jeudi 31 mars 2022

Propos centristes. France – Guerre de Poutine contre l’Ukraine: mensonges de Moscou; enlisement des troupes russes; Marioupol, ville martyre… / Pouvoir d’achat des Français / Le danger Le Pen / Le faux scandale des cabinets de conseil…

Voici une sélection, ce 31 mars 2022, des derniers propos tenus par des centristes dans les médias ou sur les réseaux sociaux en France.

Emmanuel Macron (Président de la République)
> C'est un bâtiment de la Croix-Rouge qui a été frappé à Marioupol. Le CICR est un acteur neutre et impartial, qui ne peut être pris pour cible. Pas plus que les civils, les soignants ou les malades. À nouveau, avec force : trêve et respect du droit humanitaire !

> Le terrorisme a une nouvelle fois frappé Israël. Je condamne avec la plus grande fermeté ces attentats meurtriers. Mes pensées vont aux victimes et à leurs proches. Israël peut compter sur le soutien de la France et sur mon engagement total dans la lutte contre ce fléau.

 

Gouvernement
[Nota: dans ce gouvernement, certains membres ne sont pas centristes; nous retranscrivons cependant leurs propos en rapport avec leur fonction parce qu’ils font partie selon nos critères d’une équipe qui suit une politique globalement centriste]

Jean-Yves Le Drian (ministre de l'Europe et des Affaires étrangères)
> Si la Russie utilise des armes non conventionnelles, elle doit s'attendre à des sanctions massives très fortes. Elle le sait.

> Je pense que le président Poutine s'est rendu compte de l'unité et de la fermeté de l'Union européenne et de la relation transatlantique, de la solidité de cette alliance, ainsi que de la volonté de l'ensemble de ces pays d'aider l'Ukraine très fermement. (...) C'est à lui d'apprécier les risques. Mais c'est sa responsabilité, pas la nôtre.

> Les points de vue sont dits clairement, avec beaucoup de clarté de part et d'autre. Ça avance peu, mais au moins il y a un canal de discussion. Il faut que le président Poutine se rende bien compte qu'il a deux partenaires [Emmanuel Macron et Olaf Scholz] qui sont prêts à engager le dialogue, mais qui sont aussi fermes sur la souveraineté de l'Ukraine et refusent qu'un État agresse un autre État.

> Ces appels [entre Macron et Poutine] sont nécessaires pour garder un canal de dialogue et faire en sorte que, le moment venu, on puisse se parler de manière approfondie. J'espère que ce moment arrivera vite et que l'on évitera le carnage de Marioupol.

> Il serait peut-être opportun que le président Zelensky rencontre le président Poutine. Pour l'instant, ce n'est pas possible, puisque le président Poutine le refuse.

> A Alep, en Syrie, on a vu la Russie dire qu'elle allait négocier alors que en réalité, elle reconstituait ses forces. On va voir si le discours tenu va se manifester dans des actions concrètes, soit par un retrait, soit par un cessez-le-feu. Ce qu'il faudrait aujourd'hui, c'est un cessez-le-feu à Marioupol pour éviter un carnage. Car ce qu'il s'y passe est effroyable. La responsabilité de ce qui va se passer à Marioupol est celle de la Russie.

> Je lis des propos, des déclarations, je ne vois pas d'acte. Il n'y a, à ma connaissance, aucune mesure de retrait prise à l'égard de l'occupation des forces armées russes en Ukraine. La guerre continue. Pour l'instant, il n'y a à ma connaissance ni percée, ni nouveauté.
Je ne croirai que les actes. Si demain matin, le président Poutine dit (...) qu'il renonce au siège de Marioupol et permet à l'aide humanitaire d'entrer, (...) là je dirais qu'il y a un progrès et que le pire n'est plus devant nous. Mais aujourd'hui, je ne vois pas d'acte
Il ne faut pas de faire illusionner par du déclaratif. Il faut des actes. Si la Russie veut vraiment qu'on croie en elle, qu'elle mette des actes sur la table et qu'elle manifeste cette nouvelle orientation, s'il y en a une.

> Tous les éléments que nous avons montrent que la présence de Wagner au Mali, c'est des exactions et la limitation des libertés publiques. C'est un nouvel autoritarisme qui fait que la junte au pouvoir est prise un peu en otage aussi sur ces points-là par la force Wagner.

> La réarticulation complète du dispositif français et européen du Sahel a été prise « par les Européens et les Africains. C’est une refonte pour donner une plus grande amplitude en soutien aux différentes autorités des pays concernés par la menace terroriste. Non seulement aux pays du Sahel, mais désormais aussi les pays du golfe de Guinée, puisque l’on voit une percée de l’action des groupes terroristes dans le nord de ces pays.

 

Barbara Pompili (ministre de la Transition écologique)
> Sa production démarre aujourd'hui ! L'usine du Havre est le plus grand projet industriel d'énergies renouvelables en France. C'est l'avenir: des éoliennes construites chez nous, créatrices d'emplois locaux, pour une production souveraine d'énergie décarbonée.

 

Bruno Le Maire (ministre de l'Economie, des Finances et de la Relance)
> Si votre vie, c'est votre véhicule - évidemment que ça pèse sur des millions de compatriotes. Mais l'aide que nous apportons, ce n'est pas rien. L'aide que nous apportons de 18 centimes, ça fait environ 11 euros par plein. Je ne dis pas que ça règle toutes les difficultés mais ça protège. Ca s'ajoute à la politique de protection contre la flambée des prix de l'essence. (…) Nous faisons tout ce qui est possible pour protéger les Français. (...) Quand on baisse de 18 centimes d'euro par litre, tout le monde en bénéficie. Les ménages, les particuliers, mais aussi la PME, les entreprises du bâtiment, les entreprises des travaux publics, les pêcheurs, les agriculteurs.

> Nous plafonnons les prix de l'électricité et nous gelons les prix du gaz.

> Je veux le rappeler avec beaucoup de force : Emmanuel Macron a été pendant 5 ans le président du pouvoir d’achat. Nous avons soutenu le pouvoir d'achat en valorisant le travail et pendant tout le quinquennat, avec la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, la prime défiscalisée.

> [Sanctions contre la Russie] La position de la France est très claire : les sanctions, toutes les sanctions, rien que les sanctions. La seule chose que nous demandons aux entreprises, c'est de respecter rigoureusement et scrupuleusement les sanctions décidées au niveau politique. Chaque entreprise, en fonction de sa situation sur le terrain, peut prendre des décisions qui sont différentes Faire mal aux entreprises françaises, ce n'est pas notre objectif. L'objectif n'est pas de faire mal à la population française mais de faire mal au pouvoir russe et à l'État russe.

> Quand on parle de guerre et de paix, il faut une stratégie claire. Notre stratégie, c'est d'affaiblir le pouvoir russe.

> Nous avons anticipé tous les scénarios, et un dans lequel Vladimir Poutine décide de couper le gaz pour la France et l'Europe.

 

Elisabeth Borne (ministre du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion)
> La première réponse pour le pouvoir d’achat, c’est de permettre à chaque Français d’avoir un emploi. Nous avons fait la moitié du chemin en ramenant le chômage à son + bas niveau depuis 15 ans. Nous devons maintenant viser le plein emploi.

> Index de l'égalité professionnelle, loi pour accélérer l’égalité économique et professionnelle, congé paternité… l'égalité professionnelle a été au cœur de notre action ces 5 dernières années. Elle le restera ces 5 prochaines années avec Emmanuel Macron!

> Marine Le Pen, c’est le grand flou. Comment compte-elle financer son programme et la retraite à 60 ans ? Que dirait-elle à Poutine si elle était élue ? Que pense-t-elle vraiment de l’Union européenne et d’une défense commune ? Elle demande un chèque en blanc aux Français.

 

Amélie de Montchalin (ministre de la Transformation et de la fonction publique)
> Nous ne pouvons pas tolérer que depuis quelques jours ce rapport [du Sénat sur le recours aux cabinets de conseil] soit détourné. La période de réserve concerne le gouvernement quand il ne suscite pas d'actualité. Là, nous ne parlons pas du bilan [du quinquennat], nous réagissons à des faits rapportés par le Sénat il y a 10 jours, et repris par les médias depuis. C'est pour ça que nous sommes devant vous. Il n'y a pas d'anicroche.

> [Utilisation par l’Etat de cabinets de conseil privés] Les attaques de plus en plus fortes et de plus en plus grossières. (…) Nous n'avons rien à cacher. (…)  Toutes les règles de la commande publique ont été respectées (…).l’État assume parfaitement de recourir à des cabinets de conseil dans certaines circonstances. Jamais les décisions ne sont prises par les consultants. Avons-nous délégué la gestion de crise à des consultants ? Non, c'est un fantasme de le penser ou de le laisser penser. Il faut bien faire la différence entre des conseils externes qui donnent des expertises et ensuite notre responsabilité, celles du gouvernement (…) Nous devrions, en 2022, réduire d'au moins 15% notre recours aux prestations de conseil externes.

 

Marc Fesneau (ministre chargé des relations avec le Parlement et de la participation citoyenne)
> Les mots d’ordre à 12 jours du premier tour : mobiliser et convaincre. Pour faire vivre la démocratie. Et parce qu’Emmanuel Macron et son projet sont à la hauteur des défis. Emmanuel Macron a fait de l’éducation et de la santé deux priorités majeures du quinquennat : poursuite du dédoublement des classes, soutien à l’excellence de la voie professionnelle, facilitation de l’orientation et lutte contre le harcèlement scolaire.
Partout en France, une attente forte : poursuivre la refonte de notre système de santé.
Cinq ans de plus pour renforcer la prévention, recruter des soignants à l’hôpital et bâtir des solutions locales pour lutter contre les déserts médicaux !

 

Olivier Dussopt (ministre chargé des Comptes publics)
> Nous n'avons rien à cacher et les règles de la commande publique sont strictement respectées. (...) Les cabinets de conseil peuvent être utiles quand ils restent à leur place, c'est-à-dire ni à la place des politiques, ni à la place des fonctionnaires

> En 2021, sur le seul conseil en stratégie, les dépenses de l'État facturées par McKinsey représentent 5% des dépenses de conseil en stratégie de l'État français, et 2% des dépenses de conseil en général. L'État français représente 5% de son chiffre d'affaires. Il n'y a pas de dépendance ou d'interdépendance entre l'État et ce cabinet.

 

Agnès Pannier-Runacher (ministre chargée de l'Industrie)
> Un chômage au plus bas depuis 15 ans et au plus bas depuis 40 ans pour les jeunes, le doublement du nombre d'apprentis, un taux d'emploi au plus haut depuis 50 ans : c’est ça la casse sociale ? Je préfère les résultats mesurables aux promesses intenables de Marine Le Pen.

> S’il est réélu, Emmanuel Macron fera à nouveau de l'égalité femmes-hommes la grande cause de son quinquennat : nous continuerons à améliorer la vie quotidienne des femmes en matière de santé et pour les familles monoparentales notamment.

 

Marlène Schiappa (ministre chargée de la Citoyenneté)
> La France reste mobilisée dans l’accueil des personnes évacuées d’Afghanistan. Près de 6000 d'entre eux sont mis en sécurité sur notre territoire, en lien avec les associations mobilisées aux cotés de l'Etat.
Après examen de leur situation par l’
Ofpra, les Afghans sont protégés en France.
Les personnes évacuées d’Afghanistan sont prises en charge dans des dispositifs d’hébergement et d’accompagnement dès leur arrivée en France avant d’être orientées vers les dispositifs adaptés à leur situation administrative.
L’éducation est un droit fondamental. Tous les enfants afghans bénéficient du droit à la scolarisation.
Travailler est un levier essentiel d’intégration des réfugiés. Avec le programme AGIR, nous souhaitons leur proposer un dispositif d’accompagnement global et individualisé, mis en œuvre dès cette année dans 27 départements.
Parce que l'intégration des Afghans, comme celle des autres étrangers, mobilise toute la société, l'Etat et les collectivités s'engagent dans des contrats territoriaux d'accueil et d'intégration. 18 contrats signés pour accompagner vers l’accès aux droits !

> La France accueille les personnes déplacées d'Ukraine. Pour accueillir & soutenir au mieux ces familles qui arrivent sur le territoire, nous diffusons un livret d'accueil bilingue avec les infos leur permettant de se saisir pleinement de leurs droits.

 

Gabriel Attal (porte-parole du gouvernement)
> l’INSEE a une nouvelle fois revu à la baisse le déficit public pour 2021. Preuve de l’efficacité de notre réponse à la crise économique, et confirmation que nous sommes sur la bonne voie pour le redressement de nos comptes publics.

> On va continuer, avant le premier tour (…) à convaincre les Français qu’Emmanuel Macron a le meilleur projet.

> À la différence des autres candidats, Emmanuel Macron ne peut pas être 100% candidat puisqu’il est président de la République.

> La situation à Marioupol est une situation de désolation absolue. (…) La France agit avec plusieurs pays pour obtenir la levée du siège de Marioupol et l’évacuation de l’ensemble des civils qui le souhaitent.

> La réforme de la haute fonction publique doit nous permettre d’avoir moins recours à des cabinets de conseil.

 

Assemblée nationale
Richard Ferrand (président)
> Au nom de la représentation nationale, j’adresse mon soutien à la population d’Israël, frappée cette nuit par des attaques terroristes. Je condamne ces actes ignobles et meurtriers. Restons unis et solidaires face au terrorisme. Mes pensées émues vont aux familles et proches.

 

Partis politiques

● LaREM
[Nota: dans ce parti, les propos de ses membres qui ne sont pas centristes et se considèrent de droite ou de gauche ne sont pas retranscrits]
Christophe Castaner (président du groupe à l’Assemblée nationale)
> Alors qu'il fait face à une crise d'une ampleur inédite depuis la seconde guerre mondiale, Emmanuel Macron n'a jamais perdu le lien avec les Français. Il est au contact, dès que possible : pour présenter son projet et défendre une vision ambitieuse pour notre pays !

> Aucune femme, aucun homme ne devrait renoncer au travail parce qu'ils ont décidé de fonder une famille. Après le rallongement du congé paternité, la garantie par l'Etat de versement des pensions alimentaires, allons plus loin !

> Marine Le Pen voudrait aujourd'hui se draper dans une "cape de banalité" pour faire oublier ce qu'elle est. Mais avec Zemmour, ils sont les deux faces d'une même pièce : celle d'une extrême droite que nous ne cesserons jamais de combattre !

 

Aurore Bergé (présidente déléguée du groupe à l’Assemblée nationale)
> Nous avons avec Israël les mêmes valeurs démocratiques et les mêmes bourreaux. Nous sommes ensemble dans la lutte contre le terrorisme islamiste.

 

Laetitia Avia (porte-parole)
> Ce qu'il se passe aux portes de l'Europe nous rappelle que rien n’est acquis, même pas la démocratie. C’est une idée neuve qui n’a que 200 ans et qu'il faut protéger. Alors allons voter.

> Nous sommes sans doute devenus le pays le plus influent en Europe aujourd’hui. Ne brisons pas cet élan ! Avec Emmanuel Macron nous continuerons de redonner le gout de la France !

 

Pieyre-Alexandre Anglade (porte-parole du groupe à l’Assemblée nationale)
> En 2017 l’incompétence de Marine Le Pen avait été dévoilée aux yeux de tous les Français. Pendant la crise de la Covid19 elle a confirmé ce que tout le monde avait vu à l’époque. Dans cette époque de crises et de tempêtes, elle représente un danger pour le pays.

 

● MoDem
Bruno Millienne (député)
A ceux qui, loin des instrumentalisations outrancières de certains opposants, se questionnent légitimement sur le recours par le gouvernement à des cabinets de conseil, voici quelques explications factuelles.
A quoi ça sert ?

- A accompagner un besoin très spécifique ou ponctuel qui n'est pas le «métier» de l'Etat: gestion des systèmes informatiques, accompagnement d'un changement au sein d'une organisation, analyses comparatives à l'international, etc.
- A accompagner avec une expertise précise l'Etat dans sa négociation avec des grands groupes internationaux, comme par exemple pour l'implantation d'un site industriel dans les Hauts-de-France.

- A combler un besoin ponctuel de personnel, comme lors de la crise sanitaire.
Pourquoi on y a plus recours ?

- On passe de 380 à 893 millions de dépenses annuelles en conseil sur le quinquennat.
- Cette hausse est essentiellement due aux dépenses en informatique (3/4 des dépenses de conseil) qui ont été multipliées par 3 depuis 2018.
- Notre majorité assume de moderniser l'Etat pour plus d'efficacité et un meilleur service. (prélèvement à la source, réforme des APL pour adapter l'allocation aux ressources, MaPrimeRenov, etc.). Pour cela, le développement des systèmes d'information est indispensable.
- La crise sanitaire explique aussi cette hausse : nous avons eu besoin de mobiliser très vite de nombreuses ressources (logistique, campagne de vaccination, sécurisation de TousAntiCovid, etc).
- Hors dépenses liées à l'informatique, le niveau des dépenses de conseil reste inférieur en 2018 et 2019 à ce qu'il était en 2014.

- Au total, le niveau annuel de dépenses en conseil reste sur tout le quinquennat très inférieur à ce qu'il était en 2009 ou 2010 (plus d’1Md€)...
Et chez nos voisins, ça se passe comment ?
Nous sommes très raisonnables en
France avec 1,56 € de dépenses de conseil pour 1000 € de dépenses de fonctionnement, contre 6,76 au Royaume-Uni et 7,20 en Allemagne.
Et McKinsey dans tout ça ?
- Les contrats de McKinsey représentent 0,3 % des dépenses totales de conseil. Cette entreprise est comme les autres soumise aux règles strictes des marchés publics. Sous-entendre l'inverse relève du complotisme.
- McKinsey s'acquitte des prélèvements obligatoires en
France. Si elle pratique l'optimisation fiscale pour éviter l'impôt sur les sociétés, ça ne sera bientôt plus possible grâce à l'accord international obtenu par la France sur l'imposition minimale des bénéfices.
- Si l'associé de McKinsey a menti devant la commission d'enquête du Sénat sur le sujet, il fera l'objet d'une procédure judiciaire, comme n'importe quel autre justiciable.
Pourquoi alors un
 «scandale McKinsey
Parce que nos opposants cherchent en vain un angle d'attaque, y compris ceux, pas à une contradiction près, qui ont recours à ces cabinets lorsqu'ils sont au pouvoir (RN à Perpignan, LR et PS lorsqu'ils étaient au gouvernement).

 

● Parti radical
> Le Parti radical salue le courage du Pdt Zelenski d'envisager un statut de neutralité pour l'Ukraine afin que cesse la guerre et que l'Europe retrouve sa stabilité. Cette voie d'une paix possible recherchée par Emmanuel Macron doit être rapidement étudiée.

 

Autres

● Organisations centristes
♦ Renaissance
(Députés français du groupe centriste Renew Europe au Parlement européen)
Nathalie Loiseau
> Au programme de Marine Le Pen : l’alignement sur la Russie de Vladimir Poutine. Comme si de rien n’était. Comme si Vladimir Poutine ne menaçait pas notre sécurité. Et l’argument absurde de la Russie qui lutte contre le terrorisme, alors qu’elle complique le combat contre Daesh.

> Le terrorisme islamiste frappe à nouveau en Israël. Tout mon soutien au peuple israélien et mes pensées émues pour les victimes et leurs proches.

 

 

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