Voici une sélection, ce 30 janvier 2025, des propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France à propos de la nomination du gouvernement puis de la démission du premier ministre.
► Emmanuel Macron (Président de la
République)
> Avec plusieurs autres dirigeants européens, j'ai participé à un échange
avec les présidents Zelensky et Trump. Je me suis ensuite entretenu avec le président Zelensky.
Nous progressons sur les garanties de sécurité qui seront centrales pour
construire une paix juste et durable. Nous réunirons les pays de la Coalition
des volontaires à Paris début janvier pour finaliser les contributions
concrètes de chacun.
► Sébastien Lecornu (Premier ministre)
[Nota: Nous faisons figurer Sébastien Lecornu dans
cette liste alors qu’il n’est pas centriste mais appartient à l’aile droite de
Renaissance, parti centriste/central et qu’il s’est toujours défini comme un
homme de droite; c’est à ce titre que ses propos sont retranscrits ici et du
fait qu’il a composé un gouvernement d’axe central.]
> Simplifier, accélérer, faire confiance. Comme je m’y étais engagé au
Congrès des Maires de France, le décret relevant les seuils de dispense de
publicité et de mise en concurrence des marchés publics vient d’être publié : -
60 000 € HT pour les marchés de fournitures et de services - 100 000 € HT pour
les marchés de travaux Un levier concret pour faciliter l’action des acheteurs
publics, soutenir l’activité économique et les entreprises locales.
► Gouvernement
● Ministres centristes/centraux
Laurent Nunez (ministre de l’Intérieur)
> [Crise agricole] Le mouvement
a été géré avec énormément de souplesse. (…) [Des policiers] sont intervenus pour empêcher un déversement
de fumiers sur La Dépêche du Midi et se
sentant menacés, ils ont sorti leur arme quelques secondes seulement. L'IGPN ne
sera pas saisie.
> Réveillon de la nouvelle année] Des consignes de fermeté et d'autorité ont été données aux préfets. (…) Beaucoup de gens sortent dans la rue pour fêter le passage à la nouvelle année. Il faut sécuriser toutes ces personnes. Et puis il y a les traditionnelles violences urbaines de fin d'année avec un dispositif vise à les prévenir.
> Il faudra qu'on renforce la législation sur le protoxyde d'azote, sa commercialisation, son usage, son port, son transport. Il y a toute une batterie de mesures législatives qui sont préparées aujourd'hui, il y a une proposition de loi que le gouvernement va probablement soutenir pour durcir les sanctions contre le protoxyde d'azote.
> [Lutte contre le narcotrafic et la consommation de drogues] On va continuer, avec la nouvelle loi de juin 2025 qui a donné de nouvelles prérogatives aux préfets, poursuit-il. Il y a aussi un problème de consommateurs. D'où les annonces du président de la République de durcir les mesures contre les consommateurs.
> [Parlement algérien qualifiant la colonisation française de crime d'État et demandant des réparations] c'est un frein, évidemment, aux discussions qui étaient en cours. Mais elles se poursuivent à un niveau technique.
> Total soutien aux 7 gendarmes agressés lors de la poursuite effectuée suite à un refus d’obtempérer à Saint-Pol-de-Léon dans la nuit du 27 et 28 décembre. 5 d’entre eux ont été blessés et leurs véhicules violemment percutés. 4 individus ont été interpellés, dont un multirécidiviste sous mandat d’arrêt. 3 d’entre eux sont placés en détention provisoire. Face à ces faits graves, la ligne est claire : ne rien laisser passer. Fermeté absolue.
Jean-Noël Barrot (ministre de l’Europe et
des Affaires étrangères)
> Alors que l'Ukraine passe un quatrième Noël sous les bombes russes, nos
diplomates et leurs collègues allemands et britanniques font retentir dans le
métro de Kyiv le chant de Mykola Leontovitch, dissident ukrainien assassiné par
le régime soviétique. La paix, vite !
Stéphanie Rist (ministre de la Santé, des
Familles, de l’Autonomie et des Personnes handicapées)
> Former les pharmaciens de demain, au plus près des besoins des patients et
des territoires Attendue depuis 2017 et à de nombreuses reprises, repoussée,
j’ai engagé la finalisation de la réforme du troisième cycle des études de
pharmacie, pour les filières officine et industrie. À partir de la rentrée
2026, la 6e année d’études évoluera vers de nouveaux diplômes d’études
spécialisées (DES) d’un an, plus professionnalisants, construits avec les
universités et les acteurs de la profession.
Concrètement :
- des stages longs en officine, dans des structures différentes,
- une formation fondée sur les compétences et la pratique,
- un rôle renforcé des ARS et de commissions locales au sein des facultés pour
garantir un bon maillage territorial.
J’ai également tenu à définitivement acter l’évolution attendue des conditions
d’accueil et gratification des étudiants : la gratification des stages en
officine sera revalorisée, presque doublée jusqu’à 12 450 € nets par an, avec
des droits renforcés et un soutien au transport pour accompagner la mobilité
dans les territoires.
Cette réforme, c’est un investissement pour :
- l’attractivité de la profession,
- la reconnaissance du rôle essentiel des pharmaciens,
- éviter les déserts pharmaceutiques,
- l’accès aux soins partout en France.
Les pharmaciens sont des acteurs clés de notre système de santé. Leur formation
doit être à la hauteur de cet engagement partout dans nos territoires.
> Certification périodique des professionnels de santé Le décret est publié. Un cadre clair et progressif, très attendu par les professionnels, construit notamment avec les ordres, pour accompagner les carrières et renforcer la qualité des soins. Un engagement au service de la confiance des patients.
Aurore Bergé (ministre déléguée auprès du
Premier ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la
Lutte contre les discriminations)
Marie-Pierre Vedrenne (ministre déléguée
auprès du ministre de l’Intérieur)
> Le permis de conduire, c'est le premier examen de France. Il doit être
synonyme de liberté et de sécurité. À l'heure actuelle, c'était trop synonyme
de vie.
Catherine Chabaud (ministre délégué
auprès de la ministre de la Transition écologique, de
la Biodiversité et des Négociations internationales sur le
climat et la nature chargée de la Mer et de la Pêche)
Mathieu Lefevre (ministre délégué auprès
de la ministre de la Transition écologique, de la Biodiversité et des
Négociations internationales sur le climat et la nature chargé de la
Transition écologique)
> Face à l’intensification des risques naturels, nous devons agir plus vite.
Le décret publié le 27 décembre simplifie l’actualisation des plans de
prévention des risques pour mieux protéger les populations et aider les
territoires à s’adapter.
Eléonore Caroit (ministre délégué
auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères chargée de la
Francophonie, des Partenariats internationaux et des Français de l’étranger)
> [Décès de Brigitte Bardot] Ce qui est particulièrement frappant, c’est la
couverture médiatique internationale de son décès. Partout, on reconnaît cette
icône du cinéma français, cette actrice qui a contribué à faire rayonner notre
cinéma bien au-delà de nos frontières, en portant un cinéma en langue
française. Elle a également incarné une femme engagée, notamment pour la cause
animale, dans laquelle elle s’est fortement investie. Brigitte Bardot est
indéniablement une figure de la francophonie, une personnalité qui a participé au
rayonnement de notre langue et de notre culture à travers le monde. (…)
Lorsqu’une personnalité disparaît, on examine l’ensemble de son parcours, avec
ses aspects positifs comme ses zones d’ombre. À l’étranger, en revanche, c’est
avant tout l’image de l’actrice qui demeure, notamment celle des années 1960 et
1970. Je pense par exemple à Rio de Janeiro, sur la plage emblématique de
Búzios, souvent comparée à Saint-Tropez : une statue de Brigitte Bardot y est
érigée et des hommages lui sont rendus. On retient donc davantage la star de
cinéma que la trajectoire personnelle de la femme, qui, comme vous l’avez
souligné, présente certaines aspérités. (…)
Je pense qu’il est important de lui rendre hommage comme nous le faisons
aujourd’hui, en rappelant ce qu’elle a été, sans occulter aucune des facettes
de sa personnalité. En tant que ministre déléguée chargée de la francophonie,
il me semble essentiel de souligner combien elle a contribué à la promotion de
notre langue. S’agissant plus spécifiquement d’un hommage national, on perçoit
parfois une volonté de nourrir des polémiques. L’essentiel, à mes yeux, est de
rappeler son parcours, d’exprimer ce que l’on ressent, et surtout de considérer
la manière dont elle est perçue à l’étranger. (…)
De très nombreux artistes, pourtant immensément connus et célébrés, n’ont pas
bénéficié d’un hommage national. Il existe des critères précis et ces décisions
relèvent ensuite du président de la République, qui jugera de l’opportunité
d’un tel hommage. Mais, dans un moment comme celui-ci, en pensant aux familles,
aux admirateurs et à tous ceux qui ont aimé Brigitte Bardot, il me semble
important de considérer la personne dans sa globalité. À travers le prisme de
la francophonie, de la diffusion de la culture et de la langue françaises,
ainsi que de son engagement pour la cause animale, on peut aujourd’hui lui
rendre hommage avec justesse.
> [Burkina Faso, Mali, Niger] Ces trois pays marqués par une forte instabilité politique et par l’arrivée de juntes militaires, ce qui a profondément modifié nos relations avec eux. Mais il ne faut pas oublier qu’il existe 54 pays sur le continent africain. Plus largement, s’agissant de l’influence française, je peux en témoigner pour avoir été députée des Français d’Amérique latine et des Caraïbes : cette influence demeure bien réelle. Il existe une véritable appétence pour la langue française. Aujourd’hui, nous comptons environ 320 millions de locuteurs francophones et nous savons qu’ils seront près de 700 millions en 2050. La langue française est en croissance, et avec elle, son influence. C’est une langue qui n’appartient pas uniquement à la France, mais à l’ensemble de ses locuteurs. Enfin, l’influence de notre pays se maintient aussi grâce à son engagement en faveur du développement solidaire.
● Autres ministres
Naïma Moutchou (ministre des Outre-mer)
> Cette nuit, le préfet de Mayotte a été pris pour cible à son domicile. Je
le connais. Je sais ce qu’il met au service de ce territoire depuis près de 2
ans, avec exigence et sens du devoir. S’en prendre à lui, comme à tout préfet,
c’est franchir une ligne rouge en attaquant la République elle-même. Je
condamne ces faits avec la plus grande fermeté et apporte à François-Xavier
Bieuville tout mon soutien, ainsi qu’à ses équipes.
Philippe Baptiste (ministre de
l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Espace)
> Réforme des études de pharmacie (rentrée 2026). La 6ᵉ année
officine/industrie devient un DES d’un an : compétences, immersion renforcée,
ancrage territorial. Officine : 2×6 mois en officines différentes +
enseignements ciblés. Gratification doublée (≈ 12 450 € nets/an), indemnité
transport, droits renforcés. ARS & commissions locales régulent les
terrains pour lutter contre les déserts pharmaceutiques. Entrée en vigueur à la
rentrée 2026.
Nicolas Forissier (ministre délégué
auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères chargé du
Commerce extérieur et de l'Attractivité)
> [Commerce avec la Chine] Il y a une façon de travailler avec les Chinois
qui se fait par étapes. On a bien vu par exemple sur le cognac et l’armagnac,
même si le résultat obtenu n’est pas satisfaisant et n’est pas ce que nous
souhaitions au départ, nous avons quand même une réduction de plus de moitié du
coût pour l’entreprise. Ce n’est d’ailleurs pas par le biais du droit de
douane, mais par une augmentation forcée du prix d’entrée sur le marché. Après
des étapes de discussion, les Chinois ont évolué, j’espère bien qu’ils le feront
sur la crème. En tout cas, nous considérons que cette décision est unilatérale,
qu’elle ne repose absolument sur rien de vérifié et de tangible. Il n’y a pas
de favoritisme ou de subventions excessives de la part de l’Union européenne
sur le lait et notamment la crème, puisque comme cela a été dit avant moi,
effectivement, c’est d’abord le poste de la crème de lait et le lait enrichi
qui va souffrir. En gros, on est autour de 150 millions d’euros. Il faut aussi
relativiser parce que la filière laitière, et c’est une chance, est très
diversifiée. La France est un des principaux exportateurs de lait, de fromage,
de produits laitiers. Et nous avons des exportations qui sont assez
diversifiées, que l’on continue d’ailleurs d’essayer de diversifier dans les
différents accords commerciaux. Mais sur le cas du marché chinois, on était au
courant. Je ne pense pas que ce soit imputable, comme je l’ai entendu, à la
visite du président Macron.
On est, en fait, en réalité, dans une discussion au long terme. J’étais en
Chine au mois d’octobre et déjà nous avions cette discussion. On avait déjà
aussi une discussion sur la viande de porc et les abats. Je vous ferais
remarquer que la semaine dernière, la Chine a annoncé des mesures qui, par
contre, sur la viande de porc, sont beaucoup plus rassurantes et ne vont pas
constituer des taux de droits de douane excessifs. Donc vous voyez que c’est
tout un travail, mais moi je fais remarquer simplement une chose, cela a
d’ailleurs été dit avant moi, c’est qu’à partir du moment où on veut protéger
l’industrie française, éviter l’envahissement de la puissance économique
chinoise qui subventionne très largement ces secteurs industriels, qui, au
fond, elle aussi, est en train d’essayer de prendre en main, si je puis dire,
le marché européen. Si on veut le défendre, ce marché européen, si on veut
défendre nos emplois, il faut aussi que l’on soit moins naïfs. On a
suffisamment demandé à l’Union européenne, et notamment à la France, de ne plus
être naïve, d’être ferme. C’est ce que la France fait, et elle est très motrice
de ce point de vue-là au sein de l’Union européenne, et c’est comme cela que
nous avons pris un certain nombre de mesures qui, effectivement, provoquent des
réactions des Chinois. Je le rappelle, les véhicules électriques, mais très
récemment encore, des mesures de protection sur l’acier, pour faire face au
fait que les Chinois ont beaucoup trop de capacités, qu’ils n’utilisent pas
chez eux et essaient de vendre partout. Donc il faut être réalistes.
> Le commerce international, il est en train de vivre une espèce de mouvement de plaque tectonique, de frottement qui peut être douloureux. Et il faut, encore une fois, que l’Union européenne renforce ses positions, soit beaucoup plus unie, renforce son marché de capital, fasse un énorme effort de réindustrialisation, se concentre sur l’innovation pour peser. Il y a beaucoup de gens qui commencent à comprendre que nous sommes, au fond, dans cette guerre, plein d’atouts, qu’il faut arrêter de se désoler. Mais quand vous avez des pressions excessives, quand vous avez des gens qui utilisent, au fond, un langage qui est celui du rapport de force, il ne faut pas s’affaiblir. C’est ce que fait actuellement la France et l’Union européenne. Alors cela peut être douloureux à vivre sur un cas très précis comme la filière lait et notamment la crème, mais cela va concerner en réalité quelques entreprises, comme cela a été dit avant nous, notamment des grands groupes et un en particulier. Il va falloir évidemment accompagner, nous allons nous battre jusqu’au bout pour faire en sorte, et c’est un peu ma mission aussi, que nous puissions obtenir une mesure satisfaisante et une transaction avec les Chinois. Mais nous sommes dans cette guerre-là. Effectivement, il ne faut pas être naïfs. Nous ne sommes pas seuls au monde. Et cela veut dire que la France et l’Union européenne d’une façon générale, doivent faire des efforts sur eux-mêmes considérables, se mobiliser, être beaucoup plus unis pour résister. Mais moi, je ne suis pas du tout pessimiste. Je pense que nous avons des tas de raisons de réussir.
> [Augmentation des droits de douane chinois sur les produits laitiers] On est dans une discussion et une négociation qui est celle conduite par l’Union européenne puisque c’est la compétence de l’Union européenne, mais évidemment comme la France est un des grands producteurs et exportateurs de lait et de produits laitiers, on est évidemment à la manœuvre et on pousse tout ce que l’on peut. L’objectif, c’est d’amener les Chinois à la raison et d’accompagner dans le même temps les entreprises. Il est trop tôt pour vous dire ce que sera la décision définitive des Chinois qui devraient intervenir en février. Mais dans l’intervalle, on va continuer à discuter, à négocier, à faire entendre raison et à accompagner les entreprises de la filière qui, entre parenthèses, ont fait un énorme travail, je tiens à les saluer, de transparence, d’explication à l’égard des Chinois. Mais c’est une réalité, moi, je n’ai pas de baguette magique. C’est un combat. Et mon maître mot en matière de commerce extérieur, surtout dans la situation très difficile que nous connaissons dans le commerce mondial, je le disais, les plaques tectoniques, et cela touche tous les secteurs, eh bien, mon maître mot, c’est l’opiniâtreté. Il faut se battre jusqu’au bout sur la base d’une Europe qui, effectivement, accompagne les entreprises en question, et notamment, si on n’a pas le résultat que l’on souhaite, il faudra trouver une solution d’accompagnement. Mais il faut aussi, je le dis, continuer à diversifier nos débouchés. Moi, j’entends parfois certains discours sur le Mercosur. Je suis le premier, étant depuis toujours l’élu d’une région d’élevage bovin, à dire attention, il y a danger, il faut que l’on protège nos éleveurs, par exemple. Mais parallèlement, la filière lait et fromage, elle a tout à gagner à l’accord du Mercosur. Personne ne le dit. Moi, je le dis. Parce qu’il y a aussi un certain nombre de vérités à rappeler. Diversifier nos débouchés par le biais d’accords commerciaux qui nous permettent de ne plus être ultra-dépendants, pour certaines filières ou segments de filières, comme c’est le cas actuellement sur la Chine, de mouvements de tension, de prises d’otages entre guillemets, commerciales.
► Partis politiques
● Renaissance
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne
sont pas centristes et se considèrent à droite ou à gauche ne sont plus
retranscrits]
Sylvain Maillard (député)
> En 2019, j’ai fait voter à l’Assemblée nationale : Sale sioniste = Sale
Juif L’antisémitisme n’est pas une opinion, mais un délit en France, passible
d’un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.
Jean-René Cazeneuve (député)
> Pour ceux qui avaient un doute, au moins c'est clair. Rima Hassan de LFI appelle
à la destruction d'Israël.
Charles Rodwell (député)
> Les durées de rétention des étrangers sous OQTF
sont très limitées. Au bout de 90 jours, le juge est obligé de libérer ces
personnes. Je considère que c'est insupportable parce que le droit européen
nous permet d'aller jusqu'à 180 jours, voire 210.
> Si on veut continuer à construire des centres de rétention, donc des places pour enfermer des gens dangereux qui n'ont rien à faire en France, il faut adopter le Budget.
● Parti radical
> Brigitte Bardot, icône du cinéma français,
demeurera le symbole de la femme libre et indépendante. Elle a consacré sa vie
à la cause animale qui lui doit tant. Si ses opinions politiques sont éloignées
des nôtres, le respect s’impose aujourd’hui. Pensées à sa famille et ses
proches.
► Autres
● Organisations centristes
♦ Renew Europe
(Députés français du groupe centriste au Parlement
européen)
Nathalie Loiseau (députée)
> [Poutine prétend que Zelensky a attaqué une de ses résidences] Il y a
une seule information fiable dans la déclaration de Sergueï Lavrov [et de Poutine]
: la Russie va tirer prétexte de cette annonce d’une attaque pour ne pas
négocier de paix avec l’Ukraine. C’est la seule information de cette
déclaration et ce n’est pas une surprise.

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