Voici une sélection, ce 7 novembre 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.
● Argentine
♦ Propuesta Republicana
Mauricio Macri (président)
> Hier j’ai été invité à déjeuner par le président Milei à Olivos, en
remerciement pour le soutien que je lui ai donné dans la semaine la plus
difficile de son gouvernement avant les élections. Au cours de la rencontre,
nous avons discuté des questions en suspens. L’idée était de réfléchir à la
meilleure façon de renforcer les équipes et de se préparer pour cette deuxième
étape, mais nous n’avons pas pu nous mettre d’accord.
Le départ d’un homme avec capacité et équilibre comme Guillermo Francos, qui
pour la citoyenneté représentait la sagesse, pour être remplacé par un autre
sans expérience, ne semble pas être une bonne nouvelle. Comme je l’ai
mentionné, il y avait la possibilité de remplacer Francos par une autre
personne appropriée dans son équipe, avec un profil plus technique et une
meilleure capacité de conduite et de coordination des équipes, comme Horacio
Marín, actuel président de YPF, qui réunit toutes les conditions pour son
expérience antérieure.
Le chef de cabinet des ministres est une figure essentielle : il coordonne
les équipes politiques et de gestion autour d’un agenda et d’une stratégie.
A cette décision à mon avis malavisée, s’ajoute l’absence de résolution des
fameuses querelles internes du gouvernement, clefs dans la feuille de route de
l’avenir.
Je regrette cette situation car, après l’effort accompli, la reconduction des
électeurs dans les urnes et le soutien inédit des États-Unis, le pays se trouve
face à une opportunité historique qu’il ne peut pas laisser passer.
Comme le président l’a dit publiquement, je n’ai rien demandé et ne demanderai
rien à titre personnel, mais je suis obligé de faire ma contribution et
d’exprimer mes préoccupations parce que nous sommes unis par l’avenir du pays.
> J’ai lu cette triste nouvelle :
un garçon de 8 ans est mort parce qu’un arc de handball est tombé sur lui. J’ai
vu les antécédents de cet accident : il y a un peu plus d’un mois, un
autre garçon de 11 ans était mort dans des circonstances très similaires. Et il
y a eu auparavant en Argentine six autres cas. Les chutes d’arcs se répètent
dans d’autres parties du monde. Cela ne peut plus arriver.
J’invite l’AFA, les clubs et les fédérations professionnelles et amateurs de
tous les sports à s’engager à assurer des ancrages sûrs sur les arcs de tous
les terrains et en toutes circonstances, en suivant les normes internationales
de sécurité. Les professeurs, directeurs d’écoles, techniciens, arbitres et
parents sont invités à s’engager personnellement à vérifier que les arcs de
leurs clubs ou des clubs qu’ils visitent ont des ancrages sûrs. Ils ne doivent
pas déléguer la vérification de sécurité à d’autres.
J’accompagne la douleur irréparable de la famille de Benicio.
> Je tiens à féliciter Diego Santilli pour sa nomination en tant que nouveau ministre de l’Intérieur. C’est un ajout très positif pour le gouvernement. En tant que dirigeant expérimenté du PRO, je suis convaincu qu’à ce moment clé, il sera en mesure d’articuler avec les gouverneurs la mise en œuvre des réformes dont nous avons besoin. C’est une grande opportunité pour l’avenir de l’Argentine que nous voulons tous réussir.
● Bolivie
♦ Gouvernement
Rodrigo Paz (président)
> La Bolivie s’ouvre au monde et le monde à la Bolivie.
> La liberté est une valeur en soi, mais elle ne doit pas être utilisée pour bloquer le travail. Aucun parti ou organisation ne s’emparera à nouveau de la vie des Boliviens. La patrie est au-dessus de tout. Nous serons un gouvernement ferme.
> Avec ma famille et les autorités,
nous recevons aujourd’hui ces accréditations, non pas comme un symbole de
pouvoir, mais comme un rappel que la véritable autorité naît du service.
Je remercie toutes les femmes et tous les hommes qui ont fait confiance à ce
projet, qui ont cru à l’idée d’un pays différent. Je promets de marcher sans
relâche pour que la justice, la liberté et la prospérité atteignent tous les
coins de la Bolivie. Nous sommes ensemble dans cette nouvelle étape : le
défi est grand, l’opportunité historique.
Nous allons nous relever avec dignité, travailler honnêtement et construire le
pays que nous méritons tous.
La Bolivie est la patrie qui ne nous quitte jamais, je promets de ne jamais
abandonner la patrie.
Allons en avant Bolivie, des temps meilleurs arrivent!
● Brésil
♦ União Brasil
Antonio Rueda (président)
> Désastreux est de qualifier de massacre le résultat de la méga-opération à
Rio. Désastreuse est l’inversion des valeurs et des rôles : celui qui entre
dans la criminalité peut avoir un destin tragique pour avoir enfreint la loi et
celui qui entre dans la police peut mourir en protégeant le citoyen. Qui est la
victime ? Qui allons-nous défendre ?
> Je viens de recevoir le gouverneur Cláudio Castro et nous avons eu une excellente conversation sur la lutte contre le crime et le zèle pour la sécurité, la paix et la vie de la population de Rio de Janeiro.
Nous savons qu’il n’est pas possible de revenir en arrière.
Le durcissement contre la criminalité est le seul moyen pour l’État de construire une nouvelle histoire, dans laquelle les criminels ne sont plus les protagonistes.
> Ce qui se passe aujourd’hui à Rio de
Janeiro n’est plus de la «violence urbaine».
Le Brésil est confronté à un conflit asymétrique avec:
- des factions armées
- des drones avec des explosifs
- un arsenal de guerre
- des territoires occupés.
Plus de deux millions de personnes vivent sous les lois imposées par des
organisations criminelles.
Ce n’est pas un désordre social.
C’est un pouvoir parallèle.
Et cela a un nom que le Brésil doit reconnaître : narcoterrorisme.
Cet ennemi ne se bat pas pour des idées. Il se bat pour un territoire.
Il ne cherche pas le consensus. Il recherche la soumission.
Il ne fait pas face à l’État. Il essaie de le remplacer.
Ce n’est pas de la délinquance. C’est un système armé, financé par le trafic,
avec une logique insurgée.
Ce n’est pas une opération de police. C’est de la défense nationale.
Ce n’est pas de l’affrontement. C’est de la préservation institutionnelle.
La loi ne reconnaît pas encore le narcoterrorisme.
Mais la réalité a déjà dépassé la législation.
Ou le Brésil répond à la même échelle de menace, ou il permet au crime de redessiner la carte de
l’autorité publique.
L’enjeu n’est pas seulement la sécurité publique. C’est la souveraineté. C’est
le droit d’aller et venir. C’est la légitimité de l’État devant ses citoyens.
La question n’est pas de savoir s’il y a du narcoterrorisme à Rio. La question
est: le Brésil va-t-il continuer à prétendre que c’est de la «criminalité ordinaire»?
● Canada
♦ Gouvernement
Mark Carney (Premier ministre)
> Avec le Budget 2025, nous choisissons de bâtir un
Canada fort.
> Le nouveau gouvernement du Canada lance des mesures ambitieuses qui vont favoriser la compétitivité canadienne – pour vous aider à réduire vos frais bancaires et vos factures de téléphone.
> Le nouveau gouvernement du Canada réalise de gros investissements dans les routes et les ponts où circulent nos produits, dans les infrastructures qui permettent de bâtir plus de logements et dans les hôpitaux, universités et transports en commun au service de nos communautés.
> Le Canada possède ce que le monde recherche : des ressources, de l’ambition et des idées. Le Budget 2025 investit 1,7 milliard de dollars pour attirer de nouveaux talents, stimuler la recherche et libérer notre potentiel économique.
> Pour bâtir un Canada fort, nous protégerons notre souveraineté et notre mode de vie. Le Budget 2025 investit plus de 80G$ sur cinq ans pour réarmer les Forces armées canadiennes, développer nos industries de défense et créer de nouvelles carrières partout au Canada.
> Le budget 2025 est le plan ambitieux en matière de logement dont notre pays a besoin. Nous investissons 13 milliards de dollars dans notre initiative phare, Maisons Canada, pour bâtir des logements abordables à une vitesse et à une échelle sans précédent depuis des générations.
> Pour bâtir un Canada fort, nous bâtissons des communautés fortes. Le Budget 2025 investit plus de 50G$ dans les routes, le transport public, les hôpitaux, les collèges et les universités pour faciliter les déplacements, améliorer les services et créer des opportunités.
> Le Canada trace sa propre voie : il trouve de nouveaux partenaires, stimule de nouveaux investissements et crée de nouvelles possibilités pour les travailleurs et les entreprises du pays.
> C’est notre pays, c’est votre avenir, et nous allons vous redonner le contrôle.
> En consolidant notre force au pays et en travaillant avec des partenaires du monde entier, nous créerons plus de prospérité pour les travailleurs, les familles et les entreprises du Canada.
> Nous investissons massivement dans des projets d’exploitation des minéraux critiques à travers le Canada. Ces projets vont permettre de créer plus de carrières bien rémunérées, d’alimenter notre avenir axé sur l’énergie propre et de renforcer notre défense nationale.
> Grâce à l’accord de libre-échange avec le Chili, notre commerce bilatéral de marchandises a presque quadruplé. Le président
Gabriel Boric et moi créons maintenant un nouveau partenariat stratégique fondé sur nos forces dans les minéraux critiques, l’énergie propre et la défense.
> Le président Xi et moi avons tenu une rencontre aujourd'hui au Sommet de l’APEC, ce qui marque un tournant dans la relation bilatérale entre le Canada et la Chine. Nous sommes résolus à renouveler notre relation de façon pragmatique et constructive. Nous avons demandé à nos représentants respectifs d’agir rapidement pour résoudre les enjeux et les irritants commerciaux en suspens, et nous sommes impatients de réaliser des progrès dans ces dossiers tout en resserrant les liens entre nos deux pays.
> Le Canada s’est joint à l'APEC il y a plus de 35 ans pour la même raison qui nous amène ici aujourd'hui : nous croyons en la coopération internationale et en la prospérité commune. Les partenariats que nous forgeons ici rendent notre pays plus sûr et notre économie plus forte.
François-Philippe Champagne (ministre
des Finances et du Revenu national)
> L’incertitude mondiale exige des mesures audacieuses pour assurer l’avenir
du Canada. Le budget de 2025 est un budget d’investissements. Des
investissements générationnels pour relever les défis du moment et veiller à ce
que notre pays ne se contente pas de tenir le coup, mais plutôt qu’il s’en
sorte plus fort. C’est notre moment de bâtir un Canada fort, et notre plan est
clair : nous bâtirons notre économie, protégerons notre pays et donnerons
aux Canadiens les moyens de réussir. Lorsque nous misons sur nos forces, nous
pouvons créer bien plus pour nous-mêmes que ce qui pourrait nous être enlevé.
● Corée du Sud
Lee Jae-myung (président de la république)
> La reprise rapide du contrôle opérationnel en temps de guerre pendant mon mandat servirait d'opportunité importante pour approfondir et développer davantage l'alliance entre la république de Corée et les Etats-Unis. Si les capacités militaires sont considérablement renforcées et la république de Corée joue un rôle moteur dans la défense de la péninsule coréenne, la charge des Etats-Unis pour la défense dans la région Indo-Pacifique sera également réduite
> Je souhaite voir la république de Corée du Sud et la Chine renforcer leur communication stratégique, utiliser ces conditions et travailler pour la reprise du dialogue avec la Corée du Nord. On ne saurait trop souligner l'importance de la sécurité régionale.
> Moi et le président Xi sommes convenus d'avancer ensemble, indéfectiblement, sur la voie menant à la paix. Alors que notre gouvernement travaille à ouvrir une nouvelle ère de coexistence pacifique et de croissance commune, je m'attends à ce que la Chine joue également un rôle constructif dans ce processus.
Kim Sung-whan (ministre du Climat)
> Des groupes civiques appellent à réduire les émissions de gaz à effet
de serre de 61% au moins et de 65% au maximum alors que le secteur industriel
avance que même une réduction de 48% sera difficile à atteindre en réalité. Le
gouvernement cherchera à trouver un équilibre entre ces divergences de vues. Nous
fixerons un objectif responsable qui contribuera aux efforts de réduction
mondiaux, tout en évitant d'ajouter une charge excessive sur les générations
futures.
♦ Deobureo Minjudang
● Côte d’Ivoire
♦ Gouvernement
Alassane Ouattara (président de la république)
> Merci à chaque Ivoirienne et à chaque Ivoirien
pour la confiance renouvelée. Cette victoire est la vôtre. Celle d’un peuple
qui a choisi d’avancer. Celle d’une grande Côte d’Ivoire, ambitieuse, prospère
et solidaire. Ensemble, poursuivons notre marche vers le développement, dans la
paix et la fraternité.
● Equateur
♦ Gouvernement
Daniel Noboa Azin (président de la république)
> Le Nouvel Equateur continue à se
réactiver
Bien que certains incrédules disent que l’amélioration économique est «selon le
gouvernement», les données ne mentent pas.
Octobre, malgré trois semaines de chômage, les ventes ont augmenté de 8,4%,
avec une forte reprise dans la construction de 21,6%, secteur qui génère
beaucoup d’emplois.
L’Équateur doit continuer à progresser. C’est la tâche de tous de continuer à
croire en notre pays et d’encourager le progrès des Équatoriens.
● Etats-Unis
♦ Parti démocrate
Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des
représentants)
> La nuit dernière [Résultats du jour des élections
du 4 novembre] a été une grande nuit pour le peuple américain et, bien
sûr, une grande soirée pour le Parti démocrate et nos candidats qui ont réussi
partout dans le pays à faire comprendre clairement au peuple américain que nous
allons nous battre pour réduire le coût élevé de la vie, pour les défendre,
améliorer leur qualité de vie, aborder la crise républicaine de la santé et
repousser l’extrémisme qui se déchaîne avec une vitesse record sur le peuple
américain. Il est clair que la nuit dernière a également été une répudiation
décisive de Donald Trump et des politiques républicaines échouées. L’Amérique
est trop chère. Le coût de la vie est beaucoup trop élevé. Donald Trump et les
Républicains ont promis qu’ils réduiraient les coûts dès le premier jour. Les
coûts ne diminuent pas. Ils augmentent. L’inflation augmente. Les coûts de
logement sont hors de contrôle. Les coûts d’épicerie sont hors de contrôle. Les
coûts de garde d’enfants sont hors de contrôle. Les prix de l’électricité
grimpent en flèche. Et maintenant que nous sommes dans le 36e jour de la
fermeture Trump-Républicaine, il est clair qu’en raison du refus des
Républicains d’étendre les crédits d’impôt de l’Affordable Care Act, des dizaines
de millions d’Américains sont sur le point de connaître une augmentation
spectaculaire de leurs primes, co-paiements et franchises, ce qui rendra
inabordable pour eux, leurs enfants et leurs familles d’aller voir un médecin
quand ils en ont besoin.
Les démocrates de la Chambre continueront à se tenir du côté du peuple
américain dans la lutte pour réduire le coût élevé de la vie, réparer notre
système de santé défaillant que les républicains sont en train de décimer et
nettoyer la corruption afin que nous puissions créer un pays qui fonctionne
réellement pour les travailleurs-classe des Américains, pour les Américains de
la classe moyenne et pour les Américains ordinaires. Notre position en tant que
démocrates de la Chambre, travaillant en étroite collaboration avec nos amis et
collègues de l’autre côté du Sénat Démocrate du Capitole, reste la même. Plus
tôt aujourd’hui, le leader Schumer et moi avons demandé une réunion avec Donald
Trump. Il doit sortir de la ligne de touche et entrer dans le jeu parce que
jusqu’à ce qu’il le fasse, ce gouvernement restera fermé. Mike Johnson et John
Thune n’ont aucune autorité pour agir seuls. Et au cours des 36 derniers jours,
Donald Trump a été trop occupé à organiser des fêtes conçues pour améliorer le
mode de vie des riches et des personnes sans honte. Il a été trop occupé sur le
parcours de golf. Il a été trop occupé à détruire la moitié de la
Maison-Blanche. Et il a été trop occupé à trouver 40 milliards de dollars
pour le peuple argentin. Et pourtant, je ne peux pas trouver un sou pour
empêcher les enfants de ce pays de souffrir de la faim. Le peuple américain en
a eu assez, et les résultats d’hier soir à travers le pays l’ont clairement
montré.
> Ici en Amérique, le coût de la vie
est beaucoup trop élevé. Donald Trump et les républicains ont promis qu’ils
allaient réduire les coûts dès le premier jour. Mais les coûts ne diminuent
pas. Les coûts augmentent. Les tarifs douaniers de Trump rendent la vie plus
chère pour les Américains ordinaires de milliers de dollars par an.
L’inflation, en hausse. Les coûts d’épicerie, en hausse. Les coûts de logement,
en hausse. Les coûts de garde d’enfants, en hausse. Les prix de l’électricité,
à la hausse. Et le peuple américain le sait. Et Donald Trump et les
républicains n’ont pas réussi à rendre leur vie plus abordable. Et maintenant,
au milieu de cette fermeture de 35 jours entre Trump et les Républicains, les
Républicains refusent de prolonger les crédits d’impôt de l’Affordable Care
Act, ce qui va entraîner des dizaines de millions d’Américains à subir une
augmentation spectaculaire des primes, des co-paiements et des franchises. Dans
certains cas, les Américains ordinaires, les Américains de la classe ouvrière
et la classe moyenne vont voir leurs primes d’assurance santé augmenter de
1000 $ ou 2000 $ par an à cause du refus des républicains d’étendre
les crédits d’impôt de l’Affordable Care Act.
Donald Trump et les républicains à la Chambre et au Sénat ont échoué le peuple
américain et le peuple américain le sait. Les démocrates continueront à se
battre pour réduire le coût élevé de la vie, réparer notre système de santé
défaillant et nettoyer la corruption au Congrès, dans les tribunaux et
certainement en ce qui concerne Donald Trump et son administration,
l’administration la plus corrompue de l’histoire américaine. Nous voulons
rouvrir le gouvernement. Nous voulons trouver une voie bipartisane vers
l’adoption d’un accord de dépenses qui améliore réellement la vie du peuple
américain, qui réduit les coûts pour le peuple américain, par opposition à
l’économie de Trump, où les choses deviennent plus chères de jour en jour. Et,
bien sûr, nous devons aborder de manière décisive la crise de santé
républicaine qui écrase le peuple américain à travers tout le pays.
> Les républicains de la Chambre des représentants cachent les dossiers Epstein et dirigent un programme de protection des pédophiles. Pendant ce temps. Ils ne se soucient pas de fournir des soins de santé abordables aux Américains ordinaires.
> Trump et les républicains d’extrême droite refusent illégalement les avantages SNAP [Programme d’aide nutritionnelle supplémentaire] à des millions d’enfants et de vétérans. Le peuple américain en a assez. Et les démocrates continuent de riposter.
> Donald Trump et les républicains se rencontrent à la Maison-Blanche ce matin. Les extrémistes veulent rendre votre vie plus chère, retirer les soins de santé et maintenir la fermeture du gouvernement. N’ont-ils rien appris d’avoir été battus à plate couture la nuit dernière ?
> L’Amérique est trop chère. Donald Trump et les Républicains n’ont rien fait pour réduire le coût élevé de la vie. Et les Américains de la classe ouvrière le savent.
> Le peuple américain sait que le pays se dirige dans la mauvaise direction. Et la désapprobation publique de Donald Trump est la pire qu’il n’ait jamais eue. Le show d'un clown malfaisant
> L’administration Trump a trouvé 40 milliards de dollars pour sauver l’Argentine. Mais les républicains ne sont pas disposés à dépenser un sou pour étendre les crédits d’impôt de l’Affordable Care Act. Les extrémistes mettront toujours leurs donateurs milliardaires en premier. Et l’Amérique en dernier.
> Donald Trump admet maintenant que les républicains ont le pouvoir de rouvrir le gouvernement qu’ils ont fermé. Pourquoi les extrémistes ne le font-ils pas ? Ces gens préfèrent réduire la santé des Américains de la classe ouvrière.
> Trump et les républicains retiennent illégalement les avantages SNAP [Programme d’aide nutritionnelle supplémentaire]. Des millions d’enfants pourraient avoir faim. Et ce gars joue honteusement au golf.
Chuck Schumer (leader de la majorité
démocrate au Sénat)
> Le peuple américain a parlé. Il est temps que les républicains écoutent
enfin et mettent fin à leur fermeture et à leur crise de santé.
> Les Américains ne veulent pas d’une
autre guerre sans fin. Nous venons d’exiger un vote sur le parquet pour empêcher
Trump de s’engager dans une action militaire contre le Venezuela sans
l’approbation du Congrès. Mais les républicains du Sénat l’ont bloqué.
Notre Constitution est claire : seul le Congrès a le pouvoir d’autoriser
la force militaire contre un autre pays.
> Les Américains en proie à des coûts
élevés ont parlé haut et fort à Donald Trump et aux Républicains.
Le peuple américain en a assez du coût de la vie élevé sous Donald Trump et les
républicains.
Le peuple américain en a marre des attaques sur la santé par Donald Trump et
les républicains.
Le peuple américain en a assez des promesses non tenues par Donald Trump et les
républicains.
> Après la nuit dernière, Donald Trump devrait apprendre que sa petite vengeance ne fonctionne pas. Il a essayé de supprimer le financement fédéral pour le Gateway Tunnel—et à la fin, cela s’est retourné contre lui et est devenu un facteur important pour les électeurs qui prenaient leurs décisions dans le New Jersey.
> Les avocats de Donald Trump sont à la Cour suprême pour essayer de faire valoir que ses tarifs mondiaux absurdes sont légaux. Les Américains paient plus cher à l’épicerie, et ils savent que Donald Trump et ses tarifs sont responsables de la hausse des prix.
> Donald Trump prive les Américains affamés de SNAP [Programme d’aide nutritionnelle supplémentaire]. Et traiter les Américains comme des pions politiques pendant cette fermeture. Les démocrates, les indépendants et même les républicains ont rejeté les politiques de Donald Trump et ont rejeté les élus de droite dure.
> Les démocrates ont balayé la nuit
dernière dans des courses à l’échelle de l’État et locales à travers le pays
New Jersey
Virginie
Mississippi
New York
Pennsylvanie
Géorgie
Pourquoi ? Parce que les Américains en ont assez du programme républicain raté.
Ils savent que les démocrates se battent pour réduire les coûts et se battent
pour eux.
> Le peuple américain en a assez que
Donald Trump augmente les coûts pour les gens, augmente les coûts de santé et
ignore les besoins des travailleurs.
Le peuple américain a parlé. Assez, c’est assez.
> Nous devons être déterminés à
condamner les actes horribles d’antisémitisme tels que la bombe de croix
gammées peinte sur le Magen David Yeshiva à Brooklyn et d’autres sites juifs à
New York.
Il n’y a pas de place pour ce type d’actes dans notre ville ou notre pays.
La NYPD travaille à trouver les auteurs et à s’assurer qu’ils soient traduits
en justice.
> Donald Trump l’a dit : les Américains savent que les républicains ont fermé ce gouvernement au lieu de résoudre la crise sanitaire qu’ils ont créée.
> Voici les États qui ont connu la plus
grande augmentation des inscriptions en santé à cause des crédits
d’impôt : Texas. Louisiane. Tennessee. Virginie-Occidentale. Mississippi. En
d’autres termes, les états rouges.
Les républicains semblent prêts à dire à leurs propres électeurs chez
eux : va te faire foutre, je préférerais réduire les impôts pour les
milliardaires.
> Les histoires de faim sont honteuses
et écœurantes : les gens submergent les banques alimentaires. Distribuer
des courses au lieu de bonbons d’Halloween.
Les enseignants paient pour la nourriture des élèves
Donald Trump ne peut pas continuer à bloquer les avantages SNAP [Programme
d’aide nutritionnelle supplémentaire] et traiter les Américains affamés comme
des pions politiques.
> Trump devrait moins se concentrer sur sa salle de bal et sa salle de bain et plus sur le peuple américain.
Barack Obama (ancien président des
Etats-Unis)
> Félicitations à tous les candidats démocrates qui ont gagné ce soir. C’est
un rappel que lorsque nous nous réunissons autour de leaders forts et tournés
vers l’avenir qui se soucient des problèmes qui comptent, nous pouvons gagner.
Nous avons encore beaucoup de travail à faire, mais l’avenir semble un peu plus
prometteur.
> À défaut d’autre chose, les neuf derniers mois auraient dû montrer clairement que les élections ont de l’importance. Mais ce qui est remarquable en Amérique, c’est que nous avons le pouvoir, en tant que citoyens, de changer ce pays en votant.
> Plus de 47 millions d’Américains
— dont un enfant sur cinq—n’ont pas d’accès fiable et abordable à des aliments
nutritifs. Et alors que le coût de la vie monte en flèche, de plus en plus de
familles dépendent des prestations SNAP [Programme d’aide nutritionnelle
supplémentaire], ou coupons alimentaires, pour mettre de la nourriture sur la
table.
Les républicains doivent agir maintenant pour s’assurer que ces avantages sont
disponibles pour les personnes qui en dépendent. Si ce n’est pas le cas, des
millions d’enfants, de personnes âgées et d’Américains à faible revenu mourront
de faim avant les vacances.
Hillary Clinton (ancienne secrétaire
d’Etat)
> Plus de gens ont voté aux élections à New York cette année qu’en 50 ans. C’est
une victoire pour la démocratie, et un témoignage de la campagne inspirante de
Zohran Mamdani. Félicitations au prochain maire de la plus grande ville du
monde.
> Les femmes démocrates ont marqué l’histoire ce soir : Abigail Spanberger sera la première femme gouverneur de Virginie. Mikie Sherrill sera la première femme gouverneur démocrate du New Jersey. J’ai hâte de voir ces leaders forts et dévoués livrer pour leurs États.
> C’est le président des États-Unis qui fait une pause dans les rénovations intérieures en or et marbre pour dire qu’il va défier une ordonnance du tribunal pour nourrir les Américains affamés. Nero serait fier.
> La fermeture de Trump a coupé les
bénéfices du programme d’aide nutritionnelle supplémentaire ce week-end,
laissant des millions de familles sans ce dont elles ont besoin pour se
nourrir.
Si vous en avez les moyens, une chose que vous pouvez faire pour aider est de
donner à une banque alimentaire locale.
> L’impensable s’est produit. Grâce à
des générations de service sous les administrations des deux parties, le
programme d’aide alimentaire américain n’a jamais été autorisé à faire échouer
les familles américaines—jusqu’à aujourd’hui, et cette fermeture de Trump. Plus
de 40 millions de personnes se sont réveillées aujourd’hui sans assez
d’argent pour les courses.
Plus d’un tiers des personnes qui dépendent de SNAP [Programme d’aide
nutritionnelle supplémentaire] sont des enfants.
● Japon
♦ Parti démocrate constitutionnel
> Le député Honjo, président de la commission des affaires politiques, a
posé des questions sur (1) l'évaluation de l'Abenomics, (2) la politique
budgétaire responsable et proactive, (3) les mesures économiques et
l'allègement de la charge fiscale liée à la consommation, et (4) l'anticipation
des dépenses de défense.
M. Honjo a souligné qu'il trouvait « quelque peu déplacée » l'affirmation de la
Première ministre Takaichi selon laquelle l'Abenomics « a permis de sortir du
déflationnisme, d'augmenter le PIB, de créer des emplois et d'améliorer les
résultats des entreprises ».
En comparant 2012, année du lancement du gouvernement Abe, et 2024, « les prix
des denrées alimentaires ont augmenté de 33 %, aggravant l'inflation
alimentaire. L'émission d'obligations d'État a augmenté de 53 % pour atteindre
370 000 milliards de yens, les salaires réels ont baissé de 6 % et le nombre
d'emplois non réguliers a augmenté de 3,1 millions. En revanche, les réserves
internes des entreprises ont doublé, passant de 273 000 milliards de yens à 588
000 milliards de yens, et le nombre de personnes gagnant plus de 100 millions
de yens est passé de 12 000 à 32 000. Ce sont là des faits. Il y a certes eu
certains aspects positifs, comme la hausse des cours boursiers, mais les
aspects négatifs sont également manifestes : dépréciation du yen, hausse des
prix, augmentation des taux d'intérêt, aggravation des inégalités et
détérioration des finances publiques. Il a déclaré que la reprise de l'économie
japonaise commencerait par la prise de conscience de ces réalités.
La Première ministre Takaichi a répondu : « L'Abenomics a permis de sortir de
la déflation. Cependant, en raison de l'impact de la pandémie de Covid19,
l'Abenomics elle-même a perdu de sa vigueur et la situation de l'emploi s'est
détériorée. » Le député Honjo a fait part de son opinion : « Il ne s'agit pas
de déflation, mais d'une inflation de type poussée des coûts, ce qui n'est pas
une bonne chose. Les effets négatifs tels que la hausse des prix, l'augmentation
des coûts de main-d'œuvre et la hausse des prix à l'importation ne peuvent être
ignorés. »
M. Honjo a analysé que les trois flèches de l'Abenomics, à savoir la politique
monétaire (première flèche), la politique budgétaire (deuxième flèche) et la stratégie
de croissance (troisième flèche) qui vise à stimuler les investissements
privés, n'ont pas donné les résultats escomptés, et que les effets secondaires
de la poursuite de la politique monétaire et budgétaire ont eu diverses
répercussions sur l'économie et la société.
À la question de savoir comment améliorer la situation, la Première ministre
Takaichi a énuméré plusieurs mesures, telles que « renforcer la structure de
l'offre tout en évitant d'accélérer la hausse des prix grâce à une politique budgétaire
proactive et responsable, améliorer la propension à consommer en augmentant les
revenus, et créer un cercle vertueux permettant d'augmenter les bénéfices des
entreprises », mais sans présenter de propositions concrètes.
Le député Honjo a souligné que cette synthèse était insuffisante et a déclaré :
« Il est nécessaire de s'éloigner de l'Abenomics. D'un point de vue
macroéconomique, il faut augmenter les taux d'intérêt, assainir les finances
publiques et mener des réformes structurelles. Sans cela, il sera difficile de
créer une nouvelle économie. »
> Le député Okada a interrogé le
Premier ministre Takaichi sur les relations nippo-américaines et la politique
étrangère. Il a remis en question la pertinence des expressions utilisées par la
Première ministre Takaichi, telles que « l'alliance nippo-américaine la plus
importante au monde » et « retrouver la diplomatie japonaise ».
Au sujet de la déclaration de la Première ministre Takaichi après le sommet
nippo-américain du 28 octobre, selon laquelle « l'alliance nippo-américaine est
la plus grande au monde », le député Okada a déclaré qu'elle semblait incongrue
par rapport à l'alliance anglo-américaine et à l'OTAN, et a demandé des
explications. Citant l'expression « allié le plus important des États-Unis dans
la région indo-pacifique » utilisée par l'ambassadeur américain au Japon, M.
Glass, il a déclaré : « Cela, je peux le comprendre. » La Première ministre
Takaichi a expliqué que « les deux pays, qui se sont autrefois affrontés sur le
champ de bataille, ont établi une relation de confiance qui constitue le
fondement de la paix et de la prospérité dans la région Indopacifique ».
En outre, concernant l'expression « retrouver la diplomatie japonaise », le
député Okada a souligné que « cette déclaration, faite alors que le
gouvernement du PLJ est toujours au pouvoir, semble nier la diplomatie menée
par ses prédécesseurs, MM. Ishiba, Kishida et Suga », et a demandé que le
respect envers ses prédécesseurs soit respecté. La Première ministre Takaichi a
répondu que « le présent est le fruit des efforts de nos prédécesseurs », tout
en déclarant qu'elle souhaitait « développer la diplomatie en fonction des
changements de l'époque ».
> [Conférence de presse du président Noda]
Le président Yoshihiko Noda a tenu une
conférence de presse régulière au Parlement et a souligné les résultats obtenus
grâce à la collaboration des partis d'opposition, en qualifiant (1) la
suppression du taux provisoire de la taxe sur l'essence (entrée en vigueur le
31 décembre) d'« accord historique, le premier depuis 51 ans », (2) la
collaboration multipartite visant à renforcer la réglementation des dons des
entreprises et des organisations, et (3) les mesures immédiates et à moyen et
long terme visant à protéger les citoyens contre la hausse des prix. .
(1) La suppression du taux provisoire de la taxe sur l'essence est « le
résultat de la collaboration des partis d'opposition »
Le président Noda a qualifié d'« extrêmement historique » la suppression du
taux provisoire de la taxe sur l'essence (mise en œuvre le 31 décembre)
convenue entre les partis au pouvoir. Il a déclaré : « Les partis au pouvoir et
les partis d'opposition se vantent tous deux d'en être les auteurs, mais le
plus grand résultat est que les partis d'opposition ont uni leurs forces », et
a énuméré les étapes qui ont mené à cette décision : les revendications depuis
2021, la soumission d'amendements à la loi fiscale du gouvernement, la
proposition de loi déposée en avril par le seul Parti constitutionnel
démocrate, et la soumission de projets de loi en juin et août en collaboration
avec d'autres partis. Il s'est félicité : « C'est un événement qui n'était pas
arrivé depuis 51 ans. Le fait d'y être parvenu dans cette situation revêt une
grande importance ». Lors de la commission budgétaire de la Chambre des
représentants qui s'ouvre aujourd'hui, il a déclaré qu'il « allait interroger
sans relâche» le Premier ministre Takaichi sur ses réponses ambiguës.
(2) Renforcement de la réglementation des dons des entreprises et des organisations:
freiner les « 7 800 sections locales », avancer grâce à un consensus
multipartite
En ce qui concerne la réforme politique, il a réaffirmé son soutien au projet
de loi élaboré par le Komeito et le Parti démocrate national. Tout en se
montrant flexible dans les négociations sur les amendements, il a déclaré qu'il
fallait « réglementer strictement la situation actuelle, où 7 800 sections
locales du Parti libéral-démocrate servent de réceptacles ». Tout en demandant
la compréhension de tous les partis, y compris le Parti communiste, il a appelé
le Parti de la réformation, qui a rejoint la coalition au pouvoir, à « faire
avancer les choses d'un pas ou deux face au Parti libéral-démocrate ». Il a
également critiqué les critères du gouvernement et des partis au pouvoir
concernant la nomination de « députés aux caisses noires » à des postes clés,
les qualifiant d'«extrêmement vagues et imprécis ».
(3) Mesures immédiates pour protéger les citoyens contre la hausse des prix
En matière d'aide aux ménages, il a déclaré qu'il fallait « envisager une aide
financière immédiate pour faire face à la hausse des prix », tout en conservant
comme principe de base la suppression de la taxe sur la consommation pour les
produits alimentaires, et en tenant compte du temps nécessaire à sa mise en
œuvre. Il a précisé que les détails étaient « en cours d'examen, que le nom
n'était pas encore défini et que les discussions se poursuivaient de manière
flexible », estimant que les médias avaient pris les devants. Il a également
réaffirmé son intention d'accélérer les discussions sur la conception d'un
système de crédit d'impôt avec prestations à moyen et long terme. Il a proposé
que ce système soit conçu « non pas par une « assemblée nationale » créée sous
l'égide du gouvernement, mais par un organe de concertation multipartite placé
sous l'égide du Parlement, dans le cadre d'une démarche « non pas dirigée par
le gouvernement, mais par les responsables politiques ».
● Royaume Uni
♦ Liberal democrats
> Nigel Farage croyait autrefois à la réforme du
système de vote, maintenant il est revenu en arrière parce que cela ne lui
profite plus.
Les libéraux-démocrates continueront à se battre pour des votes équitables, non
pas parce que cela nous avantage mais parce que c’est bon pour le pays. Le
changement est en retard, il est temps pour un système où la voix de chacun est
entendue.
> Chaque fois que les Réformateurs ont
le contrôle, leur premier instinct est de s’attaquer aux plus vulnérables.
Si c’est ce qui se passe quand ils dirigent un conseil, imaginez-les diriger le
pays.
> Kemi Badenoch [leader du Parti
conservateur] refuse cinq fois d’admettre les dommages que l’accord des
conservateurs sur le Brexit a causés à notre économie.
Les libéraux-démocrates continueront à se battre pour réparer le gâchis causé
par les conservateurs — et reconstruire le commerce de la Grande-Bretagne avec
l’Europe.
> Le gouvernement doit-il décider ce qu’il considère comme plus juste, taxer les familles en difficulté ou taxer les grandes banques ?
> Farage nous a donné le Brexit et la Grande-Bretagne s’est appauvrie. Cela n’allait jamais fonctionner. Il est temps de reconstruire notre relation avec l’Europe.
> Des gens meurent en attendant un traitement contre le cancer, mais le gouvernement ne montre aucune urgence. Le gouvernement doit mettre fin aux délais interminables et agir avec l’urgence dont les familles ont désespérément besoin.
> Nous sommes fiers d’avoir résisté aux efforts irresponsables de Farage pour sortir la Grande-Bretagne de la CEDH. Nous ne laisserons pas l’Amérique de Trump devenir la Bretagne de Farage.
> Depuis les élections locales de mai, les libéraux-démocrates ont remporté plus de sièges au conseil que le Parti travailliste, les conservateurs et le Parti vert réunis. Nous nous attaquons à la politique de division de Nigel Farage et défendons nos valeurs britanniques en tant que pays bienveillant et décent.
> La taxe sur les fermes familiales était défectueuse dès le départ, ce qui a nui aux vrais agriculteurs tout en permettant aux gros investisseurs de s’en tirer à bon compte. Dans ce budget d’automne, le gouvernement ne doit pas fermer les yeux et devrait éliminer cette taxe préjudiciable et contre-productive.
> Lors des vraies élections dans tout le pays, ce sont les libéraux démocrates qui s’attaquent à la politique de division de Reform UK.
Ed Davey (leader)
> Keir Starmer doit se réveiller et réparer notre système de vote défectueux
avant la prochaine élection, ou il risque de laisser Nigel Farage dans le
numéro 10. Nous continuerons à lutter pour des votes équitables afin de nous
assurer que chaque voix soit entendue.
> Elon Musk utilise délibérément sa plateforme pour empoisonner notre politique et diviser notre pays. Il est temps pour le gouvernement de se réveiller face à la menace qu’il représente pour notre démocratie.
> Si les excuses du gouvernement étaient incluses dans le PIB, nos malheurs économiques seraient terminés. Mais ce que nous devons vraiment entendre de la part du chancelier, c’est une action – surtout sur l’Europe.
> Il est clair pour quiconque prête attention que Farage est facilement pris en charge par les médias. Ils lui accordent autant de temps d’antenne qu’il le souhaite mais ne le tiennent jamais responsable des dommages qu’il a causés. Une grande partie de ce qui est cassé en Grande-Bretagne est grâce à Nigel Farage.
> Le roi a absolument raison de priver le prince André de ses titres et de sa résidence à la loge royale. Il est clair que la position d’Andrew était devenue totalement intenable, ayant déshonoré sa fonction et embarrassé le pays. C’est une étape importante pour reconstruire la confiance dans nos institutions et tracer une ligne sous cette triste saga.
● Suisse
♦ Le Centre
> [Lettre ouverte à toutes
les Suissesses]
Chères Suissesses,
cette lettre ouverte est un appel lancé
par des femmes, à toutes les femmes de Suisse.
La Suisse débat actuellement de
l’initiative Service Citoyen.
À la base de ce projet, issu de la
société civile, il y a une conviction:
- La sécurité de la Suisse est l’affaire
de toutes et tous, femmes et hommes.
- La sécurité de la Suisse est assurée
par l’armée, mais aussi par la protection civile et par des engagements civils
en faveur de la collectivité.
- La sécurité de la Suisse est assurée
par les budgets militaires, mais aussi par le renforcement de la cohésion
sociale. Les femmes comme les hommes doivent y participer.
De quoi s’agit-il? L’initiative populaire fédérale «Pour une
Suisse qui s’engage (initiative Service Citoyen)» vise à ce que tous les
jeunes, de 18 à 25 ans, apportent leur contribution à la communauté, et pas
seulement les hommes suisses dans l’armée.
Que ce soit en tant que sauveteuse,
pompière, soldat ou aide dans les domaines des soins, de la protection de
l’environnement, de l’éducation ou de l’agriculture. Dans le cadre du Service
Citoyen, chacune et chacun apporte sa contribution là où cela est nécessaire.
Tout le monde s’engage: femmes et hommes ensemble, de manière civile et
militaire. Cela rend la Suisse plus forte, plus sûre et plus résistante aux
crises.
Mais le Service Citoyen n’est pas
seulement une réforme en matière de politique de sécurité, c’est aussi une
opportunité sociale pour une véritable égalité. Voici pourquoi:
1. Le Service Citoyen brise les
stéréotypes liés au genre
Pourquoi les femmes assument-elles encore
aujourd’hui une plus grande part du travail de «care»? Parce que notre société
continue de véhiculer l’idée que les hommes doivent être des protecteurs forts,
tandis que les femmes doivent prendre soin des autres. Le Service Citoyen
renverse cette logique: lorsque les hommes effectueront leur service dans le
domaine du social ou des soins et que plus de femmes exerceront des responsabilités
dans la protection civile ou l’armée, ces rôles traditionnels très ancrés dans
notre culture et dépassés à plus d’un titre s’estomperont: Un pas décisif vers
une égalité réelle entre les femmes et les hommes — dans la vie publique comme
dans la vie quotidienne.
2. La sécurité nous concerne toutes et
tous
Le Service Citoyen renforce la sécurité —
et celle de chacune d’entre nous. Aujourd’hui, seules les personnes astreintes
au service militaire reçoivent une formation sur la conduite à tenir en cas de
crise, de guerre, de catastrophe naturelle ou de blackout. Les femmes, elles,
en sont largement exclues. Le Service Citoyen change cela: en transmettant des
connaissances et compétences pratiques essentielles pour réagir face à
l’imprévu, porter secours, se défendre et protéger autrui.
La semaine dernière, l’ONU a célébré les
25 ans de la résolution 1325 sur les Femmes, la paix et la sécurité. Le
constat reste clair: il reste beaucoup à faire au niveau de la sécurité,
notamment pour donner toute leur place aux femmes. En apprenant ensemble à
faire face aux crises, les femmes cessent d’être cantonnées au rôle de
spectatrices; elles deviennent actrices à part entière de la sécurité
collective. Car la sécurité ne naît pas seulement du savoir, mais aussi de la participation.
Elle ne doit pas rester l’apanage des hommes: elle est notre responsabilité
commune.
3. Le Service Citoyen ouvre de nouvelles
perspectives
Le Service Citoyen est un enrichissement,
une formation pour la vie. Ce service dédommagé permet d’acquérir des
expériences précieuses, de se constituer un réseau et de développer des
compétences essentielles telles que la gestion de crise, la gestion du stress
ou le travail d’équipe.
Aujourd’hui, seuls les hommes en
profitent pleinement, tandis que les femmes n’ont pratiquement pas accès au
service civil et s’engagent souvent à la place sur base bénévole et non
rémunérée. L’initiative corrige cette inégalité: grâce au Service Citoyen, les
femmes ont également accès à ces expériences et à ces réseaux qui les font
progresser dans leur vie professionnelle et personnelle. Il ouvre des portes
dans des domaines encore largement dominés par les hommes et renforce notre
position sur le marché du travail, dans la société et en politique. C’est cela,
la véritable égalité.
4. Créons un Service Citoyen équitable
pour nos enfants
Le Service Citoyen est bien plus qu’une
réforme: c’est un engagement pour l’avenir. Il donne à chaque génération les
mêmes chances de se former, de contribuer et de protéger la collectivité. En offrant
à nos filles les mêmes possibilités qu’à nos fils, nous posons les bases d’une
société plus juste, plus solidaire et véritablement égalitaire.
Nous sommes encore loin du compte en
matière d’égalité. Si nous attendons simplement que ça se passe, l’immobilisme
prolongera les inégalités et freinera le changement dont notre société a
besoin. L’avenir ne se construit pas en attendant — il se construit en
s’engageant. Le Service Citoyen est un pas décisif dans cette direction.
Tu signes avec nous?
Cette lettre ouverte n’est qu’un début —
mais son impact grandit grâce à chaque femme qui la signe. Ensemble, nous
faisons entendre nos voix: pour une meilleure culture de l’égalité, pour
l’égalité des chances, pour des structures enfin équitables entre femmes et hommes.
[Parmi les co-signataire: Céline
Weber, Virginie Cavalli, Caroline Revaz (vert’libéraux) ; Helen
Affentranger-Aregger (Le Centre) ]
♦ Vert’libéraux
> Enfin ! Après des années
d’immobilisme, le dossier électronique du patient avance. Il sera ouvert automatiquement
dès la naissance (avec la possibilité d’opt-out). Un vrai progrès pour la
qualité des soins : toutes les informations médicales, au bon
endroit, au bon moment.
> Notre système de milice actuel alimente des stéréotypes de genre : les femmes à la maison, les hommes au front. Le Service Citoyen permet de changer cela !
● Venezuela
♦ Vente Venezuela
María Corina Machado (leader)
> Le Venezuela sera la nouvelle frontière mondiale pour l’innovation et la
création de richesse!
D’être le hub criminel des Amériques, nous deviendrons très rapidement le Hub
énergétique et technologique des Amériques.
Ici je partage avec vous une partie de mon intervention d’aujourd’hui, à
l’America Business Forum.
Nous transformerons notre pays en une véritable terre de grâce et invitons les
grands investisseurs du monde entier à faire partie de ce processus historique!
> Cher Alejandro, merci beaucoup pour
cette émouvante reconnaissance que le Congrès du Pérou fait au peuple courageux
vénézuélien à propos de recevoir le prix Nobel de la paix 2025.
Notre cause pour la dignité, la liberté et la démocratie est la même, et nous
savons que nous avons le soutien et l’affection de nos chers frères péruviens.
Le Venezuela sera libre et un phare qui rayonnera la stabilité, la prospérité
et l’espoir pour toute la région et le monde.
> Cher Marcos, en ces
jours d’angoisse et de douleur que vit ta famille et celle de milliers de
familles vénézuéliennes, notre pays tout entier les accompagne et le monde prie
pour nous.
Ton père et tous nos prisonniers sont des héros de la démocratie et l’histoire
le reconnaîtra.
Ensemble, nous construirons un pays où nous serons tous égaux devant la loi,
personne ne sera réduit au silence ou persécuté par ses idées et les familles
vivront unies sur cette terre que nous aimons.

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