c’est de permettre aux Suisses qui le souhaitent, de travailler plus. Ça peut paraître saugrenu dit comme ça, mais des Suisses qui désirent travailler au-delà de 65 ans et qui en sont empêchés, il y en a.

Il ne s’agit pas ici de faire travailler plus longtemps des gens qui ont exercé une profession pénible, mais bien de permettre à celles et ceux qui ont encore la motivation de s’engager au-delà de l’âge de référence de la retraite, et pour qui le travail donne un sens à leur vie, de pouvoir le faire.
A l’heure actuelle, plus on est âgé, plus on coûte à son employeur en termes de charges salariales, alors qu’un jeune venu de l’étranger sera moins cher. Or, on pourrait imaginer réduire les charges salariales en introduisant un taux unique pour le 2e pilier, afin que ces charges soient les mêmes pour les jeunes et les personnes âgées. Ainsi, les travailleurs expérimentés resteraient attractifs pour les entreprises et ne seraient pas remplacés par une main-d'œuvre immigrée bon marché. Ceci permettrait également aux personnes au chômage après 50 ans de retrouver plus facilement du travail.
Les causes du manque de jeunes travailleurs
Et puis, au-delà de ces mesures en fin de carrière professionnelle, on peut également se demander pourquoi les Suisses entrent toujours plus tard sur le marché du travail. On assiste en effet à une diminution régulière du nombre de personnes actives sur le marché du travail dans la classe d’âge des 15-24 ans, et ça depuis 1970, malgré une augmentation du taux d'activité global des femmes.
Certes, le vieillissement de la population y est pour quelque chose (il y a moins de jeunes d’une manière générale). Mais pas que. L’allongement en partie artificiel du temps de formation, par exemple à cause de semestres perdus entre le service militaire et les études, ou encore entre la fin de l’école obligatoire et le début d’un apprentissage, y est aussi pour beaucoup.
Ainsi, une meilleure coordination permettrait de raccourcir ces temps d’attente. En outre, de plus en plus de jeunes souhaitent travailler à temps partiel dès le début de leur carrière professionnelle, alors qu’ils ont encore tout à apprendre, et pas de famille à charge. C’est compréhensible, dans la mesure où notre système fiscal, voire même l’octroi de certains subsides, les y incite.
Cependant, non seulement cela pose problème sur le plan économique, mais il faut également plus de personnes pour un même poste. Ainsi, au vu de ces statistiques, il devient évident qu’il ne faut pas seulement vouloir repousser l’âge de la retraite, mais qu’il faut aussi prendre des mesures pour une entrée plus précoce sur le marché du travail, et ne pas décourager les jeunes de travailler à plein temps
Enfin, une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie familiale permettrait aussi, pour celles et ceux qui le souhaitent, d’augmenter leur taux d’activité.
Pour conclure
Mis bout à bout, toutes ces mesures permettraient, selon plusieurs études, d’occuper près de 200 000 places de travail, et ce, sans faire venir une seule personne de l’étranger. De là à dire qu’il faut cesser toute immigration, ce n’est clairement pas le propos défendu ici.
Ceci dit, en nous montrant créatifs, et en nous engageant pour une croissance économique responsable et durable, nous pouvons (nous devons même) prendre les préoccupations de la population au sérieux, tout en maintenant un niveau de vie permettant aux Suisses de rester également à l’avenir un peuple de gens majoritairement heureux, comme ils le sont aujourd’hui si on en croit un récent sondage de la SSR.

 

● Venezuela
♦ Vente Venezuela
María Corina Machado (leader)
> [Prix Nobel de la paix] Cette reconnaissance de la lutte de tous les Vénézuéliens est un élan pour mener à bien notre tâche : conquérir la liberté. Nous sommes au seuil de la victoire et aujourd’hui, plus que jamais, nous comptons sur le président Trump, le peuple des États-Unis, les peuples d’Amérique latine et les nations démocratiques du monde comme nos principaux alliés pour atteindre la liberté et la démocratie. Je dédie ce prix au peuple vénézuélien souffrant et au président Trump pour son soutien décisif à notre cause !

> [Prix Nobel de la paix] Cette immense reconnaissance à la lutte de tous les Vénézuéliens est un élan pour conclure notre tâche : conquérir la liberté. Nous sommes au seuil de la victoire et aujourd’hui plus que jamais nous avons le président Trump, le peuple des États-Unis, les peuples d’Amérique latine et les nations démocratiques du monde comme nos principaux alliés pour atteindre la liberté et la démocratie. Le Venezuela sera libre!

> Nous avançons déjà dans la phase de résolution. Avec organisation, conviction et prière, parce que la clé est dans les gens. Notre peuple a atteint les primaires citoyennes. Notre équipe les a balayés le 28J. Notre peuple a résisté à cette année de répression avec la désobéissance silencieuse. Et encore une fois, la garantie d’une transition ordonnée est notre peuple.

> Le monde entier doit entendre ce cri. Cette petite fille crie pour son père et pour tout un pays qui a été humilié, persécuté et torturé sans pitié. Elle est la fille de Lewis Mendoza, enlevé ce samedi à Trujillo et arraché à sa famille, pour avoir montré une bannière qui disait «Venezuela libre . Son cri interpelle, pénètre, juge et contraint. Nous ferons ce que nous devons faire.

 

 


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