Car si elles sont «victimes», elles ne peuvent l’être selon le parti d’extrême-gauche par l’action de ces «résistants» ou de ces «combattants».
Reste à accuser Israël d’être le vrai responsable de leurs morts…
Ce qui serait logique puisque LFI ne cesse d’incriminer Israël pour la situation au Proche-Orient et estime même qu’il est responsable d’un génocide envers les Palestiniens dans la bande de Gaza.
Evidemment ce n’est pas l’opinion des familles des victimes ni de l’énorme majorité des Français mais les fan(atique)s de Jean-Luc Mélenchon n’en ont cure.
Dans leur vision antisioniste qui frôle l’antisémitisme quand elle ne se mélange pas carrément avec lui, la faute ne peut-être que celle d’Israël et de son existence même au-delà du gouvernement de droite radicale et extrémiste de Benjamin Netanyahu.
Dès lors, le 7 février, la présence des élus LFI sera une double insulte aux victimes qui, toutes, étaient franco-israéliennes et donc coupables selon la vision de LFI de leur propre massacre.
Si la décence avait encore un sens pour la formation mélenchoniste, elle devrait s’abstenir d’être aux Invalides d'autant que selon un sondage CSA, 75% des Français estiment qu'elle n'a pas sa place à cette cérémonie.
Mais l’on sait que ce mot ne fait pas partie de son vocabulaire.
A noter que la présence du RN peut aussi interroger du fait du passé antisémite du FN et de la présence en son sein d’antisémites notoires.
Reste que le parti d’extrême-droite a condamné le massacre du Hamas et qualifié celui-ci de terroriste.
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