Les nouveaux propos injurieux de Salvini contre Macron ne sont pas les premiers du néo-fasciste, vice-premier ministre italien.
De même, il n’est pas le seul extrémiste étranger à s’en prendre au président de la république française, ceux de Pologne et de Roumanie l’ayant abondamment attaqué lors des dernières échéances électorales dans leurs pays respectifs tandis que le dictateur de l’Azerbaïdjan et l’autocrate de Turquie déversent sans arrêt leur fiel à son encontre.
Mais les extrémistes populistes français ne sont pas en reste comme le montre leur tentative de déstabilisation des ordres démocratique et républicain le 10 septembre prochain alors qu’ils n’ont de cesse de demander la démission du président de la république élu deux fois de suite au suffrage universel.
La France cible des extrémistes, s’explique bien évidemment par la présidence d’Emmanuel Macron, homme politique central et centriste, qui est un des leaders de la défense de la démocratie républicaine libérale.
Mais plus profondément, c’est le pays des droits de l’humain et qui est à la pointe du combat pour la liberté ce qui suscite évidemment des oppositions fortes de la part de tous les ennemis de celle-ci et ils sont de plus en plus nombreux.
On le voit avec les propagandes venues de la Russie de Poutine mais aussi des Etats-Unis de Trump et de leurs soutiens tant à l’intérieur que l’extérieur du pays.
Ces attaques vont sans doute s’intensifier dans les mois et les années à venir de par la situation mondiale et de par les comportements des extrémistes populistes dans notre pays.
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