dimanche 24 décembre 2023

Propos centristes. France – Joyeux Noël / Travailleurs de nuit revalorisés / Mieux rémunérer les fonctionnaires méritants / Loi immigration / Réduire la dette / Il faut un élan nouveau à la majorité…


Voici une sélection, ce 24 décembre 2023, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. 

► Emmanuel Macron (Président de la République)
> Bonnes fêtes à tous et joyeux Noël à nos compatriotes qui s’apprêtent à le célébrer. Solidarité à l’égard des Chrétiens d’Orient et des civils de toutes confessions confrontés à la guerre et aux violences, tout particulièrement ceux qui ont trouvé refuge dans la paroisse latine de Gaza.

> Soldats, marins, aviateurs, gendarmes, policiers, sapeurs-pompiers, soignants, à vous qui êtes mobilisés pour la Nation au moment des fêtes : nous pensons à vous et exprimons notre reconnaissance. Immense merci.

 

► Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste] 

Elisabeth Borne (Première ministre) 
> À l'approche de Noël, je souhaite à chacun de nos compatriotes de passer de joyeuses fêtes ! J’ai une pensée particulière pour nos forces de sécurité et de secours, nos soignants et agents du service public qui veillent sur nous ce soir : merci pour votre engagement.

> Je m’y étais engagée et nous le faisons : à compter du 1er janvier, le travail de nos soignants la nuit, le dimanche et les jours fériés sera mieux rémunéré. Une juste reconnaissance de l’engagement de celles et ceux qui se consacrent et prennent soin de la santé des Français.

> Fructueux échange téléphonique avec mon homologue tunisien Ahmed Hachani sur les grands volets de coopération entre nos deux pays. Continuons d’approfondir la très riche relation franco-tunisienne.

 

Gérald Darmanin (ministre de l’Intérieur et des Outre-mer) 
> Joyeux Noël à toutes et tous! Ce soir, j’ai une pensée particulière pour les policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers et agents de préfecture mobilisés pour notre sécurité. Merci à eux pour leur disponibilité de chaque instant.

> Sur mon instruction, les policiers et gendarmes seront mobilisés de façon visible devant les lieux de culte pour protéger les fidèles chrétiens qui se rassembleront pour les fêtes de Noël ce soir et demain matin.

 

Catherine Colonna (ministre de l’Europe et des Affaires étrangères) 
> Joyeux Noël et bonnes fêtes de fin d'année à toutes et à tous!

 

Éric Dupond-Moretti (garde des Sceaux, ministre de la Justice) 
> Joyeux Noël ! Ce soir, j’ai une pensée particulière pour nos magistrats, greffiers, agents pénitentiaires et de la PJJ, les CPIP et les avocats qui, tous ensemble, assurent le bon fonctionnement de la justice pendant les fêtes. Merci à eux, ils ont toute notre reconnaissance!

 

Sébastien Lecornu (ministre des Armées) 
> Joyeux Noël à tous ! À nos soldats, marins et aviateurs, mobilisés pour assurer notre sécurité, en France comme à l’étranger : les Français savent l’importance de votre engagement et de votre mission. La Nation vous salue et vous remercie.

> En septembre, en Moldavie, nous nous étions engagés à livrer un radar GM200 d’ici à la fin de l’année. Engagement tenu. Pour améliorer la sécurité du ciel moldave et du flanc est de l’Europe.

 

Sylvie Retailleau (ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche) 
> Je vous souhaite à toutes et tous un joyeux Noël et de joyeuses fêtes de fin d’année ! Avec une pensée particulière pour celles et ceux qui continuent de nous protéger et de nous soigner tout au long de cette période.

 

Agnès Firmin Le Bodo (ministre de la Santé et de la Prévention) 
> Engagement de la Première ministre tenu : parution ce matin des textes revalorisant le travail de nuit, le dimanche et les jours fériés. Au total, plus d’1 milliard d’euros consacrés à l'amélioration des salaires des professionnels de santé. Des mesures d’attractivité inédites.

 

Aurore Bergé (ministre des Solidarités et des Familles) 
> Il ne doit plus y avoir de différence entre sanitaire et médico social. C'est pour cela qu'avec Elisabeth Borne, nous garantissons aussi que ces revalorisations concernent tous les soignants de la fonction publique hospitalière.

 

Stanislas Guerini (ministre de la Transformation et de la Fonction publiques) 
> Engagement tenu. Plus d'un milliard d'euros pour mieux rémunérer ceux qui travaillent dur à l'hôpital.

> À la rentrée, ce sera le coup d’envoi des concertations autour du projet de loi de réforme de la fonction publique.

> Oui, nous devons mieux rémunérer les fonctionnaires méritants. Ce sujet ne doit pas être tabou. Il sera au cœur du projet de loi pour réformer la fonction publique.

> Je soutiens la loi Immigration à 100%. Cette loi est utile pour le pays. Et elle est très majoritairement soutenue par les Français.

> Parler de «préférence nationale», c'est une grande fumisterie. Ce qui a été voté dans la lo immigration, ce sont des principes qui s'appliquent déjà dans notre droit. Cette loi a été votée. Il faut désormais l'appliquer. Ça s'appelle la démocratie.

 

Bérangère Couillard (ministre déléguée chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les Discriminations) 
> Je vous souhaite de belles fêtes de Noël et vous envoie mes souhaits les plus chaleureux.

 

Thomas Cazenave (ministre délégué chargé des Comptes publics) 
> Le Rassemblement National ment aux Français. Ils veulent mettre fin aux régularisations, prioriser les Français aux étrangers pour l'accès au travail. Je le dis clairement : ce n’est pas ce que le texte prévoit. Nous allons doubler les régularisations dans les métiers en tension.

 

Charlotte Caubel (secrétaire d’Etat chargée de l’Enfance) 
> Joyeuses fêtes à tous ! À la veille de Noël, je pense tout particulièrement aux enfants. Merci aux professionnels, aux associations, aux bénévoles et à tous les adultes qui leur permettent de célébrer de belles fêtes de fin d'année.

 

Sabrina Agresti-Roubache (secrétaire d’Etat chargée de la Ville et de la Citoyenneté) 
> En ce soir de réveillon de Noël, je vous souhaite à toutes et tous, de très belles fêtes de fin d’année. Une pensée particulière pour nos forces de sécurité et de secours ainsi que tous nos agents du service public mobilisés pendant cette période.

 

Laurence Boone (secrétaire d’Etat chargée de l'Europe) 
> Le Pacte Asile et Migration va permettre à l’UE de sécuriser nos frontières extérieures, d’accueillir les réfugiés avec dignité, de lutter contre les passeurs. C’est aussi une victoire politique : quand on arrête la politique politicienne, on trouve des compromis.

 

Chrysoula Zacharopoulou (secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux) 
> Joyeux Noël et très belles fêtes de fin d’année à toutes et à tous ! J’ai une pensée particulière pour les équipes du ministère des Affaires étrangères , mobilisées ce soir encore à travers le monde pour notre pays.

 

Sarah El Hairy (secrétaire d’Etat chargée de la Biodiversité) 
> Très belles fêtes de fin d’année à toutes et à tous !

 

► Assemblée nationale 
Yaël Braun-Pivet (présidente) 
> Qu’il s’agisse de la demande de Thomas Portes, de lever l’immunité parlementaire du député Meyer Habib ou de l’article controversé de Le Parisien à ce sujet, je réponds pour rappeler les règles en vigueur à l’Assemblée. Seule la justice peut demander la levée d’une immunité parlementaire, la présidente de l’Assemblée n’en a pas le pouvoir.

 

► Haut-commissariat au Plan 
François Bayrou (Commissaire, président du Mouvement démocrate) 
> [Loi immigration] Les Français approuvent massivement cette loi, dans tous les courants de l’opinion, même à l’extrême gauche. Et tout responsable politique conscient devrait aussi approuver le principe d’une telle loi. Car c’est la situation actuelle qui est inacceptable, insupportable et inhumaine.
D’un côté, l’impression d’une impuissance généralisée face à la pression migratoire. Déclarations multipliées, mais efficacité jamais atteinte. Le droit d’asile est détourné. Le droit d’étudier souvent aussi.
D’un autre côté, la situation des migrants, livrés aux mafias de passeurs et, lorsqu’ils parviennent en France, enfermés dans la clandestinité. Dans une ville comme celle dont je suis maire, à Pau, ils sont plusieurs centaines. Des dizaines et des dizaines de jeunes hommes, confinés ensemble aux frais de l’État dans des hôtels réquisitionnés, interdits de travail, condamnés à l’oisiveté avec tous les risques de dérives, de bandes communautaires, que les associations et les mairies occupent comme elles peuvent en les faisant jouer au foot. Accepter que cette situation dure, cela aurait été pure lâcheté.

> [Loi immigration] Le projet du gouvernement était équilibré. Il a été présenté d’abord au Sénat et amendé. Il aurait dû être ensuite débattu par l’Assemblée nationale. Mais il s’est passé un fait inédit. Les oppositions, extrêmes de droite et de gauche, ont additionné leurs voix pour décider que l’Assemblée ne devait pas examiner le texte ! Ils sont élus pour faire la loi et ils décident qu’ils ne feront pas leur travail ! Dès lors, le texte du Sénat restait le seul. Et la procédure où sept députés et sept sénateurs cherchent un accord était difficile.
S’en est suivi le coup de Trafalgar du Rassemblement national destiné à faire croire que c’est l’extrême droite qui était à l’origine de cette loi et que le gouvernement était pris en otage. Nous avons pu déjouer cette manœuvre en prouvant que les voix des extrêmes n’avaient pas été nécessaires à l’adoption. On est passé près d’un accident politique.

> [Victoire idéologique du Rassemblement national] À aucun moment et sur aucun article du texte cette affirmation n’est justifiée. Par exemple, ceux qui voulaient supprimer l’aide médicale ont été écartés. Soigner les malades, d’où qu’ils viennent, c’est le devoir de tout médecin. Enlever la nationalité française à des binationaux auteurs de crimes, c’est la moindre des choses.
Lorsque François Hollande proteste aujourd’hui, il oublie que c’est lui, lorsqu’il était président, qui a voulu l’introduire. Quant au droit du sol, demander à un jeune qui souhaite devenir français à 18 ans d’en faire simplement la demande solennelle, c’est prendre au sérieux son choix et l’appartenance à notre nation. On ne doit pas devenir français « à l’insu de son plein gré ». Ernest Renan disait : « La nation, c’est un plébiscite quotidien. » Nous ne devons pas être un pays qui braderait sa nationalité.

> [Loi immigration] Je n’approuve pas l’obligation d’exiger une caution pour les étudiants étrangers. Cela signifie que les plus pauvres n’auraient pas la chance de venir étudier chez nous. On aurait ainsi écarté Senghor ? De la même façon, la possibilité de régularisation par le travail, par la langue et par la formation à nos valeurs républicaines aurait pu être mieux rédigée.

> Nous n’avons pas encore appris les règles et la pratique parlementaire d’une Assemblée sans majorité absolue. On ne comprend pas que le pluralisme est la loi de la démocratie, et que cela ne cessera pas. Les deux blocs, c’est fini ! À droite, certains députés étaient favorables à la loi, d’autres y étaient opposés. À gauche, les anciens amis de Manuel Valls, ceux de Bernard Cazeneuve, l’auraient sans doute votée.
Le pluralisme est la loi de l’avenir. Mais il faut en réapprendre la pratique. Grâce à nos institutions, le pluralisme ne conduit plus au désordre. C’est pour cela que la Ve République a été créée par le général de Gaulle. C’est au président, élu au suffrage universel, de prendre en compte les différentes sensibilités, et à son chef de gouvernement de chercher le consensus le plus large sur les lois qu’ils portent.

> Je ne donne pas d’injonction au président de la République. Je dialogue avec lui et ne mets jamais en cause les prérogatives de sa fonction. Le cap qui est le sien, porter toutes les réformes nécessaires, tout en gardant le pays uni, c’est pour moi l’essentiel.
Il y a deux sortes de politiques : il y a ceux qui cherchent leur carburant politique dans la division, dans la détestation et la haine de l’adversaire. C’est ce que fait Trump par exemple. Et c’était mon désaccord avec Nicolas Sarkozy. Et il y a ceux qui ne perdent pas de vue l’indispensable et vitale unité du pays. C’est en cela que le cap d’Emmanuel Macron est pour moi fort et juste. Quitte à affronter des tempêtes, à commettre des erreurs.

> Avec cette loi sur l’immigration s’achève une période de dix-huit mois qui a été très difficile. Les suites du covid, la guerre en Ukraine, l’inflation, la loi sur les retraites, l’immigration, les tensions dans le pays, dans le gouvernement parfois, c’était dur et il a fallu résister. Une nouvelle page s’ouvre. Il faut un élan nouveau, un renouvellement. Mais avec quelles personnalités, quelle architecture gouvernementale semblable ou différente, la même ou plus resserrée, comme je le souhaite ? C’est au président de le décider.

> La Ve République, ce ne sont pas des accords d’appareil, avec des partis qui tirent à hue ou à dia. C’est un projet, porté par une personnalité élue au suffrage universel, autour de laquelle on forme une équipe. Cette équipe doit garder sa cohérence et son centre de gravité. Dès lors, les personnalités différentes, riches d’expérience sont les bienvenues.

 

► Partis politiques 

● Renaissance 
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits] 
Stéphane Séjourné (Secrétaire général & président du groupe Renew Europe au Parlement européen) 
> Joyeux Noël à toutes et tous ! À l’année prochaine.

 

Sylvain Maillard (président du groupe à l’Assemblée nationale) 
> Je vous souhaite de joyeuses fêtes de Noël et une excellente année 2024 ! Cette année olympique fera rayonner Paris et la France dans le monde entier. Les putés Renaissance continueront d’être au rendez-vous des réformes, afin de poursuivre la transformation de notre pays.

 

Jean-René Cazeneuve (député)
> [Loi immigration] On a été obligés de faire des concessions dans le cadre de cette fameuse commission mixte paritaire. On leur a dit aux sénateurs qu’un certain nombre de mesures risquaient de ne pas passer le Conseil constitutionnel. Mais ils se sont arc-boutés, c’est de leur responsabilité, on a subi un petit peu cela. Le juge arbitre, le Conseil constitutionnel, nous donnera j’imagine raison ;

> [Dépenses publiques] La France tire bien son épingle du jeu par rapport aux autres pays européens. On a une inflation qui est plus faible, on a une croissance (…) et pourtant on est quand même sur le fil du rasoir. Il faut à la fois soutenir nos politiques publiques prioritaires et à la fois réduire la dette. (…) Il faut faire des économies

 

● MoDem 
Bruno Millienne (député) 
> Joyeuses fêtes à toutes et tous !

> Fake news alert! Travailler pour une revue très ancrée à gauche n'autorise pas cette journaliste à tous les mensonges. Hormis le budget (que les oppositions ne votent jamais) et les retraites, aucun autre texte n'a été adopté en 49-3 ! Pouvoir d’achat, Énergies renouvelables, Nucléaire, Industrie verte, Plein emploi, lois de programmation des ministères de l'intérieur et de la Justice, Immigration, etc. Toutes ces lois majeures ont été débattues et votées en bonne et due forme !

 

 

Européennes 2024. Sondage Odoxa – Le RN à 31% et la majorité présidentielle à 21%, en baisse / Les extrêmes à 48,5%


Selon les résultats de la première vague du sondage de l’institut Odoxa pour Public sénat et la presse régionale concernant les élections européennes, la liste du RN arrive en tête des intentions de vote avec 31% devant la liste de la majorité présidentielle (Renaissance, MoDem, Horizons) avec 21%.

Vient ensuite la liste du PS à 9% puis celle de LR à 9%, celle de LFI à 6,5% et celles d’EELV et de Reconquête à 6%.

Le total de listes des extrêmes est de 48,5%.

Résultats:
- LO: 2,5%
- LFI: 6,5%
- PC: 3%
- PS: 9%
- PRG: 0,5%
- EELV: 6% (=)
- Parti animaliste: 1% (=)
- EAC: >1% (=)
- Renaissance/MoDem/ Horizons: 21%
- LR: 9%
- DLF: 2%
- RN: 31%
- Reconquête: 6%

- Alliance rurale: 0,5%
- Autres: 3%
- Sans intention de vote: 24%

 

Rappel résultats
- Présidentielle 2022: Droite: 40,19%; Gauche: 31,94%; Axe central: 27,85%
- Législatives 2022: Droite: 36,80 %; Gauche: 33,20%; Axe central: 27,87%; divers: 2,13%
- Européennes 2019 / 34 listes ayant obtenues des voix dont: RN: 23,24%; Majorité présidentielle: 22,42%; EELV: 13,48%; LR: 8,48%; LFI: 6,31%; PS: 6,19%

 

(Sondage Odoxa réalisé par internet les 13 et 14 décembre 2023 auprès d’un échantillon de 1004 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus / Méthode des quotas / Marge d’erreur entre 2 et 4,3 points selon l’institut)

 

 

Européennes 2024. Sondage Opinionway – Le RN à 27% et la majorité présidentielle à 19%, en baisse / Les extrêmes à 48%

 
Selon les résultats de la nouvelle vague du sondage de l’institut Opinionway pour le quotidien Les Echos concernant les élections européennes, la liste du RN arrive en tête des intentions de vote avec 27% (-1) devant la liste de la majorité présidentielle (Renaissance, MoDem, Horizons) avec 19% (-1).

Vient ensuite la liste du PS à 10% puis celle de LR à 9%, celles d'EELV et de Reconquête à 8% et celle de LFI à 6%.

Le total de listes des extrêmes est de 48%.

Résultats:
- LO: 1% (-1)
- LFI: 6% (-1)
- PC: 3% (=)
- PS: 10% (+1)
- PRG 2% (-1)
- EELV: 8% (=)
- Parti animaliste: 1% (=)
- EAC: >1% (=)
- Renaissance/MoDem/ Horizons: 19% (-1)
- LR: 9% (+1)
- DLF: 3% (+1)
- RN: 27% (-1)
- Reconquête: 8% (+1)
- Autres: 3% (+1)
- Sans intention de vote: 23%

 

Rappel résultats
- Présidentielle 2022: Droite: 40,19%; Gauche: 31,94%; Axe central: 27,85%
- Législatives 2022: Droite: 36,80 %; Gauche: 33,20%; Axe central: 27,87%; divers: 2,13%
- Européennes 2019 / 34 listes ayant obtenues des voix dont: RN: 23,24%; Majorité présidentielle: 22,42%; EELV: 13,48%; LR: 8,48%; LFI: 6,31%; PS: 6,19%

 

(Sondage Opinionway réalisé par internet les 13 et 14 décembre 2023 auprès d’un échantillon de 1003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus / Méthode des quotas / Marge d’erreur entre 1,8 et 3,8 points voire plus selon l’institut)