2005-2025: 20 ANS D'INFORMATION SUR LE CENTRE ET LE CENTRISME

mardi 2 septembre 2025

Propos centristes. France – Le 9 septembre la dette sera toujours là / Bayrou n’est pas encore renversé / Le nécessaire compromis pour la France / Des garanties robustes pour l’Ukraine / Rentrée: il manque 2500 enseignants…


Voici une sélection, ce 2 septembre 2025, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France. 

► Emmanuel Macron (Président de la République)
> Je viens de m’entretenir avec le Secrétaire général de l’OTAN pour préparer la réunion de la Coalition des volontaires qui se tiendra ce jeudi à Paris.
Nous avancerons avec nos partenaires, en lien avec l’OTAN, pour définir des garanties de sécurité robustes pour l'Ukraine. Celles-ci sont un préalable nécessaire pour avancer de manière crédible vers la paix.
Nous ferons aussi le point sur l’attitude de la Russie, qui persiste dans sa guerre d’agression et refuse la paix.
Unité et détermination dans notre soutien à l’Ukraine et volonté de paix inébranlable.

> Coordination étroite aujourd’hui avec le Roi de Jordanie dans la perspective de la Conférence sur la solution à deux États qui se tiendra à New-York le 22 septembre prochain.
Ensemble, nous avons rappelé notre ferme opposition à tout plan de reconstruction de la bande de Gaza qui impliquerait le déplacement forcé des populations ou la mise sous tutelle du territoire. Une telle proposition, contraire au droit international, ne mènerait qu’à une impasse totale.
Nous avons aussi redit que l’opération militaire terrestre d’Israël sur Gaza ville était inadmissible et que cette fuite en avant ne pouvait conduire qu’à un conflit sans fin.
La paix ne naît pas des ruines, elle se construit sur la justice et la dignité. Nos priorités restent claires et inchangées : cessez-le-feu durable, libération de tous les otages, acheminement massif d’aide humanitaire aux populations de Gaza et définition d’une solution politique pérenne incluant le désarmement du Hamas et une mission de stabilisation de la bande de Gaza.
En vue du 22 septembre, nous travaillons avec le Roi de Jordanie et l’ensemble de nos partenaires à définir cette perspective crédible et porteuse d’espoir pour toute la région, capable de répondre aux aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens. Deux peuples, deux États : c’est la seule voie vers un avenir de paix. Nous sommes enfin convenus de renforcer notre coopération en matière de défense.

 

► Gouvernement
[Nota: Ce gouvernement est dirigé par un centriste, François Bayrou ; nous avons donc décidé de reprendre les propos de tous les ministres puisqu’ils agissent sous l’autorité d’un Président de la République et d’un Premier ministre centristes/centraux ; néanmoins nous avons fait une distinction avec d’un côté les ministres centristes-centraux et les autres puisqu’il s’agit d’un gouvernement de coalition du fait que le Président de la République et le Premier ministre ne disposent pas d’une majorité à l’Assemblée nationale]

Ministres centristes/centraux
François Bayrou (Premier ministre)
> La rentrée, c’est toujours un nouveau départ : celui des savoirs, des rêves et des projets. Aux élèves, enseignants et familles : bonne rentrée à toutes et tous !

> La question, ce n'est pas le destin du Premier ministre, ce n'est même pas le destin du Gouvernement. La question, c'est le destin de la France.

> La stabilité, c'est une chose essentielle. La possibilité de partager avec les citoyens la vision du pays et d'une situation, c'est une chose essentielle. La capacité à rassembler des forces, même différentes.

> Parce que si je n'ai pas l'assentiment minimal des Français et de ceux qui les représentent, il n'y a aucune politique courageuse possible. Vous êtes obligé de battre en retraite sur chacune des mesures. On l'a vu dans les gouvernements précédents. Et puis au bout du compte, vous vous trouvez censuré. Et il y a pire pour moi. S'il n'y a pas cet accord, pire alors à titre personnel et de mon histoire personnelle, s'il n'y a pas cet accord minimal, cette entente sur le diagnostic. Alors la situation est présentée comme étant le pouvoir contre les Français, le haut contre le bas. Et toute ma vie, je me suis battu pour qu'au contraire, le bas soit reconnu, les Français de la base soient reconnus et respectés. Je ne veux pas conduire une politique contre eux. 

> La question, c'est est-ce qu'on est d'accord sur le diagnostic ou pas ? Si on n'est pas d'accord sur le diagnostic, aucune politique ne marchera.

> La dissolution, on l'a vécue. On ne peut pas dire, le président de la République dit ça chaque fois qu'on en parle, on ne peut pas dire que la dissolution était une clarification magnifique. Et comme on n'a pas changé le mode de scrutin, je suis persuadé qu'il faut le faire. Et j'ai un projet prêt qui peut être présenté avec à la fois les avantages du scrutin de circonscription et les avantages du scrutin proportionnel comme nos voisins allemands l'ont. Tant qu'on ne change pas le mode de scrutin, vous avez beau dissoudre, vous allez retrouver exactement les mêmes divisions, les mêmes difficultés, les mêmes forces, les mêmes désordres, la même incapacité d'action.

> C'est le peuple français qui est en danger. Parce que si on entre, comme ça risque beaucoup d'être le cas, dans une période de désordre, de chaos, que certains cherchent. 

> «On va faire tomber le gouvernement», tu parles de l'exploit. C'est un gouvernement minoritaire, pas de majorité absolue, pas de majorité relative, qui depuis le premier jour est promis aux accidents les pires. Mais comment tombe-t-il par l'alliance de trois partis qui sont non seulement hostiles entre eux, mais haineux entre eux, qui ont, on l'a vu, des propositions et des volontés strictement antagonistes.

> Le risque, il est imminent dès l'instant que nous prendrons la décision de ne rien faire. Le risque, c'est extrêmement simple: l'explosion des taux d'intérêt, deux, la dégradation de la note, et trois, un jour, les prêteurs vous disent on ne prête plus.

> Le pays est depuis des années plongé dans une espèce de perpétuelle embuscade des uns contre les autres.

> Les propositions du Parti socialiste, ce sont les plus éloignées de toutes celles qui ont été faites sur le champ politique. Pourquoi ? Parce que ce que propose le Parti socialiste, ce n'est pas de freiner la dépense, c'est de laisser repartir la dépense. Et de le faire en créant, selon mes comptes, 32 milliards d'euros d'impôts, principalement sur les entreprises.

> La contribution à l'Union européenne, c'est un très grand risque si on ne la paie pas. Marine Le Pen a noté dans ses réactions que nous avions déjà réussi à baisser la contribution par une négociation, et elle a dit, c'est la première fois, donc c'est la preuve qu'on peut, je suis d'accord avec elle pour dire que si on peut, il faut le faire. Mais dire. Nous ne remplirons pas nos engagements, ça a des conséquences extrêmement simples qui sont dans les chiffres. On va payer cette année, quand le budget sera voté, quelque chose comme 27 milliards de contributions à l'Union européenne. Nous en touchons 31,5.

> Si nous devons revenir à en 2029 au seuil qu'on appelle de 3%, qui est simplement le seuil à partir duquel la dette n'augmente plus et si la dette n'augmente plus, alors l'activité du pays fait qu'elle devient chaque jour plus supportable. Si on doit en arriver à ça, alors il faut des étapes. On était à presque 6% de déficit. Nous serons cette année, grâce au budget que nous avons fait, adoptés à 5,4%. Et nous avons pris l'engagement d'être à 4,6%.

> Ce qui me gêne, ce n'est pas qu'il y ait des riches en France, c'est qu'il y ait des pauvres.

> Je suis un défenseur de l'unité de la France.

 

Elisabeth Borne (ministre d’Etat, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche)
> Cette année encore, l’Éducation nationale manque d’enseignants, l’équivalent de 2500 professeurs. C’est moins que l’an dernier. (…) Les rectorats sont mobilisés depuis des semaines pour qu’il ait un prof devant chaque élève. Ça sera le cas, on a 99,9% des postes qui sont pourvus dans le premier degré. (…) Il y a comme chaque année des heures d’enseignement qui ne sont pas couvertes. Cela représente 0,7 % des heures d’enseignement.

 

Manuel Valls (ministre d’Etat, ministre des Outre-mer)
> Voulons-nous d'un suicide collectif pour le pays? (…) J’appelle les forces politiques qui composent l'Assemblée nationale et le Sénat à trouver un compromis nécessaire pour la loi de finances. De toutes mes forces, j'appelle tout le monde à se ressaisir et trouver la voix du compromis. Je ne veux pas d'élections législatives anticipées qui amèneraient incontestablement le RN à des niveaux jamais atteints. (…)
Tout le monde veut discuter, tout le monde veut s'en sortir, mais les intérêts de chacun, en l'occurrence de chaque formation politique, vont à l'encontre, vont contre l'idée de trouver un chemin et un accord. (…)
Je pense qu'il y a une voix possible à partir de la majorité relative actuelle et une partie de la gauche.
Le RN et LFI ont le même projet qui est de provoquer le chaos avec une dissolution. C'est avec tous les autres qu'il faut trouver un chemin ! Sinon nous irons vers des élections anticipées qui provoqueront, d'une manière ou d'une autre, la victoire du Rassemblement national.

> [Nouvelle-Calédonie] Je dis aux forces politiques nationales : attention, il y a le dossier de la Nouvelle-Calédonie.

> [Nouvelle-Calédonie] L'accord de Nouméa est préservé (...). L'identité kanak est préservée (...). Il faut réussir l'achèvement de ce processus de décolonisation. Le droit à l'autodétermination est toujours préservé. (…) Il y a des éléments au sein du FLNKS qui pensent que c'est par la pression, parfois la violence, qu'on pourra trouver la solution vers l'indépendance.

 

Jean-Noël Barrot (ministre de l’Europe et des Affaires étrangères)
> Reconnaissance de la Palestine : la Belgique se joint à son tour à la dynamique lancée par la France et l'Arabie Saoudite pour la solution à deux Etats, seule susceptible d'amener la paix et la sécurité au Moyen Orient. Je salue le ministre des Affaires étrangères belge pour ses efforts déterminants.

> Les Iphone 12 n’étaient pas aux normes de sécurité en France. J’avais imposé à Apple leur mise à jour. La Commission européenne nous donne raison aujourd’hui. Les règles que nous avons adoptées souverainement ne sont pas négociables.

> Je reviens d'une visite officielle au Groenland à l'invitation de Vivian motzfeld et de Lars Løkke Rasmussen. Voici ce que j'ai dit :
- Le Groenland est un territoire européen. On ne reconstruit pas la grandeur d'une nation sur la servitude de ses voisins.
- Face à la brutalisation du monde, à la guerre de la Russie contre l'Ukraine et aux tentations de prédation en Arctique, la France est claire : le Groenland n'est pas à vendre. Le Groenland n'est pas à prendre.
- Début 2026, la France sera le premier pays de l'Union européenne à ouvrir un consulat au Groenland. Un comité de dialogue partenarial sera créé pour renforcer notre coopération.

- Le Groenland et le Danemark ne sont pas seuls. L'Europe et la France se tiennent à leurs côtés, aujourd'hui et demain.

 

Agnès Pannier-Runacher (ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche)
> Quel que soit le vote du 8 septembre, nous serons toujours face à un mur de dette le 9 septembre, face à l’urgence écologique et à la nécessité de payer nos prêteurs. En tant que responsable politique, je préfère donner moins d’argent à nos prêteurs, garder des taux d’intérêt sous contrôle et consacrer davantage de moyens à nos politiques et à nos services publics. Et pour ça il faut un budget sur lequel on se met d’accord.

> Ce qui m’intéresse, c’est que nous sortions par le haut de cette crise. Nous avons un devoir de responsabilité, avec ou sans moi. Je viens de la société civile, j’agis par conviction. Je défends une ambition écologique parce que c’est avant tout un sujet d’hommes et de femmes, de santé, de qualité de vie et de pouvoir d’achat.

> J’en appelle à la responsabilité : nous partageons le constat que la situation est grave, mais nous divergeons sur les solutions. Beaucoup de responsables politiques sont prêts à discuter. Parlons-en ensemble.

> La France a besoin de ses marins : sans ces hommes et ces femmes de la mer, qui pour assurer notre rôle de puissance maritime ? Au lycée maritime du Portel, près de Boulogne-sur-Mer, c’est aussi un peu de notre avenir stratégique qui se joue. 101 élèves font aujourd’hui leur rentrée pour se former aux métiers de la mer, et j’ai tenu à être à leurs côtés. La filière maritime est une filière d’avenir : rejoignez-la ! 12 lycées, 2 200 jeunes formés chaque année et plus de 400 000 emplois à la clé.

 

Aurore Bergé (ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations)
> Dans notre pays, on a besoin de dépenser mieux, parfois moins, pas de taxer plus.

> Pour que l'État soit crédible, il faut réinterroger nos propres dépenses, ce que nous avons fait.

> Les questions posées le 8 persisteront le 9, le 10, le 11…

> Cette Assemblée est celle que les Français ont choisie. Nous avons réussi ensemble à voter déjà un budget et nous en serions incapables demain ? Le compromis n'est pas un gros mot. C'est une nécessité.

> Ce n'est pas le temps des élections. Notre pays a besoin de clarté, de cohérence et de stabilité.

> [Deux jours fériés supprimés] Il y a presque unanimité contre cette mesure, il faut accepter qu'elle soit discutée.

> On a posé la question du train de vie de l’État. Avant de demander des efforts aux Français, il faut que l’État soit crédible.

> Une rentrée scolaire, c'est une promesse. Celle d'apprendre, de grandir, de s'éveiller, d'être protégé, d'être ensemble. À tous les enseignants, les AESH, les personnels, les parents et les élèves : belle rentrée !

 

Astrid Panosyan-Bouvet (ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, chargée du Travail et de l’Emploi)
> Bonne rentrée à tous ! Une pensée particulière pour les apprentis, les élèves des lycées professionnels et ceux en première ligne qui leur transmettront des savoir-faire tout au long de l’année.

> 65% de la sécurité sociale est financée par le travail, alors que les risques qu’elle couvre sont universels. Le sujet, c’est de réduire la charge qui pèse sur le travail qui touche tant les salariés que les employeurs.

> Nous sommes, je crois, le seul pays européen aujourd'hui qui cumule une fragilité financière et une vulnérabilité politique.

> Aujourd’hui, c’est 67 milliards d’euros qui partent en charges d’intérêt de la dette. Si on ne fait rien, en 2029, ce sera 100 milliards d’euros : plus que le budget de la Défense et de l’Education. Pour un ménage comme un État, ce n’est jamais bon d’être dans un cycle de surendettement.

 

Marc Ferracci (ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique, chargé de l’Industrie et de l’Energie)
> Nous avançons pour sécuriser nos approvisionnements en métaux critiques ! Aujourd’hui à Echassières (Allier), sur le site d’Imerys, j’ai annoncé les premiers résultats de notre stratégie nationale pour les métaux critiques.
41 nouveaux projets d’investissement soutenus par France 2030 et le crédit d’impôt industrie verte (C3IV) – dont 200 M€ pour le projet EMILI d’Imerys, première exploitation de lithium en France.
Grâce à ces projets, ce sont 5,4 Md€ d’investissements industriels, 3 800 emplois créés, une quinzaine d’usines nouvelles et près de 40 % du lithium nécessaire aux usines de batteries françaises qui seront produits en France.
La réforme du code minier, entrée en vigueur le 28 août, modernise nos règles pour concilier activité extractive, protection de l’environnement et concertation avec les territoires. Cette dynamique complète nos partenariats internationaux (Canada, Australie, Chili, Vietnam…) afin de sécuriser durablement les approvisionnements stratégiques de notre industrie. Une évidence s’impose : pas d’industrie sans ressources, pas de transition énergétique sans minerais.

> Relancer l’activité minière en France, c’est renouer avec une évidence : il n’y a pas d’industrie sans ressources, pas de transition énergétique sans minerais. Nos batteries, nos éoliennes, nos panneaux solaires, nos technologies numériques reposent toutes sur des matières premières stratégiques. Depuis deux ans, nous avons choisi une voie claire : reconstruire une filière minière nationale, innovante, responsable et souveraine. Une filière qui conjugue exigence environnementale, retombées territoriales et création d’emplois. Une filière qui place la France parmi les nations capables de sécuriser leurs approvisionnements, plutôt que de subir les décisions des autres. Les premiers résultats sont là : des projets concrets voient le jour, de nouvelles compétences se structurent, et nos territoires retrouvent une vocation industrielle que l’on croyait perdue. Chaque site relancé, chaque permis accordé, chaque partenariat noué est un pas de plus vers notre indépendance et notre prospérité.

> Bonne rentrée à toutes et à tous ! Une pensée particulière pour les parents qui, entre école et travail dans notre industrie, portent chaque jour la souveraineté et la prospérité de notre pays. Ensemble, c’est l’avenir de nos enfants que nous permettons. J’adresse aussi un message de bonne rentrée à toutes les familles vivant à l’étranger, notamment en Suisse, avec qui j’avais eu le plaisir d’échanger l’an dernier. À nos jeunes: gardez intacte votre soif d’apprendre et d’agir, votre voix pour vous exprimer et votre confiance en vos rêves. L’industrie n’attend que vous ! Enfin, une pensée pour celles et ceux qui subissent des situations difficiles, parfois marquées par le harcèlement scolaire. N’oubliez pas : vous n’êtes pas seuls, vos professeurs et les équipes éducatives sont là pour vous écouter et vous aider.

 

Patricia Mirallès (ministre déléguée auprès du ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants)
> À Lyon, le mémorial de la Shoah inauguré en janvier dernier pour rappeler la déportation de 6 100 Juifs de la région, a été dégradé par l’inscription « Free Palestine ». Profaner un lieu de mémoire consacré aux victimes de la Shoah, c’est insulter leur souvenir, c’est nier l’histoire, c’est raviver des blessures profondes. Ces gestes ne sont pas de simples « tags », ce sont des actes antisémites.
Une enquête a été ouverte et une plainte sera déposée dès lundi. Cet acte ne restera pas impuni. J’exprime toute ma solidarité aux rescapés, à leurs descendants, à la communauté juive et à tous ceux qui portent leur mémoire. La République se tient debout face à la haine. La mémoire des six millions de Juifs assassinés, dont un million et demi d’enfants, ne sera jamais effacée.

 

Juliette Méadel (ministre déléguée auprès du ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation chargée de la Ville)
> En cette fin de journée de rentrée, une pensée particulière pour les enfants des quartiers populaires. Votre énergie, vos rêves et vos talents sont notre avenir. L’école doit vous donner toutes les chances : c’est pourquoi nous devons renforcer l’accompagnement, pour que chaque élève, où qu’il grandisse, ait les mêmes opportunités de réussir. Bonne rentrée à toutes et à tous !

> Hier encore en Bourgogne et dans le Grand Est, les maires — y compris PS — me disaient : « On ne veut ni instabilité, ni dérive avec LFI. » Le PS de Léon Blum ne peut pas se laisser capturer par la France insoumise.

> Soyons à la hauteur ! Parlons sérieusement de la situation financière de la France. Le spectacle politique est affligeant : mettons l’intérêt des Français avant les calculs électoraux.

> Avec François Bayrou, le débat est toujours possible, même dans nos désaccords. Sur la contribution des plus hauts revenus, discutons-en : l’effort doit être équitable, sans que les classes moyennes paient davantage. C’est pourquoi je propose d’ouvrir le débat sur la contribution des ultra-riches ( plus de 250 millions d’euros de patrimoine) au paiement de l’impôt, de telle sorte que chacun contribue de manière équitable à l’effort national.

> Changer de casting ne changera pas la situation de la France. Il n’y a pas de majorité absolue à l’Assemblée nationale: les Français ont donné un mandat clair au gouvernement — travailler ensemble, se mettre d’accord sur un constat, même entre ceux qui ne pensent pas exactement la même chose.

> Être de gauche, c’est se battre pour le progrès social. Être au Gouvernement, c’est faire vivre nos convictions : égalité, solidarité, justice sociale. Je refuse de laisser le pays sombrer, ni sous le poids des extrêmes, ni sous celui de la dette. C’est pourquoi je propose d’ouvrir le débat sur la contribution des ultra-riches (plus de 250 millions d’euros de patrimoine) au paiement de l’impôt, de telle sorte que chacun contribue de manière équitable à l’effort national.

 

Laurent Saint-Martin (ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé du Commerce extérieur et des Français de l’étranger)
> C'est l'heure de la rentrée !
En ce 1er septembre, près de 385 000 élèves entament une nouvelle année scolaire dans les 600 établissements français à l’étranger, répartis dans 138 pays.
Ce réseau mondial, animé par l’AEFE - Agence pour l'enseignement français à l'étranger, constitue un atout majeur pour la France et une chance pour chaque élève qui en bénéficie : ouverture internationale, exigence académique, diversité culturelle.
L’État accompagne ce réseau à travers : un financement structurant, des bourses scolaires pour plus de 20 000 élèves français, l’accueil et l’accompagnement des enfants à besoins éducatifs particuliers, la mobilisation et la formation des enseignants, en France comme à l’étranger.
À toutes et à tous – élèves, enseignants, familles – je souhaite une excellente rentrée. Ce réseau est votre maison, où que vous soyez dans le monde, et il est aussi une fierté pour notre pays.

 

Autres ministres
Gérald Darmanin (ministre d’Etat, Garde des sceaux, ministre de la Justice)
> La France est un immense pays avec un immense peuple. Nous sommes capables de relever tous les défis.

> Le 2 septembre 1941, le magistrat Paul Didier refusa de prêter serment au maréchal Pétain au prix de sa liberté. Il sauva l’honneur. 84 ans plus tard, son courage force toujours l’admiration.

> Au travailler plus, je préfère le travailler tous.

> Nous l’avons tant entendu : impossible de faire baisser le chômage, impossible d’organiser des Jeux olympiques, impossible de faire l’impôt à la source, impossible de faire des prisons de haute sécurité… Quand nous œuvrons à l’intérêt général, impossible n’est pas Français !

> Nous devons répartir les efforts autant que la richesse.

> La stabilité de notre gouvernement, de nos institutions, c'est la plus grande garantie que nous n'empruntions pas trop cher et que nous puissions faire des réformes.

> Lundi prochain [8 septembre] se jouent en partie les institutions du général de Gaulle.

> Le président de la République a tout donné et donne tout, encore aujourd'hui, avec les élus locaux et les chefs d'entreprises pour faire baisser le chômage.

 

Catherine Vautrin (ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles)
> En cette journée de rentrée, j’étais à la rencontre des professionnels de la petite enfance dans la crèche municipale Les Petites Frimousses de Fontenay-le-Fleury. Cet établissement bénéficie du label crèche à vocation d’insertion professionnelle (AVIP), il permet à 8 enfants (soit 40% de la capacité totale) de bénéficier d’une place en crèche et de fournir un accompagnement à leurs parents dans leur recherche d’emploi. La parentalité ne doit plus être un frein à l’emploi pour ceux qui n’ont pas les moyens de trouver une place en crèche pour leurs enfants.

 

Sébastien Lecornu (ministre des Armées)
> L’armée de Terre se transforme. Au 1er Spahis de Valence pour une démonstration des capacités de la 6e brigade légère blindée.
Exemplaire : par son intégration des nouveaux véhicules de pointe de la gamme Scorpion, par la dronisation amorcée sur la base du retour d’expérience ukrainien, et par l’ingéniosité de nos militaires à développer eux-mêmes des solutions innovantes.
Exemplaire aussi, par la forte complémentarité entre militaires d’active et de réserve : au sein du 1er Spahis, un ratio d’un militaire réserviste pour deux d’active.
Ce mouvement, entamé grâce aux investissements prévus en loi de programmation militaire, doit se poursuivre, et s’amplifier.

> Le Président de la République l’a rappelé dans son discours du 13 juillet : l’effort de défense entamé depuis 2017 produit ses effets, mais nous devons accélérer encore, face à l’accroissement des menaces. La loi de programmation militaire 2024-2030 posait les bons constats, sur la base des besoins opérationnels exprimés par nos armées. Il nous faut désormais l’actualiser, pour prendre en compte les dernières évolutions d’un contexte stratégique durci.
Malgré le retard pris en début d’année lié aux conséquences de la censure, les commandes sont bien là. Depuis début 2025, ce sont 11,2 milliards d’euros de commandes qui ont été passées : un record à cette période de l’année.
Notre modèle d’industrie de défense hérité du Gaullisme, souverain et autonome, nous permet d’assurer que les investissements consentis pour réparer les capacités de nos armées irriguent directement l’économie française et nos territoires.
Sur le site Airbus de Marignane, à la rencontre des équipes qui produisent le Caracal, le NH90 Caïman et le futur hélicoptère interarmées léger, le Guépard. Troisième plus grand site industriel de France, premier employeur de la région Sud. Avec 400 machines actuellement en parc dans nos armées, plus de 150 hélicoptères seront commandés ou livrés sur la durée de la LPM 2024-2030.

> Au petit matin du 31 août 1870, marsouins et bigors de la Division bleue se lancent à l’assaut de Bazeilles, dans les Ardennes. Ils ne savent pas encore qu’ils se battront ce jour-là jusqu’à « l’extrême limite du devoir », pour rester maîtres de leur destin. À Fréjus, pour commémorer l’esprit de Bazeilles qui anime toujours nos Troupes de marine, 155 ans plus tard, partout où elles sont déployées, sur tous les continents et sur le territoire national, en particulier en outre-mer. Toujours aux avant-postes de l’action de la France dans le monde. Toujours « en avant!

 

Yannick Neuder (ministre délégué auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, chargé de la Santé et de l’Accès aux soins)
> L’accès aux soins ne doit plus dépendre du code postal ! Nous l’avons dit, nous le faisons : dans 151 intercommunalités en France, des médecins volontaires issus de territoires mieux dotés vont exercer 2 jours par mois avec un engagement valorisé. C’est une dynamique collective inédite !

> Notre philosophie est claire: partager l’effort plutôt que l’imposer. En demandant à un grand nombre de médecins de s’engager deux jours par mois, nous créons une dynamique collective inédite. C’est un engagement pris dans le pacte de lutte contre les déserts médicaux.

 

Charlotte Parmentier-Lecocq (ministre déléguée auprès de la ministre du Travail, de la Santé, de la Solidarité et des Familles, chargée de l’Autonomie et du Handicap)
> Avec Élisabeth Borne, nous poursuivons notre engagement à déployer des dispositifs d’inclusion et une école pour tous.
Depuis 2017, le nombre d’élèves en situation de handicap scolarisés a de nouveau considérablement augmenté, et ils seront 520 600 à faire leur rentrée, avec plus de 355 000 bénéficiaires d’un accompagnement humain. Le nombre d’AESH a progressé de 67 %, et nous déployons avec conviction 479 Pôles d’Appui à la Scolarité (PAS), dont 379 nouveaux cette année.
Mais le travail continue : tant qu’il restera des obstacles pour les familles, je poursuivrai avec détermination ce travail.

> J’ai découvert le pôle éducatif Gisèle Halimi.
Un lieu qui rassemble tous les acteurs de l’éducation et de la santé pour accompagner l’enfant, de la petite enfance jusqu’au collège. Grâce au partenariat entre la Ville de Valenciennes, les services de la Protection Maternelle Infantile et le Centre Hospitalier de Valenciennes, ce pôle met l’accent sur la prévention précoce et sur l’appui à la parentalité.

 

Véronique Louwagie (ministre déléguée auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargée du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises et de l’Economie sociale et solidaire)
> Soutenir notre commerce textile, combattre l’ultra fast-fashion. Fragilisé après des années de crises, le commerce textile français 🇫🇷 doit être accompagné pour protéger l’emploi, la consommation et nos savoir-faire. Mais une chose est certaine : nous ne laisserons pas l’ultra fast-fashion déstabiliser nos entreprises.

> La sanction récente infligée à Shein le démontre: nous ne laisserons rien passer. Mais la bataille est aussi européenne. Avec détermination, je défends l’adoption de mesures fortes, comme le déférencement des plateformes qui bafouent nos règles et fragilisent nos filières.

> Protéger nos commerçants, c’est assurer une concurrence loyale, préserver nos emplois et encourager une consommation plus responsable.

 

Benjamin Haddad (ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé de l’Europe)
> Arrêter de payer notre part à l’UE affaiblirait et isolerait la France. Que dirait Madame Le Pen à nos agriculteurs, nos régions et nos entreprises, nos étudiants qui en paieraient le prix fort ?

 

► Assemblée nationale 
Yaël Braun-Pivet (présidente) 
> Bonne rentrée ! L’école, c’est le lieu où se transmettent le savoir, l’émancipation et les valeurs de notre République. Je souhaite à chaque élève, enseignant et parent une année riche d’apprentissages et de réussites.

> Après le 8, il faudra un budget pour la France, qui sera nécessairement un budget d'économies.

> Si l’Assemblée nationale ne donne pas sa confiance au Premier ministre, il faudra se poser la question du « quoi » :
- Quel budget pour notre pays, dans un esprit de compromis ?
- Quelle stabilité pour la France jusquen 2027?
Avant de décider du qui, il faut trancher le quoi. Cest lintérêt de la Nation.

> Je crois en la force du dialogue. Il aurait sans doute fallu, dès cet été, échanger davantage avec les oppositions. Mais cette semaine sera décisive : le Premier ministre a ouvert les portes de Matignon, ouvrons celles du dialogue.

> Supprimer deux jours fériés n’est pas la bonne solution. Les Français font des efforts, ils doivent voir qu’ils sont partagés. Nous avons besoin de justice sociale. Cela suppose d’agir selon moi sur la fiscalité des plus hauts patrimoines et sur leur transmission. (…)
Je suis plus favorable à faire des bougés sur les fiscalités des hauts patrimoines, engager des travaux sur la question de transmission de patrimoine.
Il faut de la justice fiscale, il faut de la justice sociale.
Il ne doit pas y avoir de tabou. Les Français sont prêts à faire des efforts, mais il faut que cela serve à quelque chose. Il n'y a pas de raison que ces efforts ne portent pas aussi sur les hauts revenus et les hauts patrimoines.

> Les Français en ont marre des fraudeurs, mais ils en surtout marre des profiteurs. Et des profiteurs, il y en a partout, dans toutes les classes sociales.

 

► Partis politiques 
● Renaissance 
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent à droite ou à gauche ne sont plus retranscrits]
Gabriel Attal (député, secrétaire général de Renaissance, président du groupe Ensemble pour la république à l’Assemblée nationale)
> Si nous devons être la multiprise de la vie politique française, nous le serons, afin d’être capables de brancher un certain nombre de forces politiques les unes avec les autres.

> Je ne veux pas que notre génération soit celle qui voit l'Europe devenir une colonie américaine ou chinoise. Bâtissons tous ensemble des solutions pour le pays. On a vu en France, il y a des Français qui ont pensé à Viadeo, au moment où LinkedIn est né aux États-Unis. On a vu en France qu'il y a des Français qui ont pensé à chauffeur privé à peu près au même moment qu’Uber. Pourquoi est-ce qu'ils ont pas pu en faire tous des géants? Parce qu'on manque de capitaux en France et en Europe. Et donc la solution, ce n'est pas moins d'Europe. La solution, c'est d'abord une réunion des marchés de capitaux en Europe, ce qui est urgent.
La solution ce n'est pas la retraite à 60 ans. La solution c'est enfin assumer le débat de la capitalisation dans nos retraites pour avoir des fonds d'épargne disponibles, pour investir dans l'innovation, pour nos entreprises, pour innover, pour créer les géants de l'intelligence artificielle demain. Et on peut avoir des géants qui naissent en France, qui tireront aussi notre économie, qui nous feront gagner en productivité. Permettront aussi aux salaires d'augmenter.
On n'y arrivera pas en imposant à l'Europe des boulets qui l'empêchent de faire circuler les capitaux et les banques privées d’investir pour nos entreprises. Donc on voit que sur les objectifs, sur le constat, le diagnostic, on peut avoir des consensus et c'est important si on veut pouvoir avancer.

 

Sylvain Maillard (député) 
> Nous ne voulons pas d’augmentation d’impôts. Nous sommes déjà le pays le plus fiscalisé. Nous proposons des gels de dépenses et des réformes structurelles comme l’assurance chômage.

> Au-delà du vote de confiance le 8 septembre prochain, nous devons trouver un accord pour construire le budget 2026 avant le 31 décembre. Notre priorité : protéger les Français !

> Il faut un budget crédible à la France. À chacun de prendre ses responsabilités, pour le Parti socialiste comme pour tous les autres partis de gouvernement.

> Cette semaine doit être consacrée à parler réformes structurelles et des économies à réaliser. Et dès le 9 septembre, il nous faudra construire un budget pour 2026. Un budget pour les Français de protection et de projection.

 

Prisca Thevenot (députée)
> Nous avons un seul cap : construire des solutions pour aujourd’hui sans tomber dans les discours de fatalité.

 

David Amiel (député)
> Quoiqu’il se passe le 8 septembre, l’Assemblée nationale devra trouver un accord sur le budget. Chaque jour de posture supplémentaire, pour flatter sa boutique électorale, est un jour de perdu pour le pays.

 

Anne Genetet (députée)
> Bonne rentrée à tous ! Reconnaissance aux enseignants et à tous ceux qui font vivre l’École, notre bien commun. Elle doit être protégée, réhumanisée, hissée à la hauteur de ses promesses. Je souhaite à chaque élève une année d’apprentissage, d’émancipation et de réussite.

 

Mathieu Lefèvre (député)
> Bonne rentrée à toutes et à tous !
Aux élèves, aux parents, aux professeurs qui font un travail formidable et aux personnels administratifs et éducatifs.
L’école est la mère des batailles et des espoirs.
L’autorité du maître et la culture de l’excellence doivent en redevenir les maitres-mots.

 

Brigitte Liso (députée)
> C’est la rentrée ! Je souhaite à tous, et en particulier aux écoliers, collégiens et lycéens de la 4ème circonscription, une année pleine de réussite. Comme l’a rappelé Elisabeth Borne, l’école doit rester notre priorité : elle est le ciment de notre société.
- Repérer et accompagner les élèves en difficulté
- Prendre soin de la santé mentale de tous
- Lutter contre les violences à l’école
- Favoriser l’activité physique
- Protéger et soutenir le personnel
- Actualiser les programmes et élever le niveau d’exigence des diplômes
- Mieux préparer l’orientation
- Former aux usages sécurisés de l’intelligence artificielle
Voici notre feuille de route pour les prochains mois. Je sais pouvoir compter sur l’engagement de toute la communauté éducative pour avancer ensemble.

 

● MoDem 
Maud Gatel (secrétaire générale)
> Aux écoliers, à leurs parents, aux professeurs et aux agents, une excellente rentrée ! « L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde ». Nelson Mandela.

 

Marc Fesneau (député, président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale)
> Non, la dissolution n'est pas inéluctable. Ce qu’il faut d’abord conjurer, c’est l'irresponsabilité collective.

> On ne peut pas en permanence remettre en cause le suffrage universel. C'est une fuite en avant ! Le président de la République a été élu pour 5 ans !

> Oui, le vote de confiance est utile. Ce n’est pas une autodissolution. Il y a un chemin.

> Les adversaires de la stabilité, ceux qui veulent dissoudre pour servir leur agenda n'ont aucun intérêt à le reconnaître. Pourtant, il faut le dire : le budget 2025 a réduit le déficit de 6,3% à 5,4%. Donc c'est possible. Et c’est cela l’enjeu, y compris pour les oppositions.

> [Proposition de Budget du PS] Ce n’est pas un contre-budget, c’est un déficit augmenté. » La trajectoire du PS est une impasse : toujours plus d’impôts pour combler le déficit. La première année, il vous faut 30 milliards, puis 40, 50 et ainsi de suite, sans fin. À la fin, c’est le pays qu'on appauvrit.

 

Frédéric Petit (député)
> Nous demandons au Gvt français de rejoindre formellement la coalition Sky Shield en engageant des moyens aériens et logistiques pour protéger le ciel ukrainien et sauver des vies civiles.

 

► Autres 
● Organisations centristes 
♦ Renew Europe
(Députés français du groupe centriste au Parlement européen) 
Fabienne Keller (députée)
> La Russie attaque l’avion de la présidente de la Commission Européenne en désactivant la navigation GPS au moment de son atterrissage en Bulgarie. Qui peut encore croire que Poutine cherche la paix ? Il est urgent pour l’Europe de réagir et de s’armer contre les menaces russes.

 

Nathalie Loiseau (députée)
> L’avion d’Ursula von der Leyen a fait l’objet d’un brouillage malveillant au moment d’atterrir en Bulgarie. Après le bombardement du bâtiment de l’UE à Kiev, l’Europe va-t-elle seulement condamner ou prendre des mesures?

 

Laurence Farreng (députée)
> François Bayrou défend la contribution de la France au budget de l’Union européenne avec 2 chiffres sans appel : la France contribue à hauteur de 27 Mds€ et reçoit 31,5 Mds€ (PAC, fonds régionaux…) sans parler des apports du marché intérieur sans barrières douanières pour nos entreprises.

 

● Personnalités centristes
Clément Beaune (haut-commissaire au Plan)
> C'est le moment où les forces politiques responsables doivent se réveiller. C'est le moment des gens responsables. Plus il y a de confusion et de caricature, plus les Français voudront de la modération. 

 

Sarah El Hairy (haut-commissaire à l’Enfance)
> Le lien école-famille est essentiel : c’est la clé pour offrir à chaque enfant des premières années de scolarité réussies !

> Protéger nos enfants est une priorité. Les plateformes doivent respecter la loi et nous y veillons.

 

 


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