2005-2025: 20 ANS D'INFORMATION SUR LE CENTRE ET LE CENTRISME

dimanche 7 septembre 2025

Vues du Centre. La mission du service public de l’information n’est pas d’influencer mais d’informer, messieurs Legrand et Cohen

Par Jean-François Borrou et Alexandre Vatimbella


Thomas Legrand, journaliste à Libération et à Radio France dont les interventions sont aussi partisanes que sans substance et Patrick Cohen, journaliste à France télévisions et Radio France dont la fibre de gauche est bien connue, ont été pris en flagrant délit de propos partisans et, plus problématique, dans leur détermination à faire perdre Rachida Dati, candidate de droite à l’élection à la mairie de Paris.

Que l’on comprenne bien: messieurs Legrand et Cohen peuvent tout à fait être des journalistes engagés dans des médias engagés et partisans et vouloir la défaite de Dati et le proclamer haut et fort dans ceux-ci.

Alors pourquoi est-ce que leur comportement est grave pendant de Patrick Cohen essaye de noyer le poisson en parlant de «respect de la vie privée» pour des propos tenus dans un lieu public que tout le monde pouvait écouter?

Parce qu’il s’agit du service public de l’information, un service rendu aux citoyens et payés par les citoyens pour être informés et non endoctrinés.

Et qu’ils n’ont pas dit qu’ils étaient de gauche et qu’ils ne voteraient pas pour Dati mais qu’ils ont dit qu’ils étaient de gauche et qu’ils comptaient faire perdre Dati dans leur emploi de journalistes dans le service public.

Mais découvrir qu’il est investi par la Gauche, quelle hypocrisie!

Ici, nous n’avons cessé de demander une vraie réforme de ce service public pour qu’il devienne enfin ce qu’il doit être, un service qui délivre une information citoyenne pour que chacun puisse avoir les informations pour avoir une opinion et non recevoir des opinions partisanes qui biaisent totalement l’information.

Et nous dirions exactement la même chose si ce service public était noyauté par la Droite comme c’était le cas lors des premières années de la présidence de Charles de Gaulle puis lors de la reprise en main par Georges Pompidou après 1968 et à la fin de la présidence de Valéry Giscard d’Estaing.

Car, oui, messieurs Legrand et Cohen, vous avez le droit d’avoir une opinion, c’est même une des bases de la démocratie républicaine libérale.

Mais, non, dans votre travail de journaliste dans le service public audiovisuel, vous n’avez pas à la mettre en avant pour essayer d’influencer des électeurs.

Quand on travaille dans le service public de l’information, votre mission est d’informer pas d’influencer.

Ou alors vous devez être présentés comme des éditorialistes de gauche, ce qui n’est jamais le cas, et que des éditorialistes de droite puissent prendre la parole dans le même temps.

Et n’en déplaise aux médias de gauche, le fait que les propos aient été dévoilé par un média d’extrême-droite ne change pas le fond du problème.

Il faut dire qu’ils soutiennent leurs amis dans une vision partisane de ce que doit être le journalisme de service public qui, malheureusement, jusqu’à présent n’a jamais existé et défini dans une charte que devrait respecter tous ceux qui travaillent dans des rédactions de celui-ci.

Jean-François Borrou
Alexandre Vatimbella

 

[Dans cette rubrique, nous publions les points de vue de personnalités centristes qui ne reflètent pas nécessairement ceux du CREC. Ces points de vue ont pour but d’ouvrir le débat et de faire progresser la pensée centriste. 
Jean-François Borrou est le pseudonyme d’un journaliste proche des idées centristes. 
Alexandre Vatimbella est directeur du CREC]

 

 


Propos centristes. Monde – Etats-Unis: Trump affaiblit l’économie / Canada: produire et acheter canadien / Royaume-Uni: le danger Farage / Brésil: le Centre contre la polarisation de Lula / Côte d’Ivoire: santé pour tous / Venezuela: résister aux enlèvements d’opposants par Maduro…


Voici une sélection, ce 7 septembre 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

● Argentine
♦ Propuesta Republicana
> Très bonne nouvelle qui arrive de Bruxelles et nous rapproche de l’objectif stratégique de mettre en œuvre l’accord Mercosur-Union européenne, initiative que le PRO promeut et pour laquelle nous avons travaillé en équipe et de manière soutenue au cours des dernières années.

 

 

● Brésil
♦ União Brasil
Antonio Rueda (président)
> Notre présence au gouvernement fédéral a toujours été critique et indépendante.
Nous cherchons à contribuer à la construction de consensus et de projets supranationaux, nécessaires pour rêver d’un pays qui ne dépende pas des résultats des cycles électoraux, afin d’avoir une trajectoire fiable de croissance et de développement.
Ouvrir des voies au milieu des divergences est un défi inhérent à la politique.
Ces chemins, lorsqu’ils sont bien pavés, sont faits pour survivre à des désaccords salutaires.
Mais ils ne doivent pas - et ne peuvent pas - survivre à la constatation qu’ils conduisent à des scénarios de crise, d’insécurité et de recul.
Savoir participer à des chemins guidés par des tiers est une vertu de la bonne politique.
Constater quand ce sentier n’est plus sûr pour un peuple à parcourir, c’est le rôle des leaders.
Le gouvernement fédéral a émis des gestes insistants de priorisation d’un projet de parti, au détriment d’un projet de pays ; il s’est fermé au dialogue, tant national qu’international ; il a reculé dans les politiques fiscales et a recouru à la taxation, au lieu d’affronter la gestion des dépenses. Nous avons critiqué chacun de ces gestes et, en ce moment, nous comprenons qu’au-delà de la critique, nous devons agir avec cohérence pour faire comprendre le message au peuple brésilien : il y a d’autres voies.
La logique «nous contre eux» ne résout pas les problèmes du Brésil.
La polarisation ne crée pas d’emplois, n’améliore pas l’éducation, ne garantit pas la sécurité ; elle sert seulement à éloigner les gens de causes importantes et à saper les institutions.
L’avenir réside dans des investissements à long terme, dans des partenariats internationaux renforcés, dans la responsabilité fiscale et dans une véritable génération d’opportunités.
Il est temps de penser à un projet de pays.

 

● Canada 
♦ Gouvernement 
Mark Carney (Premier ministre) 
> Notre mission principale consiste à bâtir une force économique durable pour les travailleurs et les familles du Canada.

> Le nouveau gouvernement du Canada entend « acheter canadien » pour bâtir avec des ressources canadiennes.

> Le nouveau gouvernement du Canada bâtit grand – avec des ressources canadiennes.   Nous instaurons la politique Achetez canadien.
Il ne faudra plus soutenir les industries canadiennes « dans la mesure du possible ». Dans les contrats fédéraux, ce sera une obligation claire.

> Nous n’avons aucune emprise sur les actions des autres pays. Mais nous en avons sur ce que nous nous offrons, sur ce que nous bâtissons pour répondre à nos propres besoins. Le Canada est en train de bâtir la plus forte économie du G7, une économie qui dépend moins des puissances étrangères et qui est plus résiliente face aux secousses mondiales. Devant l’incertitude qui pèse sur le monde, nous veillons à ce que nos travailleurs et nos entreprises soient prospères en affirmant la force du Canada à l’intérieur de ses frontières. 

> Nous lançons des initiatives pour les travailleurs et les entreprises des secteurs les plus touchés par les droits de douane.   Nous rendons notre économie plus résiliente et veillons à ce que les travailleurs et les industries puissent mener à bien ce changement et prospérer.

> Nous bâtissons l’économie de demain – et veillons à ce que les travailleurs et les entreprises du Canada aient ce qu’il faut pour réussir.

> Nous venons de conclure le Forum de planification du Cabinet automnal.
Un automne chargé nous attend : nouveau budget et nouvelles lois et politiques importantes visant à transformer l'économie canadienne. Nous travaillons rapidement depuis le début, et nous maintenons le rythme.

> Notre priorité absolue est de bâtir une économie plus forte, pour que les Canadiens et les Canadiennes profitent d’une plus grande certitude, d’une plus grande sécurité et de possibilités de carrière stimulantes qui les aident à progresser.

> Nous nous concentrons sur la réalisation de grands projets qui vont transformer et relier notre économie, en créant des milliers de carrières bien rémunérées qui vont permettre d’autonomiser les Canadiens et les Canadiennes et de renforcer les communautés.

> Le gouvernement du Canada se remet à la construction de logements abordables.   Nous allons bâtir à un rythme jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale, en utilisant les dernières technologies pour construire plus rapidement, plus intelligemment et de manière plus durable.

> Face à l’évolution des relations commerciales à l’échelle mondiale, le nouveau gouvernement du Canada se concentre sur ce qu’il peut contrôler : bâtir notre économie.   Nous avons des objectifs ambitieux pour l’automne : bâtir davantage de logements, accélérer la mise en œuvre de grands projets et veiller à ce que les travailleurs et les entreprises touchés par les droits de douane disposent des outils nécessaires pour s’y adapter et prospérer.

> Le nouveau gouvernement du Canada est déterminé à réaliser de grands projets, plus rapidement.   Cela donnera lieu à la construction de millions de nouveaux logements, ports, corridors commerciaux et projets énergétiques, grâce à des matériaux et à des travailleurs canadiens.

> Pendant trop longtemps, la construction d’infrastructures majeures au Canada a été ralentie par la lenteur des processus d’approbation. Le nouveau gouvernement du Canada corrige cette situation grâce au nouveau Bureau des grands projets.

> À l’occasion de la fête du Travail [1er septembre], nous rendons hommage à la force et à la résilience des travailleurs canadiens et nous célébrons les femmes et les hommes qui bâtissent l’avenir du Canada.
Les syndicats canadiens défendent depuis longtemps le principe selon lequel ce que nous voulons pour nous, nous le voulons aussi pour tous les autres, et exigent que les travailleurs soient traités avec équité et dignité. Les fondements d’une prospérité commune et d’une économie équitable qui profite à tous, notamment le salaire minimum, le congé de fin de semaine, des milieux de travail sécuritaires et les avantages sociaux, ont été établis et obtenus grâce aux efforts déployés par les syndicats.
Dans un contexte mondial en rapide évolution, le nouveau gouvernement du Canada travaille avec les syndicats pour s’assurer que les travailleurs ont les compétences, le soutien et les possibilités dont ils ont besoin pour réussir. Nous bâtissons un Canada fort et les travailleurs sont au cœur de notre mission. De concert avec les syndicats, le nouveau gouvernement du Canada s’efforce de créer non seulement des emplois, mais aussi des carrières bien rémunérées offrant une prospérité et des possibilités durables.

> Ce matin, j’ai participé à une réunion virtuelle de la Coalition des volontaires afin de discuter des moyens de fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine. Aux côtés des autres membres de la Coalition, j’ai salué l’ouverture des États-Unis à soutenir les efforts déployés en ce sens afin d’assurer la paix et la sécurité à long terme en Ukraine et en Europe.   J’ai également affirmé l’engagement inébranlable du Canada envers la Coalition ainsi que la volonté de ce dernier de fournir à l’Ukraine une aide militaire directe et évolutive à l’appui d’un cessez-le-feu et d’une paix durable.

 

François-Philippe Champagne (ministre des Finances et du Revenu national)
> Nous comprenons l’incertitude à laquelle font face un grand nombre de Canadiens et de Canadiennes en raison des droits de douane imposés par les États-Unis et de l’évolution du commerce mondial. Ainsi, notre gouvernement prend des mesures ambitieuses et ciblées, en investissant dans l’ingéniosité de nos travailleurs et la résilience de nos industries. Ces mesures vont permettre aux entreprises de disposer des liquidités nécessaires pour s’adapter, aux travailleurs d’acquérir les compétences requises pour diriger, et à notre économie de prospérer dans un avenir plus autonome et diversifié.

 

Mélanie Joly (ministre de l’Industrie et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec)
> L’industrie canadienne est le pilier de l’économie de notre pays. Notre gouvernement investit de manière stratégique dans nos travailleurs et nos industries afin de bâtir l’économie la plus résiliente du G7. L’annonce d’aujourd’hui marque une autre étape importante dans notre mission visant à bâtir une seule économie canadienne, à renforcer notre capacité concurrentielle à l’échelle mondiale et à diversifier nos échanges commerciaux. Il s’agit d’un moment charnière pour l’ensemble des Canadiens et des Canadiennes, au moment où nous bâtissons une prospérité à long terme dans toutes les régions de notre pays.

 

● Corée du Sud
Lee Jae-myung (président de la république)
> Certains affirment que mes récents propos au sujet d'accidents sur le lieu de travail ou des retards de versements de salaires dénotent d'une position pro-travailliste, mais je ne le vois pas de cette façon. Ce sont des questions de vie et de pouvoir d'achat. Cela n'a rien à voir avec le fait de prendre le parti des entreprises ou des travailleurs.

 

● Côte d’Ivoire
♦ Gouvernement 
Alassane Ouattara (président de la république)
> Mes chaleureuses félicitations et mes voeux de plein succès au nouveau Président de la Banque Africaine de Développement, Sidi Ould Tah. La Côte d’Ivoire, en tant que pays hôte de la Banque Africaine de Développement, réaffirme son engagement total à soutenir la Banque et à collaborer pleinement avec le Président Ould Tah dans l'accomplissement de sa mission au service du développement de notre continent.

 

Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP)

> Santé pour tous : le gouvernement proroge la gratuité de la cmu jusqu’en décembre 2025.
Le Président Alassane Ouattara a décidé de prolonger de quatre mois supplémentaires, jusqu’au 31 décembre 2025, la mesure « CMU Zéro Cotisation ». Lancée le 1er mai dernier par le Premier Ministre Robert Beugré Mambé, cette initiative a déjà permis d’enrôler plus de 20,9 millions de personnes, principalement issues du secteur informel. Grâce à cette prolongation, les bénéficiaires continueront d’accéder à des soins de santé gratuits ou fortement subventionnés dans les structures sanitaires. Le gouvernement vise désormais 24 millions d’enrôlés avant fin décembre, confirmant ainsi sa volonté de bâtir une « Côte d’Ivoire solidaire » où la santé est un droit pour tous.

> Sous le leadership du Président Alassane Ouattara, la Côte d’Ivoire a conclu un financement durable inédit de 433 millions d’euros, adossé à deux garanties du Groupe de la Banque mondiale. Ce mécanisme, une première mondiale, offre au pays une notation triple A et des conditions financières avantageuses. Il intègre un système incitatif « bonus/malus » lié à des objectifs 2030, dont les énergies renouvelables, la lutte contre la déforestation et la résilience agricole. L’opération reflète la confiance des institutions internationales dans la solidité économique de la Côte d’Ivoire. Elle consacre le pays comme un leader régional et mondial en matière de finance durable.

> Le 1er septembre 2025 à Abidjan, Sidi Ould Tah a officiellement pris fonction comme président de la Banque Africaine de Développement, en présence des Chefs d’État Alassane Ouattara et Mohamed Ould El Ghazouani. Le nouveau dirigeant de la BAD a promis de relever les défis liés à la dette, aux crises géopolitiques et aux retards des Objectifs de Développement Durable. Il a exprimé sa gratitude à Alassane Ouattara pour son rôle décisif dans son élection. Le Président ivoirien a rappelé l’importance stratégique de la BAD pour le développement du continent dans les secteurs clés comme l’énergie, l’agriculture et l’éducation. Cette investiture confirme Abidjan comme un centre névralgique du développement et de la diplomatie africaine.

> La ministre ivoirienne Euphrasie Kouassi Yao a séjourné à Oslo du 25 au 31 août 2025, invitée par le Conseil Norvégien pour l’Afrique et l’Institut de Recherche sur la Paix (PRIO). Cette mission a permis de renforcer les liens entre la Côte d’Ivoire et la Norvège autour des thématiques Genre, Paix et Développement durable. Elle a rencontré la NORAD et le ministère norvégien des Affaires étrangères pour explorer de nouvelles pistes de coopération. Lors d’une table ronde, elle a présenté les programmes de la CUEFPOD, dont CREA-PAIX, et a suscité l’intérêt des chercheurs avec son ouvrage sur l’alliance entre genre et paix. Ce déplacement marque une avancée majeure pour la diplomatie ivoirienne, désormais reconnue comme un acteur global dans la promotion de l’égalité et de la paix.

 

● Equateur
♦ Gouvernement 
Daniel Noboa Azin (président de la république)
> Aujourd’hui l’Equateur a un cap, et c’est grâce à l’effort de chacun d’entre vous. Parce que nous combattons à ses côtés, jamais depuis un bureau, jamais au-dessus de personne.

> Les Choneros et les Lobos peuvent continuer à croire que personne ne les touche.
Mais la réalité est autre : ils ont été déclarés comme des groupes terroristes par les États-Unis, avec leur soutien nous allons continuer fermement dans notre lutte pour récupérer notre pays.

 

● Etats-Unis  
♦ Parti démocrate 
Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des représentants) 
> Les démocrates de la Chambre des représentants ont eu une période de travail de district d’août très active. Nous avons organisé plus d’un millier d’événements différents à travers le pays, interagissant avec des Américains ordinaires que nous avons le privilège de représenter. Nous avons parlé de l’économie, nous avons parlé des soins de santé et nous avons parlé de nettoyer la corruption ici à Washington, D.C. Dans ce grand pays, l’Amérique est devenue beaucoup trop chère. Le coût de la vie est beaucoup trop élevé. Donald Trump et les républicains de la Chambre des représentants ont promis à plusieurs reprises de réduire le coût élevé de la vie dès le premier jour. Ils ont échoué. Les coûts ne diminuent pas. Ils augmentent. L’inflation augmente. Les factures d’électricité montent en flèche. Les Américains ordinaires sont frappés par une augmentation des primes de santé, des copaiements, des franchises et des prix des médicaments sur ordonnance. Les coûts du logement n’ont pas diminué. Ils continuent d’augmenter. L’Amérique est trop chère.
Le One Big Ugly Bill reste profondément impopulaire. Lors de la réunion municipale après la réunion municipale après la réunion municipale, les républicains de la Chambre des représentants ont été incapables de défendre leur soi-disant accomplissement législatif signature parce qu’il s’avère que priver des millions d’Américains de soins de santé, mettant fin à Medicaid tel que nous le connaissons, fermer les hôpitaux, fermer les maisons de retraite, forcer les cliniques communautaires à fermer leurs portes et ne pas renforcer la loi sur les soins abordables sont tous profondément impopulaires auprès des démocrates, des indépendants et des républicains.
Les démocrates de la Chambre des représentants ont un message simple pour le peuple américain : vous méritez mieux. Nous allons nous battre pour réduire le coût élevé de la vie. Nous allons nous battre pour réparer notre système de santé défaillant. Et nous allons nous battre avec acharnement pour nettoyer la corruption afin que nous puissions livrer un pays du peuple, par le peuple et pour le peuple, par opposition au type de pays que nous voyons sous contrôle total républicain du gouvernement, qui est un pays de milliardaires, par les milliardaires et pour les milliardaires. C’est ce que le projet de loi républicain One Big Ugly visait. Ils ont adopté une législation qui nuit aux Américains ordinaires afin de récompenser leurs donateurs milliardaires avec des allégements fiscaux massifs. Notre message pour le peuple américain est clair : Vous méritez mieux.

> Donald Trump a déclaré la guerre aux citoyens américains à Chicago. Les républicains de la Chambre des représentants restent silencieux. Ces extrémistes MAGA sont des personnes malades qui sont complètement inaptes à gouverner.

> Les coûts de l’électricité sont en hausse, la création d’emplois est en baisse et les républicains poussent l’économie vers une récession.

> Robert F. Kennedy Jr. est une honte. Il y a clairement quelque chose qui ne va pas avec ce complot collusoire du soi-disant secrétaire à la Santé et aux Services sociaux.

> Qui les Républicains de la Chambre des représentants essaient-ils de protéger? Publiez les documents Epstein. Maintenant.

> Donald Trump et les républicains de la Chambre ont vidé Medicaid et détruisent l’Affordable Care Act.

> Reconnaissant pour les hommes et les femmes qui travaillent dur dans le travail organisé. Vos valeurs sont nos valeurs. Nous vous défendrons toujours.

 

Chuck Schumer (leader de la majorité démocrate au Sénat) 
> [Trump rebaptise le ministère de la Défense en celui de la Guerre] Ceci de la part du gars qui SUPPLIE simplement les dirigeants mondiaux de lui donner un prix Nobel de la paix...

> [Trump veut baisser certains tarifs douaniers qu’il a imposé aux autres pays] La Maison-Blanche admet enfin que les tarifs de Trump sont des taxes sur les Américains.

> [Mauvais rapport sur le nombre d’emplois créés par les Etats-Unis en août] Donald Trump étouffe notre économie. (…)
Les tarifs chaotiques de Donald Trump, ses politiques inefficaces et ses faux accords commerciaux ont étranglé la croissance de l’emploi et continuellement augmenté les prix pour les familles américaines.
La pression pousse les familles de travailleurs plus près du point de rupture. (…)
Les démocrates du Sénat vont forcer des votes pour annuler les droits de douane préjudiciables de Donald Trump.

> Donald Trump ferme des parcs éoliens sans raison. Les factures d’électricité des gens montent en flèche. Notre réseau énergétique est tendu. C’est idiot et nuisible pour le peuple américain.

> Les politiques de Donald Trump nous ont poussés ici. Ses tarifs font augmenter les prix. Ils ne créent pas d’emplois. Son projet de loi, gros et laid, a fait les plus grandes coupes dans les soins de santé américains de l’histoire. C’est l’Âge d’or de Donald Trump.

> L’optimisme américain nous a nourris et poussés à travers les crises et les obstacles. Mais c’est l’Amérique de Donald Trump alors qu’il est coincé dans son propre monde imaginaire.

> Trump augmente les prix de l’énergie pour les Américains, tout cela parce qu’il n’aime pas la façon dont les éoliennes se trouvent au large de son parcours de golf.

> Les républicains qui essaient désespérément de changer l’image de leur grosse et vilaine facture ne vont pas empêcher les hôpitaux ruraux de fermer, les gens d’être expulsés de l’assurance santé, les primes augmentant, les enfants perdant le financement de la nutrition. (...)
Quand les hôpitaux ferment, quand les gens tombent malades et meurent, ils se fichent du nom du projet de loi de Donald Trump.

> Les survivants des abus de Jeffrey Epstein ont eu le courage de se manifester et de raconter leur histoire. Notre gouvernement devrait les honorer, se battre pour eux. Mais Donald Trump n’a même pas le courage de publier les fichiers.

> Je suppose que c’est l’idée de Donald Trump d’un âge d’or :
- Les parents paient plus pour les fournitures scolaires
- Le marché de l’emploi est au bord
- De plus en plus d’inflation
- Les usines ralentissent

> Grâce à Donald Trump et aux républicains du Sénat, les coûts de santé vont augmenter pour chaque Américain dans le pays. Ce n’est pas théorique. C’est réel. Et cela se passe déjà.

> La grande trahison de Donald Trump :
- Les plus grandes coupes dans les soins de santé
- Les plus grandes coupes dans l’aide alimentaire
- Les plus grandes coupes dans les emplois bien rémunérés

> La seule politique étrangère « accomplissement » que Donald Trump a sous sa ceinture est de rapprocher Poutine, Modi et Xi.

> Les familles américaines sont plus pauvres à cause de Trump. Les communautés américaines sont moins sûres à cause de Trump. Les entreprises américaines sont moins optimistes à cause de Trump. L’Amérique est plus isolée, moins respectée et moins influente dans les affaires mondiales à cause de Trump.

 

Joe Biden (ancien président-des Etats-Unis) 
> Aujourd’hui, nous célébrons les travailleurs américains – le cœur et l’âme de notre nation. Les syndicats ont construit la classe moyenne. Et la classe moyenne a construit ce pays. Bonne fête du travail, Amérique.

 

Kamala Harris (ancienne vice-présidente des Etats-Unis) 
> Lorsque les syndicats sont forts, nos collectivités et notre pays le sont aussi. Chaque personne dans notre nation a bénéficié du mouvement ouvrier. En cette fête du travail, nous célébrons les travailleurs et les syndicats qui ont lutté pour des salaires équitables, des lieux de travail sûrs et des congés maladie pour nous tous.

 

Barack Obama (ancien président des Etats-Unis) 
> La fête du Travail est une occasion de célébrer les travailleurs américains et les syndicats qui se sont battus si dur pour eux. Mais à un moment où l’IA menace de perturber ou même d’éliminer des catégories entières d’emplois, il est également important de réfléchir à la manière dont nous pouvons adopter les nouvelles technologies sans perdre le sens et la dignité qui accompagnent le travail.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat) 
> Ce n’est pas normal qu’un président américain envoie des troupes dans les villes américaines en temps de paix. Chicago, documente ce que tu vois et sois fort pour l’Amérique.

 

Cory Booker (sénateur du New Jersey) 
> [Mauvais rapport sur le nombre d’emplois créés par les Etats-Unis en août] Il n’y a aucun moyen de cacher ce [mauvais] rapport sur les emplois. L’économie de Trump fait défaut aux familles de travailleurs.

> «Le test de notre progrès n’est pas de savoir si nous ajoutons plus à l’abondance de ceux qui ont beaucoup ; c’est de savoir si nous fournissons suffisamment pour ceux qui ont trop peu.» (Franklin Delano Roosevelt)

> Aujourd’hui, nous pouvons profiter de la fête du Travail, grâce aux générations de travailleurs qui sont venus avant nous pour lutter pour des salaires équitables, des avantages sociaux et une décence élémentaire.

> Trump brise ses promesses car ses politiques rendent la vie plus chère pour les Américains.

> [Soudan] Il est d’une profonde urgence morale que nous agissions tous davantage face à la plus grande crise humanitaire au monde. Les États-Unis doivent faire plus. Je continuerai à me battre pour que notre nation le fasse. Veuillez prêter votre voix à ce travail.

 

● Japon 
♦ Parti démocrate constitutionnel
> Le 2 septembre, le secrétaire général de la Chambre des représentants, Junya Ogawa, a tenu une conférence de presse au Parlement.
Au sujet de l'impasse dans laquelle se trouvent les discussions sur les politiques à mener après les élections à la Chambre des représentants, M. Ogawa a déclaré : « Il faut mettre fin au plus vite à cette lutte acharnée et tenter de sortir de la confusion. Le PLJ est le parti au pouvoir. Le vide politique et le dysfonctionnement des politiques exigent que la situation soit réglée au plus vite. » « Le Premier ministre Ishiba se soucie-t-il vraiment du peuple ? Ne se préoccupe-t-il pas uniquement de la politique interne du parti ? Son rôle est insuffisant par rapport à l'importance de son parti au pouvoir. »
Concernant la question de la démission du Premier ministre Ishiba, le secrétaire général Ogawa a déclaré : « Les contradictions institutionnelles du PLJ ne peuvent être résolues aussi facilement. Je ne pense pas que le simple fait de changer de dirigeant suffise à les résoudre. » « Il y a une double responsabilité. D'une part, la responsabilité de la défaite en tant que dirigeant du parti au pouvoir qui a subi une défaite cuisante. D'autre part, le fait que, même après un mois et demi, soit 50 jours, il n'est toujours pas parvenu à mettre fin à la confusion. Cela a entraîné un vide politique et un dysfonctionnement des politiques. » Il a donc demandé avec insistance que la situation soit réglée au plus vite afin de mettre fin au vide politique et au dysfonctionnement des politiques.

> Le président Yoshihiko Noda a tenu une conférence de presse régulière à la Diète le 5 septembre, et a parlé de l’acceptation du décret présidentiel américain concernant les négociations tarifaires entre le Japon et les États-Unis.
Concernant la signature par le président américain Trump d’un décret présidentiel le 4 avril qui incluait une réduction de 15 % des droits de douane sur les voitures importées du Japon, Noda a déclaré: «Le tarif supplémentaire était de 25 %, mais le taux d’imposition précédent est maintenant de 15 %. Jusqu’à présent, nous avons été préoccupés par le moment où (la réduction) aura lieu, donc je pense que le fait que le timing soit clair est un certain pas en avant. Cependant, ce ne sera que 15%, donc bien sûr cela aura un impact sur l’économie et l’emploi.». Il a exprimé sa conviction que le gouvernement devrait accorder une attention particulière à ces points, effectuer une analyse approfondie et prendre des mesures.
Considérant que ces réponses sont incluses dans la demande de budget, il a également déclaré: «En termes de réponse rapide, ne devrions-nous pas formuler et délibérer sur un budget supplémentaire dès que possible?».
En ce qui concerne l’accord sur le domaine de l’investissement, il a été déclaré que « le Japon a accepté d’investir 550 milliards de dollars (environ 80 trillions de yens) aux États-Unis. Est-ce que 80 trillions de yens sont le soi-disant maximum ou minimum? Nous devons analyser attentivement si l’investissement est interprété comme le but des États-Unis, s’il inclut les prêts et les garanties de prêt comme le dit le Japon, et quelle est la position sur la question du riz ? , etc. J’aimerais prendre une décision après avoir examiné de près le texte». De plus, le représentant Noda a déclaré : « Nous avons négocié dans le sens d’une transition des tarifs douaniers vers l’investissement, et nous pensons que la spécialité du Japon, le FILP, est en train d’être positionnée comme un investissement américain. » Je pense que oui, mais en réalité, pour les États-Unis, il serait possible de réaliser un fonds souverain avec de l’argent étranger, et le président Trump déciderait de la direction de tout, et cela serait vérifié trimestriellement. Je voudrais le vérifier attentivement.

> La cinquième consultation de travail entre le parti au pouvoir et l’opposition concernant l’abolition du taux provisoire de la taxe sur l’essence s’est tenue à la Diète le 5 septembre, en présence de Kazuhiko Shigenori, Président du Comité de recherche sur les affaires politiques du Parti démocratique constitutionnel du Japon.
Au cours de cette consultation, le gouvernement a expliqué les enjeux de la réalisation de l’abolition provisoire de la taxe de retrait du gazole qui avait été demandée par les partis d’opposition la dernière fois. D’autre part, au cours des discussions récentes, il a été recommandé qu’un large éventail de mesures soit envisagé pour sécuriser les ressources financières d’une manière qui n’exige pas de nouvelles charges, tels que le remboursement des recettes fiscales croissantes et l’utilisation des fonds excédentaires du Compte spécial pour les fonds en devises étrangères (Compte spécial pour les devises étrangères). Le parti d’opposition l’a demandé à plusieurs reprises, et a qualifié cette consultation de « délai » pour les réponses. Il n’y a pas eu de réponse satisfaisante du parti au pouvoir.
Dans une interview accordée aux journalistes après les discussions, le président du Conseil de la recherche sur les politiques, M. Shigenori, a déclaré : «De notre point de vue, c’est zéro. Seul le parti au pouvoir peut mobiliser le gouvernement pour fournir des ressources financières concrètes. La question est de savoir si nous devons laisser la vie des gens derrière et passer tout notre temps dans la situation politique », a-t-il déclaré, en enquêtant sévèrement sur la négligence du parti au pouvoir et en insistant sur le fait que « la vraie fin est que seuls les partis d’opposition passent (le projet de loi) ».

 

● Norvège
Senterpartiet
> Le Parti du centre propose une déduction fiscale de 25 000 couronnes pour tous les habitants des 209 communes rurales. « Cela rendra plus attrayant le fait de s'installer dans les régions rurales norvégiennes », déclare Trygve Slagsvold Vedum, chef du Parti du centre.
- Le Parti du centre va prendre plusieurs mesures pour améliorer la situation économique des Norvégiens et mettre à profit l'ensemble du territoire norvégien. C'est pourquoi nous sommes favorables à l'introduction d'une nouvelle déduction fiscale dans les 189 communes les plus dispersées de notre pays. Une déduction fiscale de 25 000 couronnes. Dans le même temps, nous augmenterons la déduction fiscale de Finnmark pour le nord du Troms et le Finnmark de 30 000 à 50 000 couronnes », déclare M. Vedum.
- Le Parti du centre souhaite développer l'ensemble du territoire norvégien. C'est pourquoi nous avons pris de nouvelles mesures dans le cadre de la politique régionale en introduisant des mesures personnalisées. Des mesures telles que des crèches moins chères, des billets de ferry et d'avion plus abordables et l'annulation des dettes d'études. Des mesures qui permettent de compenser les inconvénients liés à l'éloignement et rendent encore plus attrayant le fait de s'installer dans les régions norvégiennes, explique M. Vedum.
- Une politique régionale active et une politique d'établissement judicieuse ont entraîné une croissance démographique dans de nombreuses communes régionales norvégiennes. Nous ne voulons pas de grands services centralisés, mais une offre de services proche des gens, où l'on se sent pris en compte. Personne ne rêve de vivre dans la plus grande maison de retraite de Norvège, poursuit-il.
- La Norvège a été fortement centralisée sous le gouvernement de la droite et du Frp de 2013 à 2021. Des communes ont été supprimées de force, la police locale a été retirée des communautés locales et le retard dans l'entretien des routes départementales s'est accru, tandis que les prix des billets d'avion et de ferry ont augmenté. La population des districts a chuté malgré l'arrivée de plusieurs milliers de réfugiés en Norvège au cours de ces années, affirme M. Vedum.
- Le Parti conservateur parle comme si l'augmentation de la population était due aux réfugiés ukrainiens et comme si les Ukrainiens n'avaient aucune importance dans les communautés locales où ils vivent désormais. Je trouve que c'est une façon déplaisante de s'exprimer. Qui exclut la population immigrée lorsqu'il s'agit de déterminer le nombre d'habitants à Oslo ? La logique du Parti conservateur n'a aucun sens », déclare Trygve Slagsvold Vedum, chef du Parti du centre.

 

● Royaume Uni 
♦ Liberal democrats 
> La CEDH [Convention européenne des droits de l’homme] est une création britannique qui nous protège tous. Alors que d’autres chefs de parti parlent de la quitter, de la réécrire ou de l’adoucir, les démocrates libéraux restent fermes.

> Au lieu de demander au président d’abandonner ses tarifs douaniers préjudiciables, Farage veut dénigrer la Grande-Bretagne et l’œuf de Trump pour nuire encore plus aux entreprises britanniques. Ce n’est pas un patriote.

> Trump a le pouvoir de mettre fin aux tueries et à la famine en cours à Gaza, de libérer les otages et de promouvoir une paix durable. Alors qu’il visite le Royaume-Uni, nous devons exiger qu’il utilise cette influence pour mettre fin à la crise.

 

Ed Davey (leader) 
> N’oubliez pas, lorsqu’on a demandé à Farage quel leader mondial il admirait le plus, sa réponse était Vladimir Poutine. Oui, vraiment.

> Farage est allé aux États-Unis pour leur dire que la Grande-Bretagne est « horrible » - Si tu n’aimes pas ça ici, Nigel, peut-être ne prends-tu pas un vol retour?

> Au lieu de demander à Trump d’abandonner ses tarifs douaniers préjudiciables, Farage dénigre la Grande-Bretagne et encourage Trump à nuire encore plus aux entreprises britanniques.

> Si Keir Starmer pense qu’un remaniement résoudra tout, il apprend les mauvaises leçons des conservateurs calamiteux.
Il doit prendre le taureau par les cornes et affronter les vrais problèmes, pas seulement déplacer les gens autour de la table du cabinet.

> Les députés conservateurs ont lancé des huées lorsque j’ai exhorté le Premier ministre à aider à mettre fin à la famine et aux souffrances à Gaza. Écœurant, mais ils ne m’empêcheront pas de soulever cela.

 

Daisy Cooper (députée)
> Les offres d’emploi ont chuté de 18 % uniquement dans les petites entreprises, la taxe sur l’emploi du gouvernement a été un désastre total.

> L’hypocrisie de Nigel Farage prétendant parler de la liberté d’expression, alors qu’en réalité, son propre parti interdit aux journalistes de faire des reportages.

 

Max Wilkinson (député)
> Les élus du parti Reform [extrême-droite] refuse de parler à la presse. Je pense que c’est un peu une trahison des valeurs britanniques.

 

Helen Maguire (députée)
> Les importations britanniques de produits pétroliers dérivés de la Russie ont probablement généré 510 millions de livres sterling de recettes fiscales pour le Kremlin — ce n’est tout simplement pas acceptable.

 

● Suisse 
♦ Le Centre 
> Le Conseil fédéral apporte de la transparence dans acquisition du système de drones ADS 15. Le Centre salue la décision de poursuivre le projet d’acquisition sous une forme réduite. Les capacités essentielles de reconnaissance restent garanties. C’est indispensable pour la sécurité de la Suisse.

> L’imposition individuelle crée de nouvelles inégalités, pèse sur la classe moyenne et représente un monstre bureaucratique.

 

♦ Vert’libéraux 
> Le PLV soutient le code de conduite pour plus d’intégrité dans les collectes de signatures. Transparence et traçabilité sont essentielles pour notre démocratie.

 

● Venezuela
♦ Vente Venezuela
> Le terrorisme d’État, dirigé par Nicolás Maduro et Diosdado Cabello, continue à appliquer ses pratiques de répression et d’horreur.
Le régime enlève quatre membres de la famille Guillén, dont une fille de deux ans!
Miriam Fernández Ruiz (72 ans) et Miguel Ángel Guillén Ibarra (17 ans), ont été enlevés le 4 septembre 2025 par des fonctionnaires de la Police nationale bolivarienne qui sont entrés arbitrairement dans leur résidence à Paso Real, l’Etat carabobo, sans mandat judiciaire et ont été emmenés de force vers un lieu inconnu.
Par la suite, le 5 septembre, Chantal Niulany Guillén (21), sœur de Miguel Ángel et petite-fille de Miriam, a été contactée par son frère Miguel pour qu’elle se rende au siège de la PNB à La Esmeralda, afin de consigner une information pour leur libération.
Chantal s’est rendue à ce centre avec sa fille, Nicole de Los Angeles Palermo, une petite fille de deux ans, qu’ils ont également laissée en captivité sans aucune justification. Depuis lors, on ne sait pas où il se trouve et son intégrité physique n’est plus connue.
Attaquer ceux qui pensent autrement est une atrocité, mais kidnapper une fillette de deux ans est un acte de lâcheté et montre la peur qu’ils ressentent face à ce qui représente une sortie imminente du pouvoir.
Nous alertons la communauté internationale de cette nouvelle application de la méthode Sippenhaft contre quatre membres d’une famille innocente et tenons responsables le procureur du régime Tarek William Saab, Diosdado Cabello et Nicolás Maduro de tout ce qui pourrait leur arriver.

> Oriana Velazco dénonce la disparition forcée de son père par le régime de Nicolás Maduro.
Plus de 24 heures se sont écoulées et jusqu’à présent, on ignore où se trouve Julio Velazco, aujourd’hui enlevé par ce système criminel. Son crime est d’être le père d’un dirigeant politique qui travaille pour la liberté du Venezuela.
Julio est hypertendu et asthmatique, et sa famille s’inquiète pour son intégrité physique.
Nous exigeons la libération de Julio Velazco.

 

María Corina Machado (leader)
> Nous sommes prêts pour la transition ordonnée et pacifique vers la démocratie.

Nous allons prendre le contrôle territorial et le contrôle institutionnel avec les meilleurs Vénézuéliens; beaucoup sont dans l’administration publique, d’autres dans le secteur privé et d’autres à l’extérieur du pays.

Nous avons besoin de personnes honnêtes, talentueuses et prêtes à tout mettre en œuvre pour transformer le Venezuela.

Tous les Vénézuéliens de bien seront nécessaires pour transformer un pays ruiné en une véritable terre de grâce.

> Jesús Castillo, notre coordinateur d’organisation de Vente Mérida, a été enlevé hier par le régime de Nicolas Maduro.
Jésus est un être humain exceptionnel, un économiste brillant, qui fera partie de la grande équipe qui mettra en valeur, en peu de temps, l’économie vénézuélienne!
En ces heures, le régime cherche à étouffer SA PROPRE PEUR par la répression.
Les Vénézuéliens savent ce qui se passe et ce que nous devons faire.
Le Venezuela sera libre, ainsi que Jésus et tous nos héros enlevés ; nous serons 30 millions de Vénézuéliens.

 

 


La Quotidienne centriste du 7 septembre 2025. Trump passe de la Défense à la Guerre ou la farce de sa prétention au prix Nobel de la paix


Donald Trump a donc décidé de rebaptiser le pensionnaire du Pentagone qui passe de secrétaire à la Défense à celui de la Guerre.

Voilà qui est clair dans les intentions de l’extrémiste populiste et qui correspond sans aucun doute à ses velléités en matière de relations internationales où son hubris est bien d’être le maître du monde et de dicter ses volontés au reste de la communauté internationale.

Une hubris malgré tout problématique avec ses promesses de revenir à une politique étrangère isolationniste, une demande d’une grande partie de son électorat, et qui s’entrechoque avec ses intérêts financiers et son envie de profiter de sa fonction pour s’enrichir aux quatre coins de la planète.

A moins que la menace guerrière fasse partie de sa stratégie d’enrichissement…

Et puis, cela met à mal la narration mise en place par ses conseillers et relayée sans cesse par ses mignons et ses fan(atique)s sur son mérite à recevoir le prix Nobel de la paix.

Bien sûr, celui-ci a été parfois donné à des personnalités qui n’entraient sans doute pas les canons du pacifisme et dont les efforts pacifiques limités ne donnèrent que peu de résultats dans la durée.

Néanmoins, le donner à un personnage dont les discours et les actes font sans cesse appel à la violence et à la menace de son emploi était déjà une absurdité sans nom.

Sa décision de changer l’appellation «défense» en «guerre» déshonorerait définitivement ce prix s’il lui était finalement donné ce qui, fort heureusement, ne semble pas la volonté du comité d’attribution.

 

 

[Retrouvez quotidiennement ce billet rédigé par l’équipe du CREC concernant l'actualité du jour]