mardi 15 février 2022

L’Humeur du centriste. Romance entre Donald et Eric: Marine encore trahie!

Après sa nièce Marion et quelques autres fascistes français bon teint, c'est au tour de Donald Trump de trahir Marine Le Pen.

En janvier 2017, juste après l’élection du Donald, la Marine, en bonne groupie, s’était envolée fissa pour New York afin de pouvoir rencontrer celui qu’elle admirait tant et qu’elle voulait surtout imiter quelques mois plus tard en France.

Pas de chance, Marine dut faire antichambre dans le restaurant de la tour dudit Donald, paya l'addition et s’en retourna fort marrie en France sans avoir pu rencontrer son idole qui ne la calcula guère.

L’histoire ne dit pas si elle déchira le poster de Donald qu’elle avait dans sa chambre au-dessus de son lit, juste à côté de celui de Vladimir qui, lui au moins, ne la snobait pas.

Eric Zemmour, lui, n’a pas eu cette déception.

Il a téléphoné au Donald et, à son grand bonheur, celui-ci lui a répondu et lui a même fait une déclaration d’amour, l’encourageant à aller jusqu’au bout et à rester lui-même face aux méchants journalistes.

Et puis, c’est vrai, Eric, lui, il a le même nom qu’un des rejetons de Donald.

Ah! si Marine avait pu s’appeler Ivanka mais elle aurait du alors se reconduire elle-même à la frontière…

Tout heureux le Eric qui, lui aussi, voue une admiration sans borne au populiste extrémiste qui sait si bien manier les insultes et raconter n’importe quoi tout en profitant du pouvoir pour placer ses amis comme aimerait tellement pouvoir l’imiter son clone français qui a déjà prévu de nommer la «journaliste» qui lui servait la soupe sur Cnews, Christine Kelly, dans un grand ministère de la famille.

Oh, bien sûr, le Donald a fomenté un coup d’Etat et déteste la démocratie ce qui pourrait l’envoyer derrière les barreaux et faire mauvais genre de partager une idylle avec lui.

Mais Eric est un grand romantique de tous ceux qui s’attaquent aux libertés et il n’est pas impossible qu’il se rende en personne au parloir de la prison pour manifester sa sympathie à son maître es-haine.

Et si, par malheur, il occupe l’Elysée, ne doutons pas qu’il déclare la date de l’incarcération du Donald comme jour férié et, pourquoi pas, fête nationale!

Il pourrait même lui offrir un asile politique à sa sortie et le prendre comme conseiller à la malfaisance.

Encore plus fou, pourquoi pas organiser un défilé spécial 14 juillet lors de son arrivée, lui qui avait tellement aimé voir les militaires parader sur les Champs Elysées quelques années plus tôt.

Et Eric d’arborer un de ses sourires les plus carnassiers.

Et Marine de pleurer toutes les larmes de son corps.

 

Centristement votre.

Le Centriste

 

 

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