dimanche 17 avril 2022

Présidentielle 2022. Propos de campagne de Macron du 17 avril – Le «progrès du quotidien» remplace le progressisme / Corriger les inégalités à la racine / Le «quoi qu’il en coûte», meilleure dépense publique possible/ Nouvelle ère avec la guerre de Poutine contre l’Ukraine…

Retrouvez ici les derniers propos tenus pas le candidat représentant le Centre et l’axe central, Emmanuel Macron, lors de la campagne présidentielle.

> Un besoin de limites existe. C’est pour cela que je parle de progrès du quotidien et non plus vraiment de progressisme. Parce que le progressisme brandi comme étendard peut parfois apparaître comme une fuite en avant sans borne, comme une dépossession de ce qui est. Or les sociétés occidentales ne veulent pas de cela, être dépossédées.

> Ce que je veux faire pour les années à venir est un projet pour les outsiders de correction des inégalités à la racine et de lutte contre les vies empêchées.

> Je mettrai toute mon énergie à convaincre que c’est par l’Europe que nous pourrons les défis des temps et défendre nous valeurs.

> En permettant aux enseignants et aux directeurs d'école de bâtir un projet pédagogique adapté pour mieux répondre aux problèmes des quartiers ruraux comme des quartiers en difficulté des villes.

> Un des enjeux de ce second tour est de mettre en lumière la vérité du projet de la candidate d’extrême droite. Projet de soumission à l’étranger, projet de sortie de l’Europe, projet de division des Français, projet de régression climatique, projet qui menacerait nos retraites, notre épargne, nos emplois.

> Une majorité de Français a fait le choix de candidats qui portent un projet d’ouverture, d’indépendance et de progrès comme je le fais.

> [Guerre de Poutine en Ukraine] On est au début d’un changement d’ère. On peut mourir à nouveau sur le sol européen

> Le sentiment d’humiliation ressenti en Russie après la chute du mur de Berlin et l’éclatement de l’URSS (…) ce ressentiment s’est ensuite métabolisé en paranoïa.

> Poutine a décidé qu’il n’arrêterait pas son offensive, car il a besoin pour lui-même d’une victoire militaire. (…) S’il ne parle plus à personne, alors on ne sait pas jusqu’où il peut aller. C’est mon obsession avec lui, je lui dis à chaque fois..

> [Le «quoiqu’il en coûte»] C’était la meilleure dépense publique possible. Cette dette est une très bonne dette.

> Il faut assumer de dire que l’on ne peut pas tout faire ! Marine Le Pen, en particulier, raconte n’importe quoi.

> Ma vie est une écriture, c’est comme cela que je la vis.

> On a eu une pandémie historique comme nous n’en avions pas eue depuis un siècle et maintenant la guerre en Europe. Nous avons tenu ensemble, mais ces crises, comme toujours, nourrissent des peurs, les extrêmes en profitent sans proposer de solutions. Donc en effet, les extrêmes n’ont pas baissé, parce qu’elles se sont nourries de ces crises historiques. 

> Je crois que j'ai un projet qui gagne à être connu et j'ai le sentiment que, du côté de l'extrême-droite, il y a un projet qui mérite d'être clarifié> J’ai acquis de l’expérience, j’ai appris et puis j’ai gardé l’énergie que j’avais il y a 5 ans.

> Je ne pense pas qu’on puisse exercer ces fonctions et décider s’il n’y a pas un équilibre affectif. 

> Je n'ai pas de regrets. J’ai fait campagne autant que j'ai pu, et j'ai présidé autant que j'ai dû. Il y a 6 semaines, les bombes tombaient sur Kiev, il était normal que je sois très engagé sur les questions internationales.

> Je ne me projette jamais en faisant ces scénarios. Pour être engagé, il ne faut pas penser à ce qui se passe « si ». Et, le jour d'après sera le jour d’après. Je serai à nouveau un homme libre avec ses convictions.

> Quand quelque chose va mal dans sa vie, on dit c'est celui qui dirige qui est responsable. Nos compatriotes savent que je sais décider en temps de crise.

 

 

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