dimanche 28 avril 2019

Actualités du Centre. Paroles centristes: Hommage à la démocratie représentative, l’injustice de destin, la «révolution» de Macron …


Voici une sélection des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux.

Jean-Michel Blanquer (ministre de l’éducation)
- La non-fermeture d’écoles primaires, est une mesure historique. Elle rompt avec des décennies de fermetures massives dues à l’exode rural. De plus, il y aura beaucoup plus d’ouvertures que de fermetures de classes. Pour tenir compte simplement du nombre d’élèves dans chaque école
- L’école, c’est la vie d’un village. Nous voulons que les écoles primaires rurales persistent. Plus aucune école ne fermera sans l’avis favorable du maire.
-L’école primaire est plus que jamais notre priorité. Avec une attention particulière pour l’école primaire rurale, essentielle pour la vie de tous nos territoires. Pour la première fois depuis plusieurs décennies, nous mettons fin aux fermetures d’écoles dans les villages: Aucune école primaire ne sera fermée "sans un avis favorable du maire",

Julien Denormandie (ministre du logement)
Le Grand Débat a été un moment démocratique historique.
Le drame de notre pays, plus que l’inégalité salariale, c’est l’injustice de destin

Stanislas Guerini (LREM, délégué général)
Je n’ai jamais confondu les Gilets jaunes. Il y a ceux des ronds-points qui ont exprimé des revendications sociales, à qui on apporte des réponses concrètes. Il y a ceux du samedi dont les Français ne peuvent plus, pour qui la seule réponse doit être l’ordre républicain.

Aurore Bergé (LREM, porte-parole)
Alors que ce dimanche aura lieu dans nos communes la journée du souvenir pour les victimes de la déportation, des Juifs ont été pris pour cibles ce soir encore parce qu'ils sont Juifs. Notre combat contre l'antisémitisme n'aura jamais de relâche.

Laurianne Rossi (LREM, députée)
Nous n’avions pas attendu le mouvement des gilets jaunes pour redonner du pouvoir d’achat aux français. Nous irons encore plus loin.

Yaël BraunPivet (LREM, députée)
Un virage à 180 degrés aurait trahi le choix démocratique des électeurs en 2017. Mais nous changeons de méthode en associant mieux les citoyens à la décision et nous allons plu loin en développant les maisons de service public ou en accélérant la baisse des impôts.

François Bayrou (MoDem, président)
- La France est à la recherche d'un grand projet national, où chacun doit avoir sa chance. La philosophie des mesures du Président de la République va dans ce sens.
- Les choses proposées par le président de la République sont les choses les plus profondes qu'on pouvait proposer.
- Ces annonces sont une révolution! Pas seulement les mesures, mais la philosophie autour de ces mesures: le progrès pour tous en demandant le meilleur de chacun. (…)C'est la réponse aux inquiétudes de toutes les démocraties occidentales.
- Une intervention de cet ordre doit être à la hauteur symbolique nécessaire, ce fut le cas ce jour-là.
- J'ai toujours soutenu l'idée de baisser le nombre de parlementaires. Mon souhait est un Parlement fort qui puisse faire preuve d'autorité, avec une meilleure organisation.
- Il faut rendre une réalité à la méritocratie française.
- Emmanuel Macron propose un projet de société qui porte sur ce que nous avons de plus précieux.
- Dans le moment où sommes, il y a besoin que l'économie soit soutenue. Il faut de l'investissement, c'est ce qui ressort du projet du Président.
-  [Ecologie absente du débat] Le président de la République voulait apporter des précisions mais les journalistes n'ont pas posé les questions.
- L'effet de la proportionnelle dépend de la façon dont on attribue les siège : ou tout le monde pioche dans un pot commun ou cela permet de compenser la représentation parlementaire.
- Il serait intéressant que les décisions sur les 80km/h soient prises au plus près, au niveau local, selon la dangerosité de la route en question. Je trouve que ça devrait être des arbitrages locaux.
- La France a une tradition trop jacobine, il faut décentraliser certaines décisions

Jean-Louis Borloo (ancien ministre, fondateur de l’UDI)
- La démocratie représentative est formidable. Je veux rendre hommage aux 500.000 élus locaux français. Ce sont les vrais hussards de la République. Je sais qu’il est de bon ton de remettre en cause la démocratie représentative mais attention, pour l’instant, on n’a pas trouvé mieux.
- Je pense que cette crise aura peut-être été salutaire car elle aura ouvert les yeux d’une oligarchie brillante mais qui pensait tout savoir et qui était en train de construire des éléments de grandes difficultés dans notre pays". Mais comme ce sont des gens intelligents, j’ai bon espoir qu’ils aient vraiment compris ce qu’il s’est passé. Qu’ils raisonnent différemment.


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