dimanche 27 mars 2022

La quotidienne centriste du 27 mars 2022. Oui, les mots utilisés par Biden pour parler de Poutine sont justes et pertinents

Oui Vladimir Poutine est un criminel de guerre et il faut encourager son peuple à le renverser.

Oui, «cet homme ne peut pas rester au pouvoir».

Car, comme le dit Biden aux Russes, «je refuse de croire que vous accueillez favorablement le meurtre d'enfants et de grands-parents innocents ou que vous acceptez que des hôpitaux, des écoles, des maternités soient pilonnés par des missiles et des bombes russes».

Oui, Poutine est un «boucher» qui a déclenché une guerre où, sans raison, il assassine des civils.

Oui, Joe Biden a eu raison de rappeler ces évidences même si ses équipes ont tenté, diplomatiquement, de les atténuer.

Mais tout le monde sait que le président américain dit la réalité.

Et l’on est déçu que les dirigeants européens et notamment Emmanuel Macron n’aient pas le courage de parler ce langage sa,s concession à propos d’une canaille.

C’est en ayant voulu «apaiser» le dictateur russe par des propos accommodants que ce dernier a cru que l’Occident était en décadence et qu’il pourrait faire ce qu’il voulait.

Seul le discours de la fermeté et du rapport de force peut l’empêcher d’aller plus loin.

Alors, oui, Biden a eu raison de le prévenir, «ne pensez même pas à avancer d'un centimètre en territoire de l'Otan».

 

[Retrouvez quotidiennement ce billet rédigé par l’équipe du CREC concernant l'actualité du jour]

 

Propos centristes. France – Guerre de Poutine contre l’Ukraine / Crise alimentaire mondiale / Prix de l’énergie / Présidentielle: projet de Macron…

Voici une sélection, ce 27 mars 2022, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.

Emmanuel Macron (Président de la République)
> Forte pression sur le régime russe à travers des sanctions sans précédent, soutien sans faille à l'Ukraine sur tous les plans, maintien des canaux de dialogue : en Européens, nous avons réaffirmé notre réponse face à la guerre de la Russie en Ukraine.

> Cette guerre de la Russie en Ukraine, en empêchant les récoltes et les semences de céréales, entraîne déjà de sérieux problèmes d'approvisionnement. Pour prévenir ce qui menace de devenir une crise alimentaire, nous lançons l'initiative Food and Agriculture Resilience Mission.

> Assurer notre approvisionnement et maîtriser les prix de l’énergie, voilà nos objectifs à court terme.

 

Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste]

Jean-Yves Le Drian (ministre de l'Europe et des Affaires étrangères)
> [Déclaration des ministres des Affaires étrangères du G7 sur le tir d’un missile balistique intercontinental par la Corée du Nord]
Nous, les ministres des affaires étrangères de l’Allemagne, du Canada, des États-Unis d’Amérique, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni (G7), ainsi que le Haut Représentant de l’Union européenne, condamnons fermement la poursuite des essais de missiles balistiques par la République populaire démocratique de Corée (RPDC), y compris le tir d’un missile balistique intercontinental (ICBM) le 24 mars 2022.
Depuis le début de l’année 2022, la RPDC a effectué une série sans précédent de tests de missiles qui s’appuient sur les tests de missiles balistiques effectués en 2021, y compris des tirs de nouveaux missiles dits hypersoniques, et a revendiqué un test de missile balistique lancé depuis un sous-marin. Ces essais démontrent les efforts continus de la RPDC pour étendre et développer plus avant ses capacités dans le domaine des missiles balistiques. Nous regrettons profondément que la RPDC, à travers ses tirs les plus récents, ait également abandonné son moratoire autoproclamé sur les lancements d’ICBM. Nous condamnons fermement ces actes qui constituent une violation flagrante des obligations de la RPDC en vertu de nombreuses résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, notamment la résolution 2397 (2017). Ces actions inconsidérées menacent la paix et la sécurité régionales et internationales, posent un risque dangereux et imprévisible pour l’aviation civile internationale et la navigation maritime dans la région et exigent une réponse unie de la communauté internationale, y compris à travers de nouvelles mesures qui pourraient être prises par le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Nous demandons instamment à la RPDC de se conformer pleinement à toutes les obligations juridiques découlant des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité. Nous demandons à la RPDC d’accepter les offres répétées de dialogue présentées par toutes les parties concernées, y compris les États-Unis, la République de Corée et le Japon. Nous, les ministres des Affaires étrangères du G7 et le Haut Représentant de l’Union européenne, appelons également la RPDC à abandonner ses programmes d’armes de destruction massive et de missiles balistiques de manière complète, vérifiable et irréversible.
Il est clair que la situation humanitaire désastreuse en RPDC est le résultat du détournement des ressources de la RPDC vers des programmes d’armes de destruction massive et de missiles balistiques plutôt que vers le bien-être de son peuple.
Nous appelons tous les États à mettre en œuvre pleinement et efficacement l’intégralité des mesures restrictives relatives à la RPDC imposées par le Conseil de sécurité des Nations unies et à traiter le risque de prolifération d’armes de destruction massive en provenance de la RPDC comme une priorité urgente. Nous prenons note avec préoccupation du rapport du groupe d’experts créé en application de la résolution 1874(2009), selon lequel des transferts illicites de navire à navire continuent d’avoir lieu. Nous restons prêts à apporter notre aide et à renforcer les capacités pour une mise en œuvre efficace des sanctions. Dans le contexte de la pandémie de Covid-19, nous saluons le travail du Comité 1718, qui a rapidement approuvé toutes les demandes d’exemption de sanctions liées à la Covid-19 pour l’aide humanitaire à la RPDC.
Le G7 est déterminé à travailler avec tous les partenaires concernés pour atteindre l’objectif de la paix dans la péninsule coréenne et faire respecter l’ordre international fondé sur des règles.

 

Elisabeth Borne (ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion)
> [Retraites] Il faut tenir compte des différences entre les métiers, adapter les règles de départ à la retraite et prévenir l’usure professionnelle. Ce n’est pas pareil de travailler dans un bureau ou d’être carreleur. Une concertation sera menée en ce sens.

> Création de la solidarité à la source pour lutter contre le non recours aux aides sociales, accompagnement vers l’emploi des bénéficiaires du RSA… le progrès et la justice sociale sont au cœur du projet d’Emmanuel Macron.

 

Olivier Véran (ministre des Solidarités et de la Santé)
> La solidarité à la source permettra d'éradiquer le non recours aux prestations sociales (1 bénéficiaire sur 3 du RSA ne le perçoit pas!), de simplifier, d'automatiser, tout en luttant plus efficacement contre les fraudes.

> Le savez-vous ? Il existe désormais un traitement efficace contre la covid19. Il réduit de 85% le risque d'hospitalisation et de décès. Si vous êtes âgé de plus de 65 ans ou malade et que vous venez de contracter la Covid19, avec des symptômes, n'hésitez pas à en parler à votre médecin.

 

Julien Denormandie (ministre de l'Agriculture et de l'alimentation)
> Jamais, on ne doit s’habituer aux extrêmes en politique. Toujours, on les combat.

> Croire en l’Europe, croire en la solidarité internationale, se battre pour cela est absolument important.

> La France est un pays indépendant dans son alimentation, c’est la puissance de notre modèle agricole.

> On est aux côtés de nos agriculteurs (...) si on n'a pas d'agriculteurs, on n'a pas d'agriculture.

> Il y a un risque de crise alimentaire majeur à l'international.

 

Amélie de Montchalin (ministre de la Transformation et de la fonction publique)
> Emmanuel Macron est un homme libre. Il est libre des visions partisanes et des synthèses politiciennes. Il est le seul à pouvoir incarner le dépassement politique nécessaire à notre pays.

> Le projet d’Emmanuel Macron repose sur deux jambes. L’unité : il veut rester le Président de tous les Français, pas celui d’un « peuple de gauche » ou « de droite ». L’ambition, parce qu’il veut continuer à bouleverser les conservatismes à leur service.

> Marine Le Pen n’a pas changé depuis 2017, elle a juste changé de masque. C’est une arnaque politique qui tente de duper les Français sur sa vraie nature. Elle ne protégera pas leur pouvoir d’achat, parce qu’elle est dangereuse et incompétente.

> [Fonction publique] Aujourd'hui on a un système par catégories, A, B et C, qui crée un plafond de verre, avec des gens qui n'ont plus de perspectives salariales. Ce système ne peut être ni attractif, ni engageant, ni mobilisant, on veut le changer.

> Il faut en permanence se demander comment faire le lien entre le projet qu'on porte et ce que vivent les Français dans chacun de leurs territoires.

> Le but, c'est que le RSA ne soit pas une trappe, une impasse. Nous voulons que chacun puisse trouver sa place dans un monde où la première valeur qu'on met en avant, c'est le travail.

> Le candidat Macron propose un projet qui tient sur deux jambes : la première, c'est l'unité. Il veut continuer d'être le président de tous les Français. La deuxième, c'est l'ambition : nous cherchons à transformer en profondeur.

> Même si demain les hostilités s'arrêtaient, les conséquences de ce qu'il s'est passé depuis un mois sont majeures et déterminantes pour des années. C'est le débat public dans son ensemble qui aurait été différent.

> Comme tous les autres candidats, Emmanuel Macron a présenté un projet, il a mis dans le débat un certain nombre d'idées, il a fait du pouvoir d'achat la clé de son projet.

> Le moment le plus marquant de la campagne est le début de la guerre en Ukraine, qui par sa gravité écrase tout (...), qui rappelle que le président de la République en France est d'abord le chef des armées.”

 

Franck Riester (ministre chargé du commerce extérieur et de l'attractivité)
> [Zemmour] Comment prétendre diriger la France quand on n’est pas capable d’arrêter ses propres partisans qui insultent ignominieusement le chef de l’Etat ? N’est pas homme d’Etat qui veut.

> La France, l’Europe et l’Afrique ont un destin en commun, et Emmanuel Macron porte cet avenir.

 

Emmanuelle Wargon (ministre chargée du Logement)
> Pour le RSA, le projet tient en deux morceaux : d'un côté un versement automatique, c'est la solidarité à la source, de l'autre, un vrai accompagnement.

> On évalue à environ 30 000 le nombre de personnes en provenance d’Ukraine. Notre objectif est d’être en capacité d’en accueillir environ 100 000 le plus vite possible.

 

Olivier Dussopt (ministre chargé des Comptes publics)
> A la suite de la remise du rapport IGF/IGAS sur le fonctionnement du groupe Orpéa, nous saisissons la Justice et demandons le remboursement des dotations publiques mal utilisées.

 

Brigitte Bourguignon (ministre chargée de l'Autonomie)
> Au regard de dysfonctionnements graves constatés par l’IGAS et l’IGF au sein du groupe Orpéa, sur le plan humain et organisationnel, l’État va déposer plainte dans les plus brefs délais.
Non seulement nous portons plainte contre le groupe Orpéa, mais nous allons aussi exiger la restitution de chaque centime des dotations publiques qui n'auraient pas été utilisées en direction des résidents.

> En vertu de l’article 40 du code de procédure pénale, toute autorité est tenue de signaler des faits délictueux dont elle aurait connaissance. Dans leurs conclusions, les membres des Inspections générales des finances (IGF) et des affaires sociales [qui ont mené conjointement la mission déclenchée contre Orpea après la parution du livre de Victor Castanet mettant ce groupe en cause] recommandent de saisir la justice notamment pour des irrégularités présumées sur l’utilisation des financements publics. Il existe de fortes présomptions de détournement à d’autres fins de certaines dotations publiques destinées à financer des soins ou le paiement des personnels. Et d’irrégularité de certaines remises accordées par des fournisseurs sur des achats effectués avec des crédits publics. C’est pourquoi nous réclamons la restitution des sommes concernées. Les inspecteurs dénoncent par ailleurs de graves dysfonctionnements portant sur l’organisation du travail, avec un manque de personnels formés, mais aussi des fragilités dans l’accompagnement des résidents et des carences dans leur alimentation.
> Nous avons lancé une vague de contrôles sans précédent qui concernera les 7 500 Ehpad dans les deux prochaines années. Actuellement, 150 établissements d’Orpea sont inspectés par des fonctionnaires des ARS et des conseils départementaux. L’idée est d’empêcher que, par le biais de manipulations comptables, des deniers publics puissent être employés à enrichir des groupes privés et ne servent pas à assurer la prise en charge des résidents. Il y avait jusqu’à ces derniers mois une boîte noire, peu contrôlable et contrôlée, sur la partie hébergement.
(…) Nous avons annoncé le 8 mars le renforcement des obligations des groupes privés lucratifs en matière de transparence comptable et financière. Nous allons améliorer le suivi des signalements et engager tous les établissements dans une démarche « qualité » associant les résidents.

> Toutes les mesures prises début mars (multiplication des contrôles, mise en place d’indicateurs clés, etc.) et même avant, à l’automne lors du vote du budget de la Sécurité sociale, vont contribuer à améliorer la qualité de vie des résidents. Je pense notamment à l’ouverture de 20 000 postes de soignants. Un des problèmes des Ehpad est qu’ils ne ressemblent pas aux maisons de retraite d’antan, qui accueillaient beaucoup de personnes en bonne santé. Aujourd’hui, les résidents y entrent plus tard, souvent en perte d’autonomie. Il faut aller plus loin vers la médicalisation.
> On n’a pas fait une loi mais plusieurs au cours des deux dernières années ! Nous avons créé et financé une cinquième branche de la Sécurité sociale. Nous avons investi 2,1 milliards d’euros pour rénover 25 % des places d’Ehpad, augmenté les salaires des professionnels dans le cadre du Ségur de la santé. Nous avons aussi revalorisé les aides à domicile, mis l’accent sur la prévention de la dépendance et engagé le virage du « vieillir à domicile ». Le « tout-Ehpad » ne peut pas être une solution car la majorité des Français veulent vivre chez eux ou dans des formes alternatives de logement. Certes, tout n’a pas été fait, après vingt ans de sous-investissement. Le plus grand scandale est que le grand âge n’ait longtemps intéressé personne. 

 

Sarah El Hairy (secrétaire d’Etat chargée de la Jeunesse et de l’Engagement)
> A partir ce vendredi 1er avril, une remise carburant de 15cts par litre sera mise en place. Une réponse immédiate face à une situation d'urgence. En Italie, ce n'est pas 4% en plus de facture d’électricité que nous devrions payer mais 130% !
Mais pour répondre à plus long terme, le mix énergétique :
- On continue les
réductions de consommation d’énergie, en rénovant, en changeant nos pratiques
- Le
nucléaire, avec de nvx réacteurs
- Le renouvelable avec le solaire et l’éolien en mer!

> Nous avons engagé près de 20Mds d’€ :
- Tarifs du gaz & de l'électricité bloqués
- Chèque énergie et indemnité inflation versés à 38M de personnes
- Revalorisation de l'indemnité kilométrique.

Pour protéger les ménages et les entreprises.

 

Assemblée nationale
Richard Ferrand (président)
> [Meeting de Zemmour au Trocadéro où la foule scande «Macron, assassin !»] Les slogans de mort font écho au râle politique de celui qui a « le suicide français » pour obsession et la haine pour seul viatique. Le fantasme du « grand remplacement » s’évanouira par éviction démocratique le 10 avril prochain.Les Français choisiront l’espoir pas le délire.

 

Partis politiques

● LaREM
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Christophe Castaner (président du groupe à l’Assemblée nationale)
> Partout en France, nous faisons campagne. J'entends les retours positifs : mais cela ne garantit en rien le résultat de ce premier tour. C'est pour cela que nous continuons de mobiliser pour porter notre projet, quand d'autres sont dans la seule critique.

> La « cape de banalité » portée par Marine Le Pen ne doit tromper personne. Dans son discours, elle dit à chacun ce qu’il veut entendre. Dans la réalité, elle reste une candidate d’extrême-droite, que je ne cesserai jamais de combattre.

> Zemmour prétend faire l’union des droites. La réalité, c’est qu’il n’est pas de la droite républicaine, qui n’aurait jamais laissé scander des insultes, et ne se serait pas tue en entendant ces slogans honteux. C’était indigne, intolérable, mais pas étonnant de sa part.

> Protéger notre système de retraite et le rendre plus juste : voilà le sens de notre action. C'est ce qu'Emmanuel Macron portera dans les 5 années à venir !

> Pour l’avenir de la France, pour notre avenir, deux chantiers sont essentiels : l’école, et la santé.

> A l’extrême droite comme à l’extrême gauche, de Mélenchon à Le Pen, la propension à systématiquement être aveuglé quand on parle de la Russie est… impressionnante. Ni crédible, ni sérieux.

 

Aurore Bergé (présidente déléguée du groupe à l’Assemblée nationale)
> [Propos de l’écologiste Sandrine Rousseau] Le combat pour l'égalité entre les femmes et les hommes, l'éradication de toutes les formes de violence sont des causes trop importantes pour être laissées à ceux qui les détournent ou les tournent en ridicule à coup de délit de non répartition des tâches ménagères.

 

Pieyre-Alexandre Anglade (porte-parole du groupe à l’Assemblée nationale)
> Dans cette élection, rien n’est écrit, rien n’est joué. C’est pour cela que nous menons campagne partout sur le terrain. Il nous faut convaincre, convaincre et convaincre encore. Convaincre que notre projet est le meilleur pour la France et les Français.

> « Battre Emmanuel Macron» comme le répètent les oppositions, n’est pas un projet pour le pays. Nous, nous voulons continuer à renforcer la France et améliorer la vie des Françaises et des Français.

> Aller vers le plein emploi dans le prochain quinquennat. Voilà l’objectif que nous pouvons atteindre tous ensemble avec Emmanuel Macron en continuant de mener les bonnes réformes pour le pays.

> Marine Le Pen mène sa campagne en mode camouflage. Elle ne dit plus rien sur le fond et gomme tout ce qui pourrait faire désordre. Mais elle n’a pas changé, elle porte toujours le même projet de division et de régression.

> La plus grande des solidarités, c’est de tout faire pour permettre à ceux qui sont les plus éloignés de l’emploi de retrouver du travail. C’est ce que nous voulons faire avec la réforme du RSA. Accompagner chacun sur le chemin du retour à l’emploi.

> Avec Emmanuel Macron nous portons des propositions qui peuvent changer la vie de millions de Français. De la solidarité à la source, au droit de garde opposable, en passant par la retraite minimale nous créerons de nouvelles solidarités.

> Les Français comprennent très bien que dans ce temps de crise, de retour de la guerre en Europe le rôle du Président de la République c’est d’agir pour les protéger. Cela ne nous empêche pas de mener campagne à ses côtés avec la plus grande détermination.

> Le seul candidat sérieux qui créé le débat avec ses propositions dans cette élection c’est Emmanuel Macron. La meilleure réponse à ceux qui disent que nous ne ferions pas campagne, c’est la densité et l’ambition du projet présenté aux Français.

> En France, le chômage n’a pas été aussi bas depuis 15 ans, et même depuis 40 ans pour le chômage des jeunes. Nous voulons et nous pouvons atteindre le plein-emploi dans le quinquennat à venir. Avec Macron 2022, le plein-emploi, c’est possible.

 

● MoDem
Jean-Noël Barrot (secrétaire général)
> Grâce à l'impôt minimum sur les sociétés, toutes les entreprises agissant en France payeront désormais des impôts en France.

> Les deux réformes les plus importantes pour notre avenir : celle pour rebâtir notre école et celle pour refonder notre système de santé.

 

Autres

● Organisations centristes
♦ Renaissance
(Députés français du groupe centriste Renew Europe au Parlement européen)
Stéphane Séjourné (président du groupe Renew Europe au Parlement européen)
> Le mois d’avril est marqué par 3 grandes élections qui vont déterminer en partie l’avenir de l’Union européenne : le 3 avril en Hongrie, le 24 en France et en Slovaquie ;

> Des centaines de milliers d’Ukrainiens cherchent refuge en Hongrie. J’ai vu sur le terrain combien les autorités locales sont laissées sans soutien du gouvernement Orban.

 

Nathalie Loiseau
> [Meeting de Zemmour au Trocadéro où la foule scande «Macron, assassin !»] Éric Zemmour vient de se disqualifier définitivement : incapable de contester un slogan absurde et scandaleux, il montre qu’il attise la haine sans même savoir maîtriser les instincts de ses partisans. Irresponsable et dangereux.

> Depuis plusieurs jours, les troupes azéries violent ouvertement le cessez-le-feu au Haut-Karabakh. La Russie, obsédée par l’Ukraine, va-t-elle laisser faire ?

> C’est vrai que des maternités bombardées, ça n’émeut ni Vladimir Poutine, ni Éric Zemmour. L’intérêt des Français, c’est de ne pas conduire au pouvoir celui qui rêve d’un « Poutine français » et d’une alliance avec la Russie. On n’oublie rien du pas de deux de Zemmour avec la Russie.

 

 

Présidentielle 2022. Propos de campagne de Macron du 27 mars – Guerre de Poutine contre l’Ukraine / Réformes prioritaires de l’éducation et de la santé / Réforme des retraites…

Retrouvez ici les derniers propos tenus pas le candidat représentant le Centre et l’axe central, Emmanuel Macron, lors de la campagne présidentielle.

> Je le dis à toutes et tous, allez voter. Regardez le projet qui est le plus proche de vos aspirations, quel qu’il soit. C’est le moment où l’on fait une démocratie forte

> Les deux réformes les plus importantes pour notre avenir : celle pour rebâtir notre école et celle pour refonder notre système de santé.

> Je propose un investissement massif de 12 milliards d’euros part an pour l’école dont six pour la rémunération des personnels et une concertation avec les enseignants, les parents et l’ensemble des acteurs pour faire progresser le système éducatif.

> Le quoiqu’il en coûte nous l’avons fait car nous sommes crédibles. Réforme de l’assurance chômage, lutte contre les déficits depuis 5 ans.

> Pourquoi une réforme des retraites?
1. Pour préserver la retraite par répartition,
2. Pour permettre une pension minimale à 1100 euros,
3. Pour prendre en compte la pénibilité des carrières.

> Je sens bien que les Français sont fatigués à la suite de ces deux dernières années. Dans ce contexte il nous faut de la bienveillance, de l’écoute et du calme pour continuer à avancer notamment sur la réforme des retraites c’est indispensable.

> Nous voulons arrêter la guerre que la Russie a lancée en Ukraine sans faire la guerre, ni escalade. C'est ça l'objectif qui est le nôtre depuis un mois. (…) Nous ne devons pas, nous Européens, céder à quelque escalade. Nous ne devons pas, nous Européens, oublier notre géographie et notre histoire. Nous ne sommes pas en guerre avec le peuple russe.

> Mon devoir est de protéger les français de la guerre sur notre sol, de sanctionner la Russie pour qu’elle stop, d’aider les ukrainiens, d’accueillir les réfugiés et d’obtenir par la voie diplomatique le retrait total des troupes.

> Il faut évacuer la population de Marioupol dans un délai rapide.

> Sous présidence Française de l’Union européenne nous allons passer l’impôt minimal pour toutes les sociétés, les grandes multinationales du numérique. C’est une bataille internationale, je l’ai menée en européen.

> Le Président doit être au front pour protéger et agir. Donc oui, du coup il fait moins de meetings et ça créé une frustration pour moi-même le premier.

> [Contrats entre l’Etat et des cabinets de conseils] On a l'impression qu'il y a des combines, c'est faux. Aucun contrat n'est passé dans la République sans qu'il respecte la règle des marchés publics. Que quiconque a la preuve qu'il y a manipulation mette le contrat en cause au pénal. (…) Je ne suis pas persuadé que sous ce quinquennat il y ait eu plus de contrats que sous certains autres, y compris de ceux qui nous attaquent aujourd’hui. (…) Lorsque des ministères sont jour et nuit au travail, qu'ils demandent des prestataires extérieurs pour les aider ne me choque pas.