2005-2025: 20 ANS D'INFORMATION SUR LE CENTRE ET LE CENTRISME

mercredi 1 octobre 2025

Propos centristes. Monde – Etats-Unis: Trump ferme les services publics plutôt qu’un compromis avec les démocrates / Canada: aider les communautés autochtones / Royaume-Uni: Empêcher Farage de trumpiser le pays / Suisse: lutte contre l’augmentation des assurances-santé…


Voici une sélection, ce 1er octobre 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

● Argentine
♦ Propuesta Republicana
Mauricio Macri (président)
> Nous avons eu une longue réunion avec le président Milei et Guillermo Francos à la Quinta de Olivos. Il est bon d’avoir repris le dialogue après plus d’un an, toujours avec la même vocation : dire au président la vérité sur ce que je pense de la situation du pays et trouver les occasions de travailler pour que l’Argentine aille de l’avant.

 

● Brésil
♦ União Brasil
Antonio Rueda (président)
> Ma solidarité avec les familles des élèves tués et blessés dans l’attaque de l’école à Sobral/CE. Le crime est soupçonné d’être lié à une querelle entre organisations criminelles.
Nous ne pouvons pas accepter que la violence arrive là où il devrait y avoir la paix, l’enseignement et la confiance. Cet épisode expose avec cruauté l’échec de la sécurité publique et la propagation du crime.
Tant que les drogues circulent librement, l’avenir des enfants et des jeunes est en danger. L’État doit agir d’urgence - le renforcement de la police, une enquête efficace et une présence préventive sont essentiels.
Que cette tragédie ne soit pas une nouvelle passagère. Qu’elle suscite la responsabilité et la mobilisation.
Nos écoles ne peuvent pas devenir des camps de guerre.

> UniãoBrasil44 est à la tête de l’articulation pour l’approbation du projet de loi de directives budgétaires pour l’année 2026. C’est par le biais de la LDO que se consolident les bases fiscales qui permettront une croissance durable du pays, alliant responsabilité, efficacité et équilibre dans les comptes publics. C’est encore une démonstration des actions concrètes d’Uniao Brasil pour assurer un avenir de prospérité pour tous.

 

● Canada 
♦ Gouvernement 
Mark Carney (Premier ministre) 
> Le temps est venu d’investir massivement au Canada. J’ai rencontré des dirigeants d’entreprise et du secteur de l’investissement qui s’intéressent à tout ce que notre pays a à offrir, ce qui nous permettra d'offrir de nouvelles possibilités aux travailleurs canadiens.

> À l’heure où le Canada resserre son partenariat avec l’UE, nous allons continuer de travailler avec l’Espagne afin d’accroître le commerce et de créer des occasions pour les travailleurs et entreprises de nos pays.

> Nous collaborons à renforcer notre partenariat commercial et de sécurité afin de rendre l’Arctique plus sûr et d’offrir aux Canadiens et aux Islandais davantage de prospérité et de nouvelles possibilités.

> D’énormes possibilités s’offrent au Canada et à l’Australie dans des secteurs clés comme la défense et les minéraux critiques. Nous développons nos industries et nos échanges au profit de nos travailleurs et entreprises.

> [Déclaration à l’occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation] La réconciliation est une tâche générationnelle, vécue et pratiquée chaque jour. En cette Journée nationale de la vérité et de la réconciliation et Journée du chandail orange, nous rendons hommage aux Survivants et aux enfants qui ne sont jamais rentrés chez eux – et nous réfléchissons à l’héritage dévastateur et aux répercussions persistantes du système des pensionnats indiens.
Les pensionnats sont une vérité que les Survivants ont portée alors que les gouvernements ne le faisaient pas. Une vérité racontée plus de 6 600 fois devant la Commission de vérité et réconciliation, afin que les gouvernements ne puissent plus dire «nous ne savions pas». Au cours de ce long et douloureux chapitre de notre histoire, plus de 150 000 enfants des Premières Nations, inuits et métis ont été séparés de leur famille et de leur communauté, et privés de leur langue et de leur culture.
En tant que gouvernement et en tant que peuple, nous associons le souvenir à la responsabilité.
Le gouvernement fédéral continue de donner suite aux importants appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation, notamment en appuyant les communautés autochtones dans leurs efforts visant à localiser les tombes et les lieux de sépulture anonymes et non documentés associés aux pensionnats. Nos progrès se poursuivent également en ce qui concerne les appels à la justice de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées et la mise en œuvre de la Loi sur la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
Nous bâtissons ensemble – dans les domaines des soins de santé, du logement, de l’éducation et des opportunités économiques –, tout en défendant les droits des Autochtones et en donnant aux communautés les moyens d’assurer leur sécurité et leur prospérité. Le nouveau gouvernement du Canada sera un partenaire indéfectible en respectant l’autodétermination, en accordant la priorité à l’équité et à la copropriété autochtones en tant que principes essentiels de la construction, et en reconnaissant qu’un véritable partenariat nécessite d’abord une compréhension commune et que la construction du Canada nécessite que les voix autochtones et non autochtones prennent la tête de la gestion commune de ce territoire.
Car s’il est essentiel de bâtir, il est tout aussi essentiel de bâtir de la bonne façon, en accordant une place fondamentale au leadership, à la prospérité et aux opportunités des peuples autochtones. La réconciliation est une tâche générationnelle, vécue et mise en pratique chaque jour.
Nous nous engageons à bâtir un avenir où les survivants seront honorés par le souvenir, la justice et un Canada plus fort.

> Nous bâtirons l’économie la plus solide du G7 avec l’acier canadien et les travailleurs canadiens. Nous agissons pour soutenir Algoma Steel afin de soutenir des emplois de grande qualité et d’aider notre secteur de l’acier à prospérer.

> Le Canada salue le nouveau plan de paix historique du président Trump pour le Moyen-Orient, et nous encourageons toutes les parties à contribuer à sa pleine réalisation. 
La prochaine étape cruciale consiste à voir le Hamas libérer immédiatement tous les otages.   Le Canada est prêt à appuyer l'acheminement continu, sans entrave et à grande échelle de l'aide humanitaire à Gaza et dans toute la bande de Gaza.
Nous continuerons de travailler en étroite collaboration avec nos partenaires internationaux afin d'instaurer une paix juste et durable qui s'appuie sur les progrès réalisés aujourd'hui, avec un État palestinien souverain, démocratique et viable qui bâtit son avenir dans la paix et la sécurité avec l'État d'Israël.

> Appuyés sur les solides liens historiques entre le Canada et le Royaume-Uni., nous renforçons notre partenariat commercial et sécuritaire pour rendre nos économies plus compétitives et donner des moyens à nos travailleurs.

> Le nouveau gouvernement du Canada établit un nouveau réseau de relations commerciales partout dans le monde afin de créer des possibilités de transformation pour les entreprises et les travailleurs canadiens et de bâtir au pays une économie plus forte et plus résiliente.

> L’Indonésie devrait figurer parmi les cinq premières économies mondiales d’ici 2050. Notre nouvel accord commercial ouvrira d’importantes perspectives économiques pour les travailleurs, les entreprises et les investisseurs canadiens. (…)
Le tout dernier accord commercial conclu par le Canada change la donne. 95 % de nos exportations vers l’Indonésie seront plus concurrentielles. (…)
Ensemble, le Canada et l’Indonésie ouvrent de nouvelles perspectives économiques majeures. Notre nouvel accord commercial change la donne pour nos travailleurs et nos entreprises, car il donnera accès à de nouveaux marchés et permettra de stimuler les investissements entre nos économies en pleine croissance. Dans un contexte mondial en pleine évolution, le nouveau gouvernement du Canada diversifie et renforce ses partenariats afin d’offrir davantage de prospérité, de sécurité et de possibilités de carrière intéressantes aux travailleurs canadiens.

> Les Nations Unies se tournent vers les 80 prochaines années et, pendant ce temps, le Canada se montre à la hauteur des défis d’une nouvelle ère en contribuant à bâtir un monde où la prospérité est partagée et la paix est durable.

> Nous avons l’occasion de rendre le système financier mondial plus équitable et résilient. À l’ONU, nous avons parlé de moyens de stimuler la productivité, de réduire les inégalités et de bâtir une économie plus inclusive et durable qui rend plus de gens autonomes.

> Le Canada et ses partenaires des Caraïbes renforcent leur partenariat stratégique en matière de commerce et de sécurité afin d’accroître les investissements et la prospérité.

> Aujourd’hui, j’ai eu une réunion productive avec le premier ministre Li Qiang.   Nous avons discuté des possibilités de développement des relations entre le Canada et la Chine, et avons mis l’accent sur les enjeux commerciaux liés à des produits fondamentaux comme le canola et les produits de la mer. Nous établissons un dialogue constructif et pragmatique afin d’offrir davantage de certitude et de prospérité à nos deux pays.

> Nous sommes déterminés à rétablir la paix et la sécurité en Haïti, et nous nous sommes engagés à verser 60 millions de dollars supplémentaires pour soutenir les efforts de stabilisation.

> À l’ONU, je me suis joint au président Zelensky afin d'attirer l'attention du monde sur ces crimes de guerre et de stimuler les efforts internationaux pour rapatrier ces enfants.

> Le débat général de l’ONU est un forum essentiel pour renforcer la coopération mondiale. Le Canada est ici pour renforcer ses partenariats, créer des possibilités pour les travailleurs canadiens et soutenir une paix juste et durable là où les besoins sont les plus grands.

> Le Canada et la Turquie veulent collaborer davantage sur les plans de l’agriculture, de la croissance économique, des technologies propres et de l’énergie.

> Le Canada et le Kenya sont partenaires dans des domaines clés : réduction de la pauvreté, renforcement du pouvoir des femmes et recherche d’un monde sûr et pacifique.

> Aucun pays ne peut renforcer sa résilience en agissant seul. Pour bâtir un avenir meilleur, nous devons unir nos forces.

> Après 80 ans, les Nations Unies restent une tribune essentielle. Dans un monde de plus en plus divisé, ce n’est qu’en agissant collectivement que nous arriverons à la paix et à la prospérité.

 

● Côte d’Ivoire
♦ Gouvernement 
Robert Beugré Mambé (premier ministre)
> Le travail constant des différents gouvernements a permis d’inscrire le pays dans une dynamique de transformation positive depuis 2011. La réalisation d’infrastructures aussi structurantes qu’ambitieuses façonne, année après année, nos villes et villages et améliore les conditions de vie des populations.
L’action gouvernementale par son envergure vise à toucher tous les Ivoiriens des villes et campagnes, hommes, femmes, jeunes et personnes âgées, sans oublier les personnes en situation de handicap et les couches les plus vulnérables de la société.

 

● Etats-Unis  
♦ Parti démocrate 
Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des représentants) 
> Les démocrates se battent pour protéger votre santé. Donald Trump et les Républicains ont fermé le gouvernement parce qu’ils veulent vous retirer vos soins de santé.

> «De toutes les formes d’inégalité, l’injustice en matière de santé est la plus choquante et la plus inhumaine.» (Rev. Dr. Martin Luther King Jr., 1966)

> Le coût de la vie en Amérique est beaucoup trop élevé.Et la crise de santé républicaine aggrave les choses. Ça suffit.

> La menace de l’administration Trump de déployer des troupes à Portland est illégale. Voici une idée. Se concentrer sur la protection des soins de santé du peuple américain.

> Les démocrates sont unis dans la défense de la santé du peuple américain. Pendant ce temps. Donald Trump et les Républicains sont en complet désarroi.

> Les démocrates se battent pour un projet de loi budgétaire qui répond aux besoins du peuple américain. Républicains, annulez les coupes. Réduisez le coût. Économisez la santé. Nous n’allons pas simplement suivre pour suivre.

> Les républicains forcent la fermeture des hôpitaux, maisons de retraite et cliniques. Des gens vont mourir.

> Les démocrates de la Chambre se concentrent sur le maintien du gouvernement ouvert et la fin de la crise de santé républicaine. Pendant ce temps. Donald Trump continue d’abuser de manière corrompue de son pouvoir en militarisant le ministère de la Justice.

 

Chuck Schumer (leader de la majorité démocrate au Sénat) 
> La fermeture des Républicains vient de commencer parce qu’ils ne protégeraient pas les soins de santé américains. Nous allons continuer à nous battre pour le peuple américain.

> Pas un seul dollar fédéral ne sert à fournir une assurance santé aux immigrants sans papiers. Pas un penny. Les républicains préfèrent mentir et fermer le gouvernement plutôt que de protéger votre santé.

> Les républicains savent que le peuple américain veut que la crise de santé qu’ils causent soit réglée. Mais les républicains ont fermé le gouvernement au lieu de le réparer.

> Je suis profondément troublé d’apprendre les actes horribles de violence par arme à feu dans une église au Michigan et dans un restaurant en Caroline du Nord. Je prie pour tous ceux qui sont impactés, et je ne cesserai pas de me battre pour des lois plus strictes sur les armes à feu afin de protéger les Américains. Le fléau de la violence par armes à feu doit être arrêté.

> Portland n’est pas « une guerre ravagée ». « Les troupes américaines ne sont pas des jeux politiques. Et Trump n’est pas un roi. Les démocrates se battront au Congrès pour l’arrêter.

> Trump a corrompu et militarisé le département de la Justice pour poursuivre ses ennemis et aider ses amis. Personne ne fait confiance à ces accusations [contre Comey, ancien directeur du FBI]. Avec des poursuites politiques, leur affaire n’ira nulle part devant les tribunaux.

> Les démocrates se battent pour faire baisser les prix, tandis que les républicains laissent tomber les familles.

> C’est énorme : Jimmy Kimmel revient ! Il s’agit de lutter pour la liberté d’expression et contre ces abus par Donald Trump et Brendan Carr.

> Revolution Wind vient de gagner une injonction préliminaire contre l’administration Trump, leur permettant de continuer la construction pendant que le procès progresse. Nous n’arrêterons pas de lutter pour amener les sources renouvelables sur le réseau afin de diminuer vos coûts énergétiques tout en mettant des milliers d’américains au travail.

 

Barack Obama (ancien président des Etats-Unis) 
> L’arc de l’univers moral est long, mais il se penche vers la justice. Sauf qu’il ne se plie pas tout seul—il se plie parce que nous le tirons dans la direction de la justice. Ce qui me garde espoir dans des moments comme ceux-ci, c’est d’être entouré par des gens qui font exactement cela.

> Les républicains préfèrent fermer le gouvernement plutôt que d’aider des millions d’Américains à se payer des soins de santé.

> Les républicains ne peuvent pas gagner sur leurs politiques, alors ils essaient d’éviter la responsabilité en réécrivant les règles. Ces législateurs font tout leur possible pour faire taire la volonté du peuple et saper délibérément notre démocratie.

> Nous avons des personnes au pouvoir qui font de larges affirmations autour de certains médicaments et de l’autisme qui ont été continuellement réfutées. La mesure dans laquelle ces commentaires peuvent porter atteinte à la santé publique, causer du tort aux femmes enceintes et créer de l’anxiété chez les parents qui ont des enfants autistes est une violence contre la vérité.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat) 
> La démocratie dans le monde est en siège, et soyons clairs. Aucun chevalier en armure brillante ne vient nous sauver. C’est à nous tous de sauver nos pays et nos droits.

> Trump veut retenir le gouvernement en otage jusqu’à ce que les démocrates acceptent d’augmenter les coûts de santé pour des millions d’Américains et lui donnent plus de pouvoir sans contrôle. Mais les soins de santé sont un droit humain. Et en Amérique, nous n’avons pas de rois.

> Regardez cet énorme saut dans la richesse de Trump en 2025. Les Américains ne peuvent pas se permettre de payer leurs courses ou les soins de santé. Mais la présidence de Trump fonctionne très bien pour Donald Trump.

> Jimmy Kimmel et d’autres comédiens de fin de soirée ont certainement dit des choses sur moi que j’ai trouvé offensantes, voire outrageantes. Cela ne m’a jamais traversé l’esprit d’appeler les réseaux et de dire : « Hé, débarrasse-toi de ce gars. » Parce que ce n’est pas comme ça que fonctionne l’Amérique.

 

● Japon 
♦ Parti démocrate constitutionnel
Le président du comité politique du parti, M. Honjo, a critiqué le fait que, malgré l'accord conclu le 30 juillet par les six partis de la coalition au pouvoir et de l'opposition visant à « abolir le taux provisoire dès que possible cette année », le PLJ n'ait toujours pas présenté de projet de financement. Il a souligné que « le PLJ n'a pas présenté de projet de financement, ou bien la situation a évolué vers l'élection du président du parti, et la balle est donc restée dans le camp du PLJ jusqu'à présent ». Il a ensuite évoqué la réunion de travail des trois partis de la coalition au pouvoir qui se tiendra 1er octobre et déclaré : «Nous allons suivre cela de près. Nous nous présenterons à la session extraordinaire de la Diète avec pour objectif la mise en œuvre de cet accord entre les partis au pouvoir et l'opposition avant la fin de l'année.»
En ce qui concerne le gazole, souvent utilisé pour les véhicules utilitaires, il a déclaré: « Pour réduire les coûts de logistique, le pétrole seul ne suffit pas. Il faut également supprimer le taux provisoire sur le gazole », tout en expliquant : « Cela ayant un impact important sur les recettes fiscales des collectivités locales, nous en discutons séparément du pétrole ». Il a indiqué que les discussions se poursuivaient en vue de la suppression du taux provisoire au printemps prochain.

> Le 26 septembre, le représentant Yoshihiko Noda a reçu au siège du parti le président de l'Assemblée législative de Taïwan, Han Kuo-yu, et sa délégation en visite au Japon.
Dix législateurs taïwanais de tous bords politiques étaient présents, tandis que le parti était représenté par Harumi Yoshida, présidente par intérim, Akiko Kamei, directrice du bureau des affaires internationales, Kentaro Genma et Futoshi Aoyama, tous deux membres de la Chambre des représentants, et Ayaka Shiomura, membre de la Chambre des conseillers.
Au début de la réunion, le président Noda a souhaité la bienvenue à la délégation et a évoqué la levée totale des restrictions à l'importation de produits alimentaires japonais par Taïwan le 1er septembre. Il a également présenté les efforts déployés par les anciens présidents pour obtenir la levée de ces restrictions après leur départ du pouvoir, et a exprimé sa gratitude pour cette décision.
Le président Han a expliqué que le Parlement taïwanais était monocaméral et que le nombre de députés était limité, ce qui conférait à chacun d'entre eux une grande responsabilité. Il a ensuite présenté les membres du Kuomintang, du Parti démocratique progressiste et du Parti populaire qui participaient à la réunion. Il a également exprimé son souhait de voir les parlements japonais et taïwanais continuer à coopérer pour assurer un avenir pacifique aux jeunes et à la population.

 

● Royaume Uni 
♦ Liberal democrats 
Ed Davey (leader) 
> J’ai écrit à Keir Starmer, l’exhortant à exercer plus de pression sur le Hamas pour les amener à accepter un cessez-le-feu. Avec l’espoir renouvelé de cette dernière proposition de paix, nous ne pouvons pas permettre au Hamas de bloquer la paix, la dignité et la sécurité que les Israéliens et les Palestiniens méritent.

> Je suis content que Keir Starmer intensifie enfin la lutte contre Nigel Farage, et j’espère que cela marquera la fin de son gouvernement qui répète les idées de Farage et copie sa politique clivante.

> Tony Blair doit comparaître devant le Parlement et témoigner de son rôle dans le plan de paix de Trump pour Gaza. Nous voulons tous voir la fin des souffrances à Gaza, le retour des otages et une paix durable.
Les députés doivent avoir la possibilité de vérifier si l’ancien Premier ministre est la bonne personne pour aider à atteindre ces objectifs.

> Faire les ordres de Poutine ? C’est l’Amérique de Trump, ne la laissez pas devenir la Grande-Bretagne de Farage. Nous avons besoin d’une nouvelle enquête par le Comité du renseignement et de la sécurité sur les liens entre la Réforme et Farage et la Russie.

> Keir Starmer veut forcer tout le monde à avoir une ID numérique. Mais les libéraux démocrates disent que ce n’est pas le genre de pays que nous devrions être. Au lieu de cela, le gouvernement devrait se concentrer sur la résolution de vrais problèmes comme le NHS et les soins sociaux.

> L’Amérique de Trump, ne la laissez pas devenir la Grande-Bretagne de Farage.

> Nigel Farage veut entraîner la Grande-Bretagne sur le même chemin que l’Amérique de Trump : le chaos, la division et la peur. Nos NHS, nos droits et nos communautés sont en danger. Ne laissez pas l’Amérique de Trump devenir la Grande-Bretagne de Farage.

> Nous pouvons choisir une meilleure voie. Notre force réside dans le peuple britannique et les valeurs que nous partageons : la tolérance, la décence et le respect de la liberté et de l’état de droit. C’est notre Royaume-Uni. Ensemble, nous pouvons remettre les choses sur la bonne voie.

> D’abord, Trump a réduit le financement de la recherche sur les vaccins, maintenant il colporte des absurdités dangereuses à propos du paracétamol. Le Royaume-Uni devrait s’attaquer au programme anti-scientifique de Trump et ouvrir nos portes aux chercheurs américains.

> La reconnaissance de l’autodétermination palestinienne était attendue depuis longtemps. C’est une étape bienvenue, mais cela doit être le début, pas la fin. Nous avons besoin d’un cessez-le-feu, de la fin du cycle de violence et de réels progrès vers une solution à deux États.

 

● Suisse 
♦ Le Centre 
> Double oui à l’abolition de la valeur locative et à l’e-ID
L’impôt cantonal sur les résidences secondaires est clairement accepté à la double majorité. Le Centre salue ce résultat, qui permet la mise en œuvre d’une réforme de l’imposition du logement équilibrée et juste. L’e-ID est également acceptée de justesse par le peuple suisse, avec 50,4 % de oui.
Ce dimanche, les urnes ont rendu leur verdict : le peuple suisse dit oui à 57,7 % à l’impôt immobilier cantonal sur les résidences secondaires. La majorité des cantons a également accepté. Avec cette double majorité, c’est toute la réforme sur l’imposition du logement qui peut entrer en vigueur, et notamment l’abolition de la valeur locative.
Le Centre salue ce résultat, qui permet de supprimer cet impôt sur un revenu fictif, décrié, injuste et lourd à porter pour une bonne partie des propriétaires, en particulier les familles et les personnes à la retraite. Cette réforme est le résultat réussi d’un compromis équilibré, avec une solution de compensation qui permettra de taxer les propriétaires de résidences secondaires selon les besoins des cantons. Elle supprime aussi un système de déductions qui, aujourd’hui, favorise fiscalement l’endettement.
«Ce résultat permet de supprimer un impôt sur un revenu fictif qui était injuste et difficilement supportable pour de nombreux propriétaires, notamment les familles et les retraités.» (Yvonne Bürgin, vice-présidente Le Centre)
e-ID : un oui à une solution sécurisée et tournée vers l’avenir
Le peuple suisse accepte également l’e-ID avec 50,4 % de oui. Le Centre se réjouit de ce résultat, qui offre à la population une solution sûre, gratuite et facultative pour s’identifier en ligne. L’e-ID est un outil qui répond aux besoins actuels et futurs, en offrant une alternative numérique sécurisée à celles et ceux qui souhaitent s’en servir.

> Primes maladie: elles ne cessent d’augmenter d’année en année. En 2026, c’est 4.4%. Il faut des réformes efficaces et sans attendre ! Le Centre s’engage toujours avec la même détermination pour un système de santé abordable et accessible à toutes et tous.
Par ex : la motion de Stefan Engler, qui demande que la Confédération surveille aussi les coûts de ses tarifs officiels (médicaments, analyses, etc.) et intervienne en cas de hausse excessive, comme c’est déjà le cas pour les partenaires tarifaires.
Dans son manifeste santé, Le Centre présente des solutions pour garantir à toutes et tous des soins de qualité et accessibles, sans perte de prestations. La hausse des coûts doit enfin être freinée !

> Nouvelle augmentation pour les primes d’assurance-maladie : il est grand temps d’agir
En 2026, les primes d’assurance-maladie augmenteront à nouveau, avec en moyenne 4,4% d’augmentation. De plus en plus de personnes, en particulier les familles, peinent à supporter ces coûts toujours plus élevés. Il devient donc urgent de mettre en place des réformes efficaces. Le Centre s’engage avec détermination pour un système de santé abordable et accessible à toutes et à tous.
Avec une augmentation moyenne de 4,4% l’an prochain, les primes d’assurance-maladie pousseront la population en Suisse à mettre encore davantage la main au porte-monnaie. Aujourd’hui déjà, près de 2,5 millions de personnes, soit une personne sur quatre, n’arrivent plus à payer leurs primes. Les familles sont particulièrement touchées : une famille de quatre personnes paie jusqu’à 15 000 francs par année. La Suisse dispose certes de l’un des meilleurs systèmes de santé au monde, mais il doit rester accessible et abordable pour les générations futures. La santé ne doit pas devenir un luxe.
«La hausse constante des primes d’assurance-maladie est inacceptable. Il est grand temps d’agir et de mettre en place des réformes.» (Yvonne Bürgin, vice-présidente Le Centre Suisse)
Les solutions du Centre pour un système de santé abordable
Cette hausse constante des primes est inacceptable et il est grand temps d’agir et de mettre en place des réformes. Selon de nombreuses études et un rapport d’experts de 2027 mandaté par la Confédération, environ 20% des coûts pris en charge par l’assurance maladie obligatoire, soit près de 8 milliards de francs, pourraient être économisés en supprimant les inefficacités, et ce, sans détériorer la qualité des prestations. Après son engagement victorieux en faveur du financement uniforme des prestations de santé (EFAS), Le Centre continue de s’investir pour des solutions constructives de maîtrise des coûts dans le système de santé.
«Après avoir œuvré avec succès pour un oui au projet EFAS, Le Centre poursuit son engagement en faveur d'un système de santé accessible et abordable pour toutes et tous.» (Erich Ettlin-Barth, conseiller aux États)
Dans son manifeste pour un système de santé accessible, Le Centre propose d’autres mesures et solutions concrètes pour garantir un système de santé accessible et abordable pour toutes et tous. Chaque personne doit pouvoir compter sur des soins médicaux de qualité à un prix abordable, indépendamment de son revenu, de son âge ou de son état de santé. C’est l’engagement fondamental du Centre.

 

♦ Vert’libéraux 
> Nous demandons qu’en cas de séparation, il soit systématiquement examiné si une garde partagée des enfants, à parts égales entre les deux parents, est dans l’intérêt de l’enfant. Ainsi, son bien-être pourrait être mieux pris en compte.

> La Suisse dit oui à la numérisation
En approuvant à une courte majorité l’introduction d’une identité électronique, la population a saisi l’occasion de donner un coup de pouce à la numérisation dans notre pays. « Le PVL se réjouit des nombreuses simplifications quotidiennes que cette décision apportera aux particuliers et aux entreprises », déclare Jürg Grossen, président du parti.
Cependant, le « oui » serré à l’e-ID montre clairement le scepticisme important de la population à l’égard d’une pièce d’identité électronique. Nous devons prendre ce scepticisme au sérieux. Pour le PVL, il est essentiel que nos citoyens puissent continuer à choisir s’ils souhaitent utiliser une offre sous forme numérique ou physique.
« Il est désormais essentiel que les autorités mettent rapidement en place les offres nécessaires, afin que les personnes et les entreprises qui le souhaitent puissent bénéficier au plus vite de cette avancée », ajoute la vice-présidente du PVL, Céline Weber.
Et à l’ancien conseiller national Jörg Mäder de conclure : « La majorité des votants a été convaincue par le fait que nous avons misé sur une solution publique et facultative, qui ne transmet pas de données superflues et qui peut être utilisée en toute sécurité sur un téléphone portable lors de vos déplacements. »

> Les crises bancaires l’ont montré : il faut adapter les règles « too big to fail ». Mais il est essentiel de préserver aussi la compétitivité et l’attractivité de la place financière suisse.

> Électromobilité : le Conseil fédéral fait fausse route !
Le Conseil fédéral prend la mauvaise direction concernant l’avenir de la mobilité en Suisse. Alors que le virage vers l’électrique est plus nécessaire que jamais, le gouvernement s’apprête à rendre l’achat de véhicules électriques plus difficile, en prévoyant de nouvelles taxes au pire moment. Pour le PVL, il est évident que les voitures électriques doivent contribuer au financement des infrastructures routières. Mais cette adaptation ne peut s’envisager que lorsque la situation financière des routes le nécessite – et certainement pas alors que les véhicules thermiques dominent encore largement le marché, et que la part des nouvelles immatriculations électriques reste faible en comparaison européenne.
La Suisse, qui occupait il y a peu encore une place de pionnière de l’électromobilité, a vu son avance fondre sur la scène internationale. Aujourd’hui, beaucoup de pays européens progressent rapidement : alors que le développement de l’électromobilité s’accélère partout autour de nous, la Suisse semble marquer le pas, voire freiner. C’est une décision incompréhensible de la part du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication, qui souhaite introduire des taxes et redevances supplémentaires sur les véhicules électriques.
« Le Conseil fédéral se trompe de direction et agit à contre-courant ! » déclare Jürg Grossen, conseiller national (BE) et président du parti. Certes, la part des voitures électriques dans les nouvelles immatriculations a légèrement progressé, atteignant 21 % au dernier semestre. Mais alors que l’Allemagne et la France rattrapent progressivement leur retard sur la Suisse, des pays comme l’Autriche, les Pays-Bas, le Danemark, le Portugal, la Belgique, la Suède, la Finlande et la Norvège nous distancent déjà nettement. La Suisse rate actuellement ses objectifs climatiques et ses cibles sur les émissions de CO₂ du parc automobile. Face à ce constat, il est essentiel dencourager plutôt que freiner l’électromobilité. « Au lieu de lever les obstacles, le Conseil fédéral veut entraver encore davantage la transition énergétique », rappelle Matthias Jauslin, conseiller national (AG).
Les Vert
libéraux sopposent fermement à un retour en arrière dans la politique de mobilité. « Au lieu de favoriser indirectement l’essence et le diesel, notre gouvernement devrait enfin accélérer le développement d’infrastructures de recharge », ajoute Barbara Schaffner, également conseillère nationale (ZH).
Le PVL considère que la surtaxe proposée sur l’électricité de recharge est mal conçue et la rejette catégoriquement.

> Le Conseil fédéral prend au sérieux les recommandations de la CEP et veut, à juste titre, introduire une réglementation stricte. Mais l’UBS doit rester compétitive. Nous avons besoin d’une banque suisse active au niveau international.

> Le Parlement veut restreindre l’accès au service civil. Nous soutenons le référendum – et disons Oui au Service citoyen! Avec lui, deux fois plus de personnes serviraient la Suisse. Le problème du recrutement serait durablement résolu.

> Nous avons contribué de manière décisive à façonner le projet de loi pour l’accélération des procédures. Nous nous réjouissons d’autant plus que le Parlement l’ait adopté aujourd’hui ! Ainsi, nous faisons un pas de plus vers l’objectif de zéro émission nette.

> Le bon fonctionnement de notre pays dépend de l’immigration. Inscrire une limite dans la Constitution provoquerait une pénurie de main-d’œuvre et nous obligerait à renoncer aux accords bilatéraux avec l’UE.

 

 


Une Semaine en Centrisme 2025/37 (22-28 septembre). Bayrou continue sa croisade contre la dette / Sarkozy-Trump, même combat? / Poutine provoque de plus en plus l’Europe


► Il n’a pas fallu attendre très longtemps avant que François Bayrou réintervienne en longueur et pour parler de ses convictions – de ses obsessions pour certains – après son passage à Matigon.
L’ex-premier ministre et désormais uniquement président du MoDem, a prononcé deux discours lors de l’université de rentrée de sa formation, l’un pour l’ouvrir, l’autre pour la refermer.
Défendant son bilan ou tout au moins ce qu’il comptait faire à la tête du gouvernement, il a redit ses très fortes inquiétudes sur la situation présente tout en voulant, selon lui, ne penser qu’à l’avenir.
Et l’avenir c’est, bien sûr, la lutte contre la dette de la France et les déficits publics.
François Bayrou a raison de vouloir les baisser et les contrôler pour qu’ensuite ils ne repartent pas à la hausse ce qui est, tout au moins dans notre pays mais pas seulement, une sorte de nature profonde de ceux-ci de grandir et de se creuser.
Mais il devrait faire attention, pour sa carrière politique et la portée de son message de ne pas devenir l’homme d’une seule obsession qui serait caricaturée sans fin dans les médias ainsi que par ses adversaires politiques et qui pourraient, in fine, lasser ceux qu’il veut convaincre.

► En tant que centristes, il faut être ferme avec les outrances de Nicolas Sarkozy et de ses amis à la suite de sa condamnation à cinq ans de prison et à l’exécution provisoire de ce jugement.
Evidemment, tout citoyen a le droit de commenter et critiquer les décisions de justice, d’autant quand il s’agit d’un jugement qui le concerne.
Et les magistrats, en tant qu’individus, ne sont ni infaillibles, ni intouchables.
En revanche, critiquer la «justice» et les «juges» dans une généralité est une opinion qui remet en cause les fondements même de la démocratie républicaine libérale.
D’autant plus quand ceux qui l’émettent ne sont plus seulement des citoyens mais aussi des responsables politiques élus ou non.
Rappelons que la justice est régit par des règles qui toutes ont été écrites et votées par… les politiques!
Et quand une jurisprudence – vision des juges de certaines règles qui parfois sont un peu obscures –, elle se défait au Parlement qui en a le pouvoir.
Les propos de Nicolas Sarkozy et de ses soutiens dont certains viennent de l’extrême-droite mais aussi de la droite macroniste sont inacceptables et démontrent, malheureusement, une dérive trumpiste de la droite française.
Dire que Sarkozy reprend la rhétorique de Trump en ce qui concerne la justice est simplement un constat.
Mais, ensuite, c’est aussi une analyse de ce qu’est en train de devenir cette droite avec des leaders comme Wauquiez ou Retailleau (même s’ils se sont gardés d’entrer dans le jeu de Sarkozy et de ses outrances) mais aussi avec Sarkozy comme chef charismatique de cette droite à laquelle tous les leaders rendent hommage voire font soumission comme Sébastien Lecornu qui a indiqué avoir rendu sa première visite de premier ministre à l’ancien président de la république…

► Les provocations de Vladimir Poutine contre l’Union européenne ne doivent pas être prises à la légère.
Au-delà de ce qui marque certainement un affaiblissement de la Russie et de la volonté de créer de l’angoisse dans la population européenne, ces provocations ont comme but d’internationaliser le conflit, ce qui permettrait au dictateur criminel de faire de son agression de l’Ukraine, une guerre entre eux (les démocraties occidentales) et nous (les totalitarismes de la Chine et de la Russie et leurs alliés).
Une guerre qui pourrait définir l’avenir du monde et celle de la liberté.
Si ces provocations doivent donc être traitées pour ce qu’elles sont pour l’instant, en revanche, il est cardinal de ne pas demeurer sans réactions, ce qui pourrait encourager Poutine à aller plus loin dans une logique apocalyptique.
Ne pas tomber dans le jeu de Poutine mais, surtout pas, ne pas être passif devant ses agissements, c’est la ligne de conduite que les Européens ont adopté.
Reste que si le maître du Kremlin va plus loin, ces mêmes Européens devront lui signifier sans faiblesse son erreur.

 

 

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La Quotidienne centriste du 1er octobre 2025. Et si Netanyahu feignait d’accepter le plan de son ami Trump pour qu’il obtienne le prix Nobel?


Donald Trump assure que la paix va régner à Gaza avec son plan et il n’a pas eu de superlatifs assez ridicules pour s’autocongratuler.

Benjamin Netanyahu a semblé accepter ce plan même si tout n’est pas très clair, d’autant qu’il a affirmé qu’il n’y aurait jamais d’Etat palestinien.

Mais on peut se poser la question de savoir si l’accord global donné par le Premier ministre israélien n’est pas plutôt un accord entre les deux hommes afin que le Président étasunien puisse obtenir ce qui est devenu une obsession pour lui, le prix Nobel de la paix qui sera décerné le 10 octobre prochain et qu’il n’arrête pas de déclarer qu’il le «mérite».

Et, ici, il faut rappeler qu’un des partisans les plus enflammé pour que Trump soit couronné est… Benjamin Netanyahu qui n’a pas eu de compliments assez forts pour soutenir la candidature de son ami.

On peut tout à fait estimer que ce plan qui comporte beaucoup de conditionnalité, en particulier l’acceptation par le Hamas ce qu’il n’a jamais accepté, permet de démontrer que l’extrémiste populiste de la Maison blanche est sans conteste un faiseur de paix même si ses multiples tentatives se sont soldées par un échec comme évidemment en Ukraine mais que l’important est sa soi-disant volonté de mettre fin à des guerres.

L’idée est donc de présenter Trump comme celui qui inlassablement recherche la paix et que ce n’est pas sa faute si les autres la refusent, seul l’intention compterait pour qu’il soit le vainqueur «évident» du Nobel.

Et l’on peut même envisager que s’il est couronné par l’académie norvégienne, il passera à autre chose ayant atteint son objectif et ainsi être à égalité avec Barack Obama, ce qui est sa recherche depuis sa première présidence…

 

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