samedi 26 mai 2018

Actualités du Centre. Macron mène une «politique de justice et de mérite»

Emmanuel Macron
Selon Emmanuel Macron, il mène une «politique de justice et de mérite» et qu’il l’«assume totalement».
Quant aux Français qui «chaque jour, étudient, travaillent, s’occupent de leurs familles, veulent bien vivre, vivre le mieux possible, construire un avenir pour leurs enfants et veulent que la France soit ce pays où ils peuvent construire cet avenir et où il y a un progrès pour chacun et redevienne un pays fort, je veux leur dire que c’est mon projet».
En outre, il a affirmé que «les réformes vont continuer».
Défendant son action depuis un an, lors d’un entretien sur BFMTV, il a estimé que «nous avons mis fin à l’impuissance française».
Notamment parce que «nous avons profondément transformer le pays pour reconstruire les bases d’une économie plus solide qui produise et se faisant peut être plus juste» et que «nous avons aussi construit les bases pour une éducation plus juste (…) pour plus d’égalité».
Et de poursuivre en déclarant qu’il s’agissait d’«une transformation qui n’a jamais été faite en matière d’éducation» et d’«une transformation du monde du travail qui a pour but plus de souplesse et de meilleurs protections».
Dans la foulée, il a expliqué que s’il «ne bloque pas ceux qui sont en train de réussir», c’est «parce que je pense que ceux qui réussissent sont bon pour le pays mais je leur demande d’investir, d’embaucher, de faire davantage, d’être responsables dans le pays».
Et de rappeler quel était l’état de la France à son arrivée à l’Elysée:
«Est-ce que le système dans lequel nous vivions était bon et juste? Un système qui faisait de la reproduction sociale à l’école (…) un système qui fait que l’on vit depuis des décennies dans un chômage de masse (…) et où parmi les grands pays européens le chômage des jeunes est le plus élevé.»
Quant aux mouvements sociaux initiés par certains syndicats et qui ont un aspect souvent plus politique que social, il a été très clair:
S’il a «besoin des syndicats pour animer la démocratie sociale», ceux-ci «ne sauraient se substituer à la représentation nationale et à la légitimité populaire».
Par ailleurs, il a estimé que les «engagements que j’ai pris pendant la campagne, je les ai faits».