dimanche 8 octobre 2023

Propos centristes. Monde – Attaque d’Israël par le Hamas / Narges Mohammadi, prix Nobel de la Paix / L’UE et la lutte contre la désinformation / Soutien sans faille à l’Ukraine / Soutien aux Arméniens / Migrations / Belgique: Les Engagés, résolument au centre…

Voici une sélection, ce 8 octobre  2023, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux dans l’Union européenne et dans le monde.

Union Européenne

♦ Renew Europe (groupe centriste et libéral au Parlement européen)
[Nota: les propos tenus par les députés européens français sont à lire dans Propos centristes France]

> Félicitations à la militante iranienne Narges Mohammadi pour avoir reçu le prix Nobel de la paix 2023 ! C'est un moment historique dans la lutte pour la liberté en Iran. Bien qu'elle ait été continuellement emprisonnée, elle a poursuivi son combat contre l'oppression des femmes en Iran et pour les droits de l'homme.

> Le groupe Renew Europe au sein du Parlement européen condamne avec la plus grande fermeté l'attaque militaire planifiée et injustifiée de l'Azerbaïdjan contre les Arméniens du Haut-Karabakh. Nous demandons des sanctions ciblées contre les membres du gouvernement azerbaïdjanais responsables des multiples violations du cessez-le-feu et des droits fondamentaux.

> Le vote d'hier sur les eaux urbaines résiduaires aidera l'Europe à atteindre ses ambitions en matière de pollution zéro et de circularité en :

- En éliminant les polluants de notre eau

- Réutiliser les eaux usées et prévenir la pénurie d'eau

- Améliorer l'accès à l'eau propre.

 

Malik Azmani (premier vice-président)
> Attaques horribles ce matin en Israël. Nous devons condamner ces attaques terroristes dans le monde entier et soutenir ceux qui se défendent actuellement ! Mes pensées vont aux victimes, à leurs proches et au peuple israélien. Le mal ne gagnera jamais !

> Avec l'accord intervenu aujourd'hui sur le règlement relatif à la crise, la dernière pièce du puzzle du Pacte sur les migrations est en place. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour mener à bien la réforme du système d'immigration et d'asile de l'UE, pour tous les acteurs concernés. Il est de notre devoir, vis-à-vis de tous les citoyens européens, d'apporter des solutions aux défis posés par les migrations, en particulier en période de crise. Nous devons maintenant profiter de cet élan pour parvenir à un accord sur un système d'immigration et d'asile véritablement européen. Entamons rapidement les négociations interinstitutionnelles sur le règlement relatif à la crise et achevons le travail avant la fin de ce mandat.

 

Dragoş Tudorache (vice-président)
> La République de Moldavie est sur la bonne voie ! Ce n'est pas facile, mais les Moldaves sont déterminés à suivre ce chemin avec beaucoup d'ambition. Des réformes aussi profondes que celles que Chisinau s'est engagée à mettre en œuvre ne peuvent être réalisées en un an, ni par la Moldavie, ni par aucun autre pays de l'UE, d’ailleurs. C'est pourquoi l'engagement avéré, la volonté politique et la capacité à obtenir des résultats sont vraiment importants et doivent être la clé pour ouvrir la porte des négociations d'adhésion à l'UE.
En outre, l'ouverture des négociations ne signifie pas que le processus de réforme est terminé, bien au contraire, il se poursuivra avec encore plus de soutien et d'expertise de la part de l'UE, de notre part. J'espère vraiment que la Commission verra tous les progrès réalisés par la Moldavie et qu'elle se montrera une fois de plus audacieuse et visionnaire dans son évaluation à venir. C'est avant tout une question de volonté politique.

 

Guy Verhofstadt
> Ce n’est pas par hasard que les dirigeants du Hamas se sont rendus en Russie et en Iran récemment… Avec un peu de chance, Netanyahou examinera-t-il à nouveau les victimes de l’invasion brutale de l’Ukraine par la Russie ?

> Attention à l’hypocrisie du prix Nobel de la paix... Les dirigeants de l’UE devraient proposer une stratégie pour aider les femmes iraniennes par des sanctions et l’isolement diplomatique… Et non de parler sans rien faire pour arrêter le régime criminel iranien!

 

Nils Torvalds
> La révision de la directive sur les eaux urbaines résiduaires est un grand pas en avant vers une eau propre en Europe ! Avec le changement climatique qui se fait sentir, nous sommes confrontés à des défis majeurs dans le domaine de l'eau et nous devons nous assurer que nous gérons bien nos ressources en eau. Avec l'eutrophisation, les sécheresses et la pollution par les micropolluants, chaque goutte d'eau compte

> La mauvaise habitude de prendre des otages - comme ce fut le cas aujourd’hui avec le PPE et S&D - aurait pu créer un résultat préjudiciable sans vainqueur apparent. Je suis donc heureux que Renew Europe ait joué un rôle constructif et ait évité de bloquer le processus de nomination. Il est maintenant temps pour MM. Hoekstra et Šefčovič de se mettre au travail pour construire une Europe plus verte. Renew Europe demandera à ces commissaires de rendre des comptes, car notre priorité est de créer une Europe neutre sur le plan climatique. Ces derniers jours, ils se sont engagés à atteindre un objectif 2040 ambitieux et basé sur la science, sur l'élimination progressive des combustibles fossiles et de leurs subventions, et ils doivent tenir leurs promesses. Renew Europe note que le vice-président Šefčovič a donné un peu plus de clarté sur le programme de travail à venir, mais nous appelons la Commission à concrétiser tous les éléments du Green Deal encore en suspens.

 

Vlad Gheorghe
> Ma première réaction après le début de la guerre a été de proposer un plan européen pour reconstruire l'Ukraine. Et aujourd'hui, nous l'avons. Nous avons la facilité pour l'Ukraine - cet instrument puissant pour renforcer la résilience de l'Ukraine, garantir les services publics de base et rapprocher le pays de l'adhésion à l'UE par le biais de réformes. La facilité pour l'Ukraine est également un message fort adressé à Poutine : nous déclarons que nous croyons aux Ukrainiens et que nous resterons à leurs côtés aussi longtemps qu'il le faudra. Et nous ne nous arrêterons pas aux 50 milliards d'euros prévus par la facilité. Les biens confisqués aux oligarques russes seront utilisés pour réalimenter cet instrument et ainsi aider l'Ukraine de manière encore plus efficace. »

 

Petras Auštrevičius
> La facilité pour l'Ukraine est un instrument géostratégique important pour le redressement, la reconstruction, la restauration et la modernisation de l'Ukraine. Cette nouvelle facilité favorisera la coopération entre les différents niveaux des autorités ukrainiennes, y compris les organisations de la société civile, les femmes, les jeunes, les personnes handicapées et les autres groupes vulnérables. L'Ukraine et son peuple ont une tâche difficile à accomplir, et nous les soutiendrons à chaque étape du processus.

 

Martin Hojsík
> Cela ne pourrait pas sembler si évident, mais le pictogramme figurant sur le flacon de vos produits ménagers ou la fermeture de sécurité pour les enfants peut vous sauver la vie. C'est pourquoi notre travail sur une législation apparemment technique demeure important. Parce qu'il permet de s'assurer que tous les citoyens, qu'il s'agisse des membres de notre famille, des travailleurs professionnels ou des malvoyants, sont protégés contre les substances qui perturbent leur système hormonal, savent comment utiliser les produits chimiques sans risques et ce qu'il faut faire en cas d'urgence.

 

Irena Joveva
> Des médias libres et indépendants sont une condition fondamentale pour le fonctionnement de nos démocraties. Ces dernières années, nous avons assisté à une grave détérioration de la liberté des médias, tant de la part des acteurs étatiques que des propriétaires privés. La loi sur la liberté des médias établira enfin des principes de base à l'échelle de l'UE et apportera une transparence totale au marché des médias. Les journalistes et les médias seront protégés et les abus seront évités.

 

Ramona Strugariu
> L'EMFA [European Media Freedom Act ou législation européenne sur la liberté des médias] doit être un allié solide pour les médias libres. Les journalistes indépendants ont besoin d'un cadre juridique solide qui protège leur travail, leurs sources, leur liberté et leur rôle de gardiens de la démocratie. Chaque politicien qui se lève le matin pour chercher des nouvelles de qualité et des informations correctes devrait savoir pourquoi la presse libre doit être forte.

 

Andrus Ansip
> Notre priorité est de donner aux États membres les outils nécessaires pour lutter contre la désinformation. Malheureusement, il y a encore des entreprises européennes qui facilitent la diffusion de la propagande de Poutine en Europe et au-delà. L'Acte européen pour la liberté des médias est essentiel pour mettre fin à cette situation.

 

Róża Thun und Hohenstein
> Le scandale des visas en échange de pots-de-vin révèle la corruption au plus haut niveau du gouvernement polonais et constitue un nouvel exemple de la détérioration de la démocratie et de l'État de droit sous le gouvernement PiS. La vente non autorisée de visas Schengen met en péril l'intégrité de l'ensemble de l'espace Schengen, ainsi que la sécurité des Polonais et de tous les autres Européens. Cette opération frauduleuse montre également l'hypocrisie du gouvernement. Tout en propageant la haine contre les migrants et en s'opposant à toute tentative de trouver des solutions communes à l'immigration au niveau européen, ils se sont empressés d'utiliser les migrants pour se remplir les poches d'argent ».

 

● Allemagne
♦ Gouvernement
Christian Lindner (ministre des Finances)
> Ce sont des nouvelles terribles qui nous parviennent de Israël. Nous sommes solidaires avec Israël.

> Le signal clair pour le renforcement du centre, même contre les extrêmes, est aujourd’hui les démocrates libres. Après l’expérience de la pandémie et face à la bureaucratie rampante, le choix du FDP est le choix le plus claire en matière de liberté.

> L’engagement courageux de nombreuses femmes iraniennes en faveur des droits de l’homme universels et d’une vie en liberté est à peine assez apprécié. La remise du prix Nobel de la paix à Narges Mohammadi est donc un signe significatif d’espoir en cette période difficile.

 

● Belgique
♦ Les Engagés
Maxime Prévot (président)
> [Refondation du parti, ex-cdH devenu Les Engagés] C’est une partition en trois temps. Le premier a été en 2019 lorsque, face à nos mauvais résultats électoraux, j’ai souhaité poser un acte courageux, probablement contre-intuitif pour un parti politique, en faisant le choix de l’opposition. Plutôt que de s’accrocher comme une moule à son rocher, j’ai trouvé qu'il était honnête et respectueux à l’égard des électeurs d’entendre le signal qu’ils nous avaient adressé, ce que beaucoup de politique prétendent vouloir faire dans la campagne mais oublient une fois les résultats obtenus. Il fallait s’autoriser cette prise de recul pour prendre un peu de hauteur. (…)
L’acte 2, celui du courage de se transformer. Nous avons changé notre nom, notre logo, notre couleur, mais aussi notre projet qui s’est matérialisé à travers notre manifeste pour une société régénérée, puisque c’est l’ambition ultime : celle de remettre à plat une série d’absurdités pour réhabiliter les 3 B : le bien commun, le bon sens et la bienveillance. (…)
L’acte 3, c’est celui que nous connaissons pour le moment, c’est cette séquence de l’identification d’une série de personnalités de la société civile, qui ont fait le choix de nous rejoindre. C’est d’autant plus remarquable que nous sommes dans l’opposition partout. Ça veut dire que je n’ai pas de sucette ni de mandat pour les appâter. Ce sont des personnalités qui viennent uniquement en fonction de leurs convictions, pour notre projet, qui est disruptif et propose enfin quelque chose de différent dans le paysage politique francophone.

> On a une classe politique qui est beaucoup trop dans l’entre-soi, qui se préoccupe plus de son nombril que d’obtenir des résultats pour les citoyens que nous devons servir. J’ai donc souhaité qu’on quitte notre zone de confort, qu’on questionne nos certitudes et qu’on réajuste notre doctrine au XXIe siècle. Tous les partis traditionnels en Belgique défendent des doctrines qui ont parfois été pensées il y a 50 ou 80 ans, à une époque où on ne parlait pas de révolution digitale, où on ne parlait pas de transition climatique, où on ne parlait pas de burn-out, où on ne parlait pas de quête du sens au travail et dans la vie sociale. J’ai donc ressenti l’immense besoin d’offrir à la politique belge une vision plus moderne et contemporaine. Il fallait arrêter d’avoir des partis qui sont uniquement défenseurs d’un héritage et être beaucoup plus l’incarnation des problèmes d’aujourd’hui et des défis de demain.

> Quand on voit ce contexte de clash permanent, accentué par les réseaux sociaux, l’énergie que les partenaires gouvernementaux consacrent à se taper dessus plutôt qu’à réellement converger vers des solutions et des résultats, on se dit qu’il est plus que temps de revoir notre modèle. Cette réalité nous oblige à repenser notre contrat social, à avoir une autre approche de la prospérité, sans doute plus orientée vers l’accumulation des liens, plus que l’accumulation des biens, de pouvoir repenser notre rapport au vivant, à l’éducation, à la culture et aux libertés. Finalement, prendre soin de soi, des autres et de la Terre, c’est un véritable programme politique.

> Je l’ai dit il y a quelques années déjà à mes députés : nous ne pourrons pas partir aux élections en 2024 en ayant exactement les mêmes têtes de liste qu’en 2019. Sinon, nous ne rendrons pas crédible le changement que j’ai souhaité impulser. Il nous faut un bon mix entre des politiques aguerris, qui œuvrent depuis quelques années déjà dans les assemblées et qui ont une expérience toujours valide, et des personnalités issues de la société civile qui viennent avec leur fraîcheur, leur regard différent, bousculer les codes de la politique pour éviter cet entre soi. L’idée n’est pas d’utiliser ces personnes comme un alibi. Je ne fais pas de la pseudo-participation citoyenne en créant une assemblée quelconque ou en tirant au sort des citoyens : je donne aux citoyens des leviers majeurs d’action en leur donnant la capacité de devenir député et de faire bouger les lignes au sein des parlements.

> Aucun départ n’est motivé par une prise de distance vis-à-vis du parti. Personne ne part fâché, ni pour une autre formation politique. Ce sont simplement des personnalités qui se sont données pour la politique depuis 20, 30, parfois 40 ans. C’est sain, ce ne sont pas des claquements de porte. Ce sont des fins de cycles. Parce qu’il y a une vie avant la politique, et ces gens ont compris aussi qu’il y avait une vie après la politique.

> [Nouveaux venus] Je ne vais pas nier qu’il n’y a pas l’un ou l’autre grincement de dents. C’est humain. Mais jusqu’à présent, l’immense majorité des militants se sont réjouis et enthousiasmés de ces venues, parce que ce sont des personnalités qui, au vu de leur parcours, apportent une vraie crédibilité à notre processus. Ils viennent en quelque sorte cautionner l’audace que nous avons eue. Ce regain d’enthousiasme énorme irrigue l’ensemble de nos structures internes. Et les récents sondages accentuent ce regain d’enthousiasme : tout le monde se dit décomplexé de dire qu’il croit, qu’il vote et qu’il souhaite s’engager pour notre projet. Tout l’enjeu, c’est que ça dure…

> Ma volonté est de fédérer les gens qui ont une conviction de centre gauche et ceux qui ont une conviction de centre droit. Il y a beaucoup de gens qui sont sensibles à la transition écologique mais qui ne se retrouvent pas dans l’approche dogmatique et punitive d’Écolo et qui sont séduits par nos convictions profondes en matière de régénération du vivant. Et il y a à côté de ça aussi une série de libéraux sociaux qui ne se retrouvent pas dans le tournant plus radical et conservateur actuel du MR. Ce que je veux, c’est fédérer et rassembler.

> Les Engagés, c’est un mouvement qui revendique d’être centriste, pas par défaut ni par dépit, mais par conviction. Parce que je ne crois pas qu’on servira l’intérêt collectif en ayant, comme la gauche, tendance à se cramponner sur la défense des acquis ni, comme la droite, cette propension à se cramponner sur la défense des privilèges. Ce qui est noble en politique, c’est de faire grandir tout le monde et chacun, et pas de servir les intérêts uniquement d’un segment électoral comme le font la gauche et la droite.

> Ce centrisme de conviction, qui veut réhabiliter dans un monde de slogans et de simplismes l’intelligence de la nuance, je le revendique et nous sommes les seuls à l’incarner. Dans ce monde des petites phrases, des populismes, le vrai courage, c’est d’oser nager à contre-courant en préconisant des approches nuancées et des solutions équilibrées. C’est souvent moins sexy médiatiquement, mais c’est tellement souvent plus pertinent politiquement. Et je suis convaincu que c’est ce dont nous avons besoin. Sinon, cette spirale vers les extrêmes que l’on connaît aujourd’hui va progressivement devenir nauséabonde.

 

♦ DéFI
François de Smet (président)
> Aucune cause ne justifiera jamais des attaques contre des civils. Les actes du Hamas contre des citoyens israéliens sont du terrorisme pur et simple. Ce cycle de violences et de souffrance ne mènera nulle part.

> Quelle formidable reconnaissance que ce prix Nobel pour Narges Mohammadi, et quel magnifique message de soutien au combat de toutes les femmes iraniennes qui se battent contre l'obligation du hijab.

> Aujourd’hui, le bien-être animal s’impose de plus en plus comme une valeur cardinale dans notre société. Pour DéFI, il est primordial d’enseigner le respect du vivant et ce dès le plus jeune âge.

> Si un président de parti démocratique [Conner Rousseau, le président de Vooruit, le parti socialiste flamand] peut, sans conséquences autres que des excuses,
- proférer des propos racistes en étant ivre
- tenter de censurer la presse
- invoquer les «circonstances» ...
comment espérer que les politiques soient respectés pour leur exemplarité ?

> Oui, il faut de la rationalisation en matière de santé - mais vers le haut, pas vers des éparpillements supplémentaires. C'est une leçon claire de la crise du covid: notre système institutionnel n'est pas pleinement efficace avec neuf ministres de la santé. En particulier, la séparation de la prévention (communautés) et des soins (fédéral) n'a aucune cohérence. Il n'est même plus possible, dans ce pays, de faire un plan national sur la lutte contre le tabagisme, par exemple. DéFI estime qu'il faudra refédéraliser les compétences liées à la sécurité d'existence, c'est-à-dire:
- toutes les matières relatives à la lutte contre la pauvreté
- la santé publique
- les allocations familiales
- la politique à l'égard des personnes en situation de handicap.

 

Sophie Rohonyi (députée)

> Narges Mohammadi a été condamnée à 31 ans de prison et 154 coups de fouet pour avoir milité pour la démocratie et les droits des femmes en Iran Ce prix Nobel envoie le signal que nous la soutenons ainsi que tous les démocrates manifestant au péril de leur vie et de leur liberté.

 

● Italie
♦ Azione
Carlo Calenda (secrétaire général)
> > Solidarité avec le peuple et les institutions israéliens pour la lourde attaque terroriste subie. Nous condamnons fermement le geste criminel du Hamas et nous espérons que tous les instruments diplomatiques disponibles seront utilisés pour mettre fin à l’agression le plus rapidement possible.

> Ce pays doit être remis ensemble avec responsabilité et pragmatisme, pas jeté dans la malédiction perpétuelle de la lutte des bons contre les méchants, qui a détruit l’esprit de la Constitution et produit le déclin de l’Italie.

> Ils défendent la Russie comme ils défendent le Hamas. Il y a une cohérence dans les ordures.

 

♦ Italia Viva
Matteo Renzi (président)
> Les extrémistes affirment qu’Israël n’a pas le droit d’exister. Je l’ai dit en tant que Premier ministre en parlant à la Knesset, je le dis en tant que citoyen et sénateur aujourd’hui : pour moi, Israël a le droit et le devoir d’exister et de résister.

Ma solidarité aux familles des victimes de ces heures et à tout le peuple d’Israël.> Le monde vit une saison marquée par un désordre mondial dévastateur. L’attaque terroriste criminelle du Hamas contre l’État d’Israël n’est que la dernière pièce d’une mosaïque d’instabilité, de guerre et de violence très préoccupante. L’Europe de la politique semble balbutier, l’Europe de la diplomatie a disparu, l’Europe de la culture semble éteinte. (…) Pour voler haut, il faut de la politique, pas le bavardage populiste de ces derniers mois.

 

Autres pays

● Canada
♦ Gouvernement
Justin Trudeau (Premier ministre)
> Le Canada condamne sans réserve l'attaque terroriste menée en ce moment contre Israël. Cette violence est complètement inacceptable. Nous appuyons pleinement Israël et son droit de se défendre. Nos pensées vont à toutes les personnes touchées. Les civils doivent être protégés.

> Au Desi Food Mart de Cambridge, j’ai croisé des familles qui faisaient leurs achats en vue du long week‑end. Nous avons parlé du prix des aliments – et je leur ai dit que nous allions continuer de travailler pour les réduire et rendre la vie plus abordable pour les Canadiens.

 

● Etats-Unis
♦ Gouvernement
Joe Biden (président-des Etats-Unis)
> >[Remarques sur les attaques terroristes en Israël]
Aujourd'hui, le peuple d'Israël subit une attaque orchestrée par une organisation terroriste, le Hamas. En ce moment de tragédie, je tiens à leur dire, ainsi qu'au monde entier et aux terroristes du monde entier, que les États-Unis sont aux côtés d'Israël. Nous ne manquerons jamais de les soutenir. Nous veillerons à ce qu'ils reçoivent l'aide dont leurs citoyens ont besoin et à ce qu'ils puissent continuer à se défendre.
Vous savez, le monde a vu des images épouvantables : des milliers de roquettes pleuvant sur les villes israéliennes en l'espace de quelques heures. Des terroristes du Hamas pénétrant en Israël et tuant non seulement des soldats israéliens, mais aussi des civils israéliens dans la rue, chez eux. Des innocents assassinés, blessés, des familles entières prises en otage par le Hamas, quelques jours seulement après qu'Israël a marqué le jour le plus saint du calendrier juif. C'est inadmissible.
Vous savez, lorsque je me suis entretenu avec le Premier ministre Netanyahu ce matin, je lui ai dit que les États-Unis se tenaient aux côtés du peuple d'Israël face à ces attaques terroristes. Israël a le droit de se défendre et de défendre son peuple. C'est un point c'est tout.
Les actes terroristes ne sont jamais justifiés.
Et le soutien de mon administration à la sécurité d'Israël est solide comme le roc et inébranlable. Permettez-moi de le dire aussi clairement que possible : Ce n'est pas le moment pour une quelconque partie hostile à Israël d'exploiter ces attaques pour prendre l'avantage. Le monde nous regarde.
J'ai également été en contact avec le roi de Jordanie, je me suis entretenu avec des membres du Congrès, j'ai demandé à mon équipe chargée de la sécurité nationale de dialoguer avec leurs homologues israéliens - de militaire à militaire, de renseignement à renseignement, de diplo- - diplomate à diplomate - pour s'assurer qu'Israël dispose de ce dont il a besoin.
J'ai également demandé à mon équipe de rester en contact permanent avec les dirigeants de toute la région, notamment l'Égypte, la Turquie, le Qatar, l'Arabie saoudite, la Jordanie, Oman, les Émirats arabes unis, ainsi qu'avec nos partenaires européens et l'Autorité palestinienne.
Il s'agit également d'une terrible tragédie sur le plan humain. Elle blesse des innocents, des vies brisées, des familles déchirées. Cela nous brise le cœur.
Jill et moi prions pour les familles touchées par cette violence. Nous partageons le chagrin de ceux qui ont perdu des êtres chers, une partie de leur âme. Nous espérons un prompt rétablissement pour les nombreux blessés.
Mais nous allons rester en contact étroit avec le Premier ministre - personnellement, je vais rester en contact étroit avec le Premier ministre Netanyahu au fur et à mesure que la situation évolue.
Et qu'il n'y ait pas d'erreur : Les États-Unis sont aux côtés de l'État d'Israël, comme ils l'ont été dès le moment où ils ont été la première nation à reconnaître Israël, 11 minutes après sa fondation, il y a 75 ans.

> Ce matin, je me suis entretenu avec le Premier ministre Netanyahu au sujet des horribles attaques qui se poursuivent en Israël.  Les États-Unis condamnent sans équivoque cet assaut effroyable contre Israël mené par les terroristes du Hamas depuis Gaza, et j'ai clairement indiqué au Premier ministre Netanyahu que nous étions prêts à offrir tous les moyens de soutien appropriés au gouvernement et au peuple d'Israël. Le terrorisme n'est jamais justifié. Israël a le droit de se défendre et de défendre son peuple. Les États-Unis mettent en garde contre toute autre partie hostile à Israël qui chercherait à tirer profit de cette situation.  Le soutien de mon administration à la sécurité d'Israël est solide comme le roc et inébranlable.
Jill et moi portons dans nos prières toutes les familles qui ont été touchées par cette violence. Nous avons le cœur brisé par les vies qui ont été tragiquement fauchées et nous espérons un prompt rétablissement pour tous ceux qui ont été blessés.
Mon équipe et moi-même suivons la situation de près et je resterai en contact étroit avec le Premier ministre Netanyahu.

> Septembre a été un autre bon mois pour les travailleurs américains, avec 336 000 emplois créés et une baisse de l'inflation. Cela représente près de 14 millions d'emplois - dont 815 000 dans l'industrie manufacturière - créés sous la politique des «Bidenomics».

> En réparant notre système de prêts étudiants défaillant, nous ne nous contentons pas de donner de l'air aux travailleurs : c'est bon pour notre économie et pour notre pays. (...) En libérant des millions d'Américains du fardeau écrasant de la dette étudiante, cela signifie qu'ils peuvent enfin reprendre le cours de leur vie. Ils peuvent envisager d'acheter une maison, de créer une entreprise ou de fonder une famille. C'est important. (...) Au début de l'année, nous étions sur le point d'alléger la dette étudiante de millions d'Américains. Les élus républicains et les intérêts particuliers ont bloqué cette mesure. Aujourd'hui, nous suivons une autre voie, fondée sur la loi sur l'enseignement supérieur (Higher Education Act). Et nous ne reculons pas.

> Pendant des décennies, les entreprises pharmaceutiques ont réalisé des bénéfices records tandis que Big Pharma s'efforçait d'empêcher Medicare de négocier une baisse des prix des médicaments pour les personnes âgées.
Mon administration a finalement changé cela l'année dernière en adoptant la loi sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act), sans aucune voix républicaine.

> Pour de nombreux Américains, le coût d'un seul médicament fait la différence entre la dignité et la dépendance. Il est temps de changer cela.

> J'ai organisé une réunion téléphonique avec mes alliés et partenaires afin de coordonner le soutien que nous apportons au peuple ukrainien.
Nous avons discuté de la possibilité de fournir à l'Ukraine les ressources dont elle a besoin et de notre travail pour relever les défis énergétiques, économiques et alimentaires mondiaux causés par la guerre choisie par la Russie.

> Sous ma direction, nous avons ramené le prix de l'insuline à 35 dollars et aidé 15 millions d'Américains à économiser 800 dollars par an sur leur assurance maladie.
C'est pourquoi nous continuerons à nous battre pour réduire les coûts des soins de santé - et nous ne nous arrêterons pas tant que le travail ne sera pas terminé. Vous avez ma parole.

> Pour plus de 61 millions d'Américains vivant avec un handicap, l'ADA et les lois sur la réadaptation sont une source d'opportunités, d'inclusion significative, de participation et de respect. Garantir que le rêve américain soit pour nous tous, et pas seulement pour certains d'entre nous.  (…)
Pour des millions d'Américains, leur handicap est une source d'identité et de pouvoir. C'est l'essence même de la fierté d'être handicapé. C'est l'essence de ce pour quoi tant de personnes qui m'ont rejoint à la Maison Blanche aujourd'hui se sont battues - et des progrès que nous continuerons à faire ensemble. (...)
L'ADA et les lois sur la réadaptation représentent des progrès obtenus de haute lutte - et concrétisent la promesse fondatrice de notre nation : chaque Américain a le droit d'être reconnu et respecté pour ce qu'il est.

 

♦ Parti démocrate
Hakeem Jeffries (leader du Parti démocrate à la Chambre des représentants)
> Je condamne fermement l'attaque violente et épouvantable de l'organisation terroriste Hamas contre le peuple juif et l'État d'Israël. La perte de vies humaines en Israël à la suite de l'attaque violente, calculée et non provoquée du Hamas est déchirante. 
L'Amérique se tient fermement et sans équivoque aux côtés d'Israël. Nous soutiendrons fermement le droit d'Israël à se défendre contre cette attaque méprisable qui a pris pour cible des civils, y compris des enfants israéliens, au moyen de roquettes, de tirs et d'enlèvements violents. Le Congrès doit soutenir Israël jusqu'à ce que l'invasion du Hamas ait été écrasée et que la sécurité dans le sud d'Israël et dans l'ensemble du pays ait été définitivement rétablie.

> [Opinion: «Une coalition bipartisane est la voie à suivre pour le parlement»]
Ces derniers jours, les démocrates ont tenté de montrer à leurs collègues de la majorité républicaine comment sortir du dysfonctionnement et de la rancœur qu'ils ont laissé s'emparer de la Chambre. Ce chemin vers une situation meilleure est encore possible.
Au cours des dernières semaines, alors qu'il semblait probable qu'une motion de vacance du poste de président de la Chambre soit déposée, les démocrates de la Chambre ont soulevé à plusieurs reprises la question de la formation d'une coalition gouvernementale bipartisane avec nos homologues républicains, tant en public qu'en privé.
J'espérais sincèrement que les démocrates de la Chambre et les républicains plus traditionnels seraient en mesure de parvenir à un accord éclairé pour mettre fin au chaos qui règne à la Chambre et nous permettre de travailler ensemble pour améliorer la vie des Américains ordinaires tout en protégeant notre sécurité nationale.
Malheureusement, à chaque fois, les républicains de la Chambre ont catégoriquement refusé d'apporter des modifications aux règles conçues pour atteindre deux objectifs : encourager la gouvernance bipartisane et réduire la capacité des extrémistes à prendre le Congrès en otage. En effet, le député Kevin McCarthy (R-Calif.) a déclaré publiquement, plus de cinq heures avant que la motion d'annulation ne soit soumise au vote, qu'il ne travaillerait pas avec les démocrates de la Chambre en tant que partenaire d'une coalition bipartisane. Cette déclaration reflète la position adoptée par les républicains de la Chambre dans les semaines qui ont précédé le vote de la motion d'annulation. Elle a également mis fin à la possibilité de modifier le règlement de la Chambre pour faciliter une structure de gouvernance bipartisane.
La situation s'est ensuite détériorée. Moins de deux heures après la vacance de la présidence de la Chambre sur proposition d'un membre de la conférence du GOP, les républicains de la Chambre ont ordonné à la présidente émérite Nancy Pelosi (D-Calif.) et à l'ancien chef de la majorité Steny H. Hoyer (D-Md.) de "libérer" leurs bureaux cachés dans le Capitole. La décision de priver la présidente émérite Pelosi et le chef de file Hoyer de leurs bureaux est mesquine, partisane et pétulante.
Les républicains de la Chambre des représentants se sont attaqués à des fonctionnaires historiques et ont tenté de rejeter la responsabilité de l'échec de la stratégie républicaine d'apaisement. Mais que se passerait-il s'ils suivaient une voie différente et affrontaient l'extrémisme qui s'est propagé sans contrôle du côté républicain de l'allée ? Lorsque cette étape aura été franchie de bonne foi, nous pourrons procéder ensemble à la réforme des règles de la Chambre de manière à nous permettre de gouverner de façon pragmatique.
Les détails feraient l'objet de négociations, mais les principes ne sont pas un secret : la Chambre devrait être restructurée pour promouvoir la gouvernance par consensus et faciliter les votes par assis et levé sur les projets de loi bénéficiant d'un fort soutien bipartisan. Dans le cadre de la procédure actuelle, une petite poignée de membres extrémistes de la commission des règles ou de la conférence républicaine de la Chambre des représentants peut empêcher une législation de bon sens de voir le jour. Cela doit changer - peut-être d'une manière conforme aux recommandations bipartisanes du Comité spécial de la Chambre sur la modernisation du Congrès.
En bref, les règles de la Chambre devraient refléter la réalité incontournable selon laquelle les républicains dépendent du soutien des démocrates pour accomplir le travail de base de la gouvernance. Un petit groupe d'extrémistes ne devrait pas être en mesure d'entraver cette coopération.
Il est urgent de changer de cap. Le Congrès est au cœur d'une guerre civile républicaine qui compromet notre capacité à rendre la vie plus abordable pour les contribuables américains, à assurer la sécurité des communautés et à renforcer la démocratie. Les républicains traditionnels doivent rompre avec l'extrémisme MAGA qui empoisonne la Chambre des représentants depuis l'insurrection violente du 6 janvier 2021 et ses conséquences - lorsque l'écrasante majorité des républicains de la Chambre a continué à promouvoir le «grand mensonge» et a voté pour ne pas certifier l'élection présidentielle.
Les démocrates de la Chambre des représentants restent déterminés à trouver une solution bipartisane, comme ils l'ont démontré à maintes reprises tout au long de ce Congrès en fournissant une majorité de voix pour empêcher la fermeture du gouvernement ce mois-ci et éviter un défaut de paiement catastrophique de la dette américaine en juin.
À ce stade, nous avons simplement besoin de partenaires républicains prêts à rompre avec l'extrémisme du MAGA, à réformer les règles hautement partisanes de la Chambre adoptées au début de ce Congrès et à nous rejoindre pour trouver un terrain d'entente pour le peuple.

 

Barack Obama (ancien président des Etats-Unis)
> Depuis des décennies, Narges Mohammadi défend avec vigueur la cause des femmes et des jeunes filles en Iran. Ce @NobelPrize

 est une reconnaissance bien méritée de son courage et de l'espoir qu'elle représente, non seulement pour les femmes en Iran, mais aussi pour celles qui luttent contre la répression et la violence dans le monde entier.

> L'Alabama s'est doté d'une nouvelle carte du Congrès, plus équitable, qui donne aux électeurs noirs une chance égale d'élire le candidat de leur choix. Il s'agit d'une victoire historique pour le droit de vote et la démocratie, qui a été obtenue grâce au travail acharné des électeurs noirs, de leurs défenseurs et de leurs organisations.

 

Hillary Clinton (ancienne secrétaire d’Etat)
> Bidenomics est bon pour les travailleurs, bon pour la classe moyenne et bon pour l'Amérique.

> Les plus grandes entreprises technologiques elles-mêmes ne se contentent pas, malheureusement, de favoriser les régimes autoritaires, mais la manière dont elles agissent dans le monde, souvent en toute impunité, [...] est également très préoccupante.

 

● Royaume Uni
♦ Liberal democrats

> Les libéraux démocrates condamnent sans réserve le terrorisme du Hamas et du Jihad islamique. Cette violence doit cesser. Israël a le droit de se défendre.

> > Notre pays est en pleine crise du coût de la vie, avec trop de gens qui peinent à joindre les deux bouts, mais Rishi Sunak n’avait pas de solutions et pas d’idées.
Le discours de Rishi Sunak était si déconnecté qu’il aurait pu vivre sur une autre planète.
Qu’il s’agisse du prix de l’énergie, des aliments, des eaux usées ou de la dentisterie, voici 10 questions importantes que le premier ministre n’a même pas pu mentionner.
1. Prêts hypothécaires : L’hypothèque moyenne a augmenté de 220 £ par mois dans l’année depuis le mini budget catastrophique, selon la Banque d’Angleterre.
2. Prix des denrées alimentaires : Les prix des aliments ont augmenté de 10 % au cours de la dernière année à mesure que le coût de la vie monte en flèche.
3. Factures d’énergie : Une famille sur trois en Angleterre paiera des factures d’énergie plus élevées cet hiver qu’avant, pour atteindre un ménage sur deux plus pauvres.
4. Ambulances : Les retards dans les ambulances ont été les pires enregistrés l’hiver dernier et il n’y a pas eu de plan clair sur la façon d’éviter une crise similaire cette fois-ci.
5. Eaux usées : Les eaux usées brutes ont été déversées dans les rivières et les côtes 824 fois par jour l’année dernière, après que les députés conservateurs ont voté à plusieurs reprises pour permettre aux compagnies d’eau de poursuivre cette pratique dégoûtante.
6. Dentistes : 4,4 millions d’enfants n’ont pas vu de dentiste du NHS au cours des 12 derniers mois, bien que le NHS ait recommandé qu’ils y aillent une fois par an.
7. Pensions : 12 millions de retraités pourraient perdre après que Rishi Sunak n’ait pas réussi à s’engager à maintenir le triple verrou dans les années à venir.
8. Loyers : Les loyers ont augmenté en moyenne de 110 £ par mois au cours de la dernière année depuis que le mini-budget a fait grimper les taux d’intérêt.
9. Toits en béton (RAAC) : 41 hôpitaux et 174 écoles sont touchés par le scandale du RAAC, que Sunak n’a pas mentionné une seule fois en dépit de son propre rôle dans la réduction du financement pour réparer les bâtiments en ruine.
10. Sordide : Rishi Sunak n’a pas mentionné les ministres déshonorés comme Liz Truss, Boris Johnson ou Chris Pincher qui ont reçu plus de 500000 £ en paiements des contribuables après avoir démissionné ou avoir été licencié.

> Il est scandaleux que les compagnies des eaux proposent d'augmenter les factures des citoyens pour payer le nettoyage de leur propre gâchis. Les patrons des compagnies des eaux ont versé des millions en primes et en dividendes, argent qui aurait pu être consacré à l'amélioration des infrastructures.

> Beaucoup trop de personnes attendent encore, beaucoup trop longtemps, un diagnostic ou le début d'un traitement après avoir été diagnostiquées. Nous devons faire ce qu'il faut pour eux et leur apporter les soins dont ils ont besoin au moment où ils en ont besoin.

 

Ed Davey (leader)
> Scènes horribles en Israël et en Palestine ce matin. Les libéraux démocrates condamnent sans réserve le Hamas. Ce terrorisme doit cesser. Israël a le droit de se défendre.

 

● Suisse
♦ Le Centre
Gerhard Pfister (président)
> Les démocraties et les valeurs occidentales sont attaquées en l'Ukraine et en Israël. La Russie a un rôle décisif dans les deux attaques, actif ou solidaire. Dans les deux attaques, la Suisse doit être claire. Traiter l'agresseur comme l'agressé n'est pas neutre.

 

Parti libéral-radical
Philippe Nantermod, (vice-président)
> En pensée avec le peuple israélien qui fait face au max horreurs du terrorisme qui le frappe encore une fois aujourd’hui. Toutes les démocraties devraient s’engager pour soutenir l’Etat d’Israël dans son droit inaliénable à se défendre et à défendre son peuple face à la barbarie.

 

Vert’libéraux

> Les Vert'libéraux ont le courage d’agir pour la protection du climat et un approvisionnement énergétique sûr ! Nous avons besoin de plus d'efficience énergétique, de renouvelable, de stockage d'énergie et d'un accord sur l'électricité avec l'UE ! Votez PVL le 22 octobre !

> L'érosion des accords bilatéraux avec l'Europe pose un grave danger pour notre économie. La reprise d'un accord-cadre ou l'adhésion à l'EEE sont absolument nécessaires au maintien de notre niveau de vie. Le 22 octobre, votez PVL pour de meilleures relations avec nos voisins !

 

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